Isaac Asimov - Les robots de l'aube

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Quand Elijah Baley, le célèbre agent de la Sûreté interplanétaire, arrive sur Aurora, il pressent qu’il va au-devant de sa plus difficile et périlleuse mission. Impossible pourtant de se récuser : le statut de la Terre en dépend, et le destin futur de l’Univers.
Il s’agit pour lui de découvrir qui, pour la première fois dans la Galaxie, s’est rendu coupable du meurtre de Jander Panell, le robot positronique le plus sophistiqué jamais créé, et qui atteignait un degré d’« humanité » très supérieur à tout ce que le Dr Susan Calvin aurait pu imaginer.
D’autres découvertes stupéfiantes attendent Elijah Baley sur Aurora, une planète dont les rites sexuels comportent peu de tabous et où il n’est pas interdit à une femme de s’éprendre follement d’un robot…

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— Oui, je le vois bien, murmura Baley.

Il ne s’inquiétait pas de Giskard, uniquement de Daneel. Il était heureux que Gladïa semble comprendre la nécessité de protéger Daneel et de ne pas avoir à affronter les complications de longues explications.

Cependant, il y avait une faille dans le mur de sécurité et ce fut avec anxiété qu’il demanda :

— Pourquoi l’avez-vous laissé, Gladïa ? Vous partie, il n’y a aucun être humain dans la maison pour interdire l’approche d’une bande de robots de l’Extérieur. Daneel aurait pu être enlevé par la force.

— Ridicule ! s’exclama Gladïa. Nous n’avons pas été absents longtemps et le Dr Fastolfe était prévenu. Beaucoup de ses robots sont venus pour prêter main-forte aux miens et le docteur pouvait être là en quelques minutes, en cas de besoin. Et je serais curieuse de voir une bande de robots de l’Extérieur qui lui résisteraient !

— Avez-vous vu Daneel depuis votre retour, Gladïa ?

— Naturellement ! Il est sain et sauf, je vous dis.

— Merci…

Baley se détendit et ferma les yeux. Assez curieusement, il pensa : Ce n’était pas si grave.

Bien sûr, ça ne l’était pas. Il avait survécu, n’est-ce pas ? En pensant à cela il sourit, heureux et satisfait.

Il avait survécu !

Rouvrant les yeux, il demanda :

— Comment m’avez-vous trouvé, Gladïa ?

— C’est Giskard. Ils sont venus ici, tous les deux, et Giskard m’a rapidement expliqué la situation. Je me suis immédiatement occupée de mettre Daneel en sécurité mais il a refusé de bouger avant que je promette d’ordonner à Giskard de partir vous chercher. Il était très éloquent. Ses sentiments à votre égard sont très intenses, Elijah.

« Daneel est resté ici, bien entendu. Il en était très malheureux mais Giskard a insisté pour que je lui ordonne de rester, de ma voix la plus forte. Vous avez dû donner à Giskard des ordres très stricts. Ensuite, nous avons prévenu le Dr Fastolfe et nous sommes partis dans mon aéroglisseur personnel.

Baley secoua légèrement la tête.

— Vous n’auriez pas dû venir, Gladïa. Votre place était ici, vous deviez veiller sur la sécurité de Daneel.

Gladïa fit une grimace de mépris.

— Et vous laisser mourir sous l’orage ? Ou enlever par les ennemis du Dr Fastolfe ? Non, Elijah, je pouvais être nécessaire, pour éloigner de vous les autres robots, s’ils vous avaient trouvé les premiers. Je ne suis peut-être pas bonne à grand-chose en général, mais tous les Solariens savent commander une bande de robots, permettez-moi de vous le dire. Nous y sommes habitués.

— Mais comment m’avez-vous trouvé ?

— Ce n’était pas tellement difficile. Votre aéroglisseur était tout près d’ici, finalement, et nous aurions pu y aller à pied, sans l’orage. Nous…

— Vous voulez dire que nous étions presque arrivés chez Fastolfe ?

— Oui. Votre aéroglisseur n’a pas été suffisamment saboté pour vous faire tomber en panne plus tôt, ou alors l’habileté de Giskard a réussi à le faire marcher plus longtemps que ne le prévoyaient les vandales. Ce