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Murray Leinster: La planète oubliée

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Murray Leinster La planète oubliée

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La Terre était surpeuplée. Les autres planètes du système solaire également. En fait, toutes les planètes de la Galaxie qui avaient été colonisées étaient main­tenant surpeuplées. Il était absolument nécessaire de trouver des mondes nouveaux où les hommes puis­sent vivre. Des raids spatiaux furent organisés. On découvrit d’autres mondes. Mais ils étaient décevants. Car ils ne possédaient aucun trace de vie. Or l’homme ne peut s’implanter que là où la vie — n’importe quelle forme de vie — l’a précédé. Cette vie, on décida donc de la créer. Des navires-laboratoires se mirent à parcourir le vide, ensemençant les planètes vierges, déversant des spores sur les sols et du plancton dans les océans, installant des plantes, des poissons, des insectes, préparant la venue des mammifères et de l’homme. Plusieurs mondes stériles devinrent ainsi habitables. Mais un jour, un accident survint…

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Un groupe d’animaux s’attaquait joyeusement à quelque chose que Burl ne pouvait voir. Ces animaux étaient des chiens. Ils aboyaient avec entrain. Ils jappaient et grondaient. Ils s’amusaient beaucoup.

Un des chiens aperçut les hommes. Il resta cloué sur place et poussa un aboiement. Les autres se retournèrent et virent aussi les hommes. Le tumulte cessa brusquement.

Le silence se fit. L’étonnement était grand de part et d’autre.

Les hommes étaient stupéfaits de l’aspect de ces animaux à quatre pattes. Toutes les bêtes qu’ils avaient rencontrées jusque-là avaient au moins six pattes. Les araignées en possédaient huit. Et puis les chiens n’avaient pas de mandibules. Ils n’avaient pas d’ailes. Ils ne réagissaient pas du tout comme des insectes.

Quant aux chiens, ils voyaient des hommes pour la première fois. Chose beaucoup plus importante, ils les sentaient. Ils percevaient la différence extraordinaire entre l’odeur de l’insecte et celle de l’homme. C’était la première fois depuis des centaines de générations que les chiens rencontraient un animal à sang chaud. Ils n’eurent pas peur. Ils ressentirent une curiosité fascinée. Ces êtres avaient une odeur sans précédent. Et même une odeur extraordinairement agréable.

Les chiens contemplaient les hommes avec la stupeur la plus profonde, reniflant, penchant la tête de côté. Ils ne ressentaient aucune hostilité. L’un d’eux poussa une sorte de gémissement, parce qu’il ne comprenait pas.

11

Chose curieuse, la présence des chiens sur la montagne et leur survivance étaient dues à une question de topographie.

À l’est, le plateau qui s’élevait au-dessus des nuages montait en pente raide depuis la vallée où habitait la tarentule. À l’ouest, au contraire, la pente était beaucoup plus douce. Les forêts de champignons suivaient les nuages le long de cette pente presque jusqu’au sommet. C’est pourquoi il arrivait que des insectes géants s’égarent sur le plateau.

Naturellement, ils ne pouvaient pas y vivre. Ils n’auraient pas trouvé assez de nourriture pour satisfaire leur insatiable appétit. Et la nuit, il faisait trop froid pour eux. Parmi ceux qui s’égaraient sur la montagne et se promenaient un instant au soleil, certains finissaient par regagner leurs forêts de champignons. Mais la plupart restaient figés par le froid. Leur première nuit sous les étoiles les faisait tomber dans une sorte de torpeur. Au cours de la seconde journée, ils retrouvaient une activité partielle. Bien peu se remettaient du froid de la deuxième nuit. Aucun ne conservait sa combativité.

C’était en mangeant ces insectes égarés que les chiens avaient survécu.

Ils descendaient certainement des chiens de l’Icare, le navire spatial naufragé dont l’équipage avait atterri sur la planète oubliée quarante générations plus tôt. Les premières générations d’hommes avaient peut-être même élevé des chiens dans l’espoir qu’ils les aideraient à survivre. Mais aucune civilisation humaine ne pouvait se maintenir sur les basses terres. Les humains étaient retournés à l’état primitif. Ils avaient vécu tant bien que mal, traqués par les monstres. Les chiens, eux, avaient gagné les hauteurs. Ils avaient échappé aux insectes géants. Et, de gibier, ils étaient devenus chasseurs.

Le nombre des chiens était resté limité et leur intelligence était très vive. C’était la condition même de leur survivance. En effet, la proportion des insectes qui s’aventuraient sur la montagne restait toujours la même. Lorsqu’il y avait trop de chiens, leurs attaques contre les bêtes géantes se faisaient trop tôt. Poussés par la faim, ils n’attendaient pas que la férocité des monstres ait diminué. Alors, le quota des chiens était ramené à la norme par la férocité même du combat. Il se produisait aussi une sélection qui conservait seulement les chiens trop intelligents pour attaquer inconsidérément.

Bref, les animaux qui étaient en train de contempler les hommes de leurs yeux vifs et intéressés appartenaient à une race très saine. Ils avaient appris à survivre. Ils ne commettaient pas d’imprudences, mais ils savaient montrer du courage dans leurs combats contre les insectes géants. Ils ne craignaient même pas les araignées, à moins qu’elles ne soient trop récemment montées des basses terres.

Burl vit immédiatement que ces animaux ne se comportaient pas avec la férocité aveugle des insectes. Ils observaient, ils réfléchissaient. Ils ressemblaient étonnamment aux hommes. Les insectes, eux, n’examinaient jamais rien. Ils s’enfuyaient ou ils attaquaient. Ils se défendaient contre un ennemi, ou se jetaient comme des forcenés sur une proie. Les chiens ne faisaient ni l’un ni l’autre. Ils reniflaient et ils attendaient.

Burl lança un ordre à ses compagnons :

— Restez où vous êtes !

Le jeune homme descendit lentement dans l’amphithéâtre. Saya le suivit aussitôt. Les chiens s’écartèrent avec circonspection. Mais ils levèrent le museau et reniflèrent. Ils reniflèrent longuement, voluptueusement. L’odeur de l’espèce humaine était agréable. Des centaines de générations de chiens avaient vécu sans la sentir. Mais ils avaient été précédés par des milliers d’autres générations pour qui l’odeur de l’homme était une nécessité.

Burl s’approcha de l’objet que les chiens avaient attaqué. La proie gisait sur l’herbe, palpitant péniblement. Il s’agissait de la larve d’un de ces phalènes bleu azur qui, à la nuit tombée, déploient des ailes de trente mètres d’envergure. Le moment de sa métamorphose était proche et elle avait voyagé à l’aveuglette pour trouver un endroit où elle pourrait filer son cocon en sécurité. Elle était arrivée dans un univers nouveau, au-dessus des nuages. Ses réserves de graisse l’avaient un peu protégée du froid, mais les chiens l’avaient découverte alors qu’elle rampait au hasard.

Burl réfléchit. Il avait vu des guêpes piquer ces larves en un point particulier, marqué par une touffe de poils bruns.

Burl leva sa lance et transperça ce point précis. La bête mourut aussitôt, sans agonie. Le jeune homme coupa de la viande pour ses compagnons. Les chiens, suffisamment nourris, n’avaient pas faim. Ils n’intervinrent pas. Burl et Saya emportèrent la viande pour le reste de la tribu. En cours de route, Burl passa à moins de deux mètres d’un chien. Ce dernier le regarda avec une grande intensité. Son expression était mélancolique. L’animal s’efforçait désespérément de comprendre ce que signifiait l’odeur de Burl.

L’homme se retourna et parla au chien du ton dont on s’adresse à un égal.

— J’ai tué cette larve, dit-il. Je n’en ai pris qu’une partie. Tu peux aller manger le reste.

Burl et ses compagnons se partagèrent la viande qu’il avait rapportée. Les chiens festoyèrent de ce qu’il leur avait laissé. Bientôt ils revinrent. Ils n’avaient pas de raison d’être hostiles. Ils avaient mangé. Les humains ne leur faisaient pas de mal. Et l’attrait qu’ils leur inspiraient montait des sources les plus profondes de la race canine.

Peu à peu, les chiens se rapprochèrent des humains. Ils étaient fascinés. Et les hommes étaient fascinés à leur tour. Sous le regard intense des chiens, les enfants eux-mêmes se sentaient flattés – et prêts à se montrer amicaux.

Saya avait plus de viande qu’elle n’en désirait. Elle jeta un coup d’œil aux membres de la tribu. Ils avaient tous de quoi manger. Elle lança un morceau de viande à un chien. Il s’écarta d’un bond, puis renifla l’endroit où le morceau était tombé. Un chien est toujours capable de manger. Il avala le morceau.

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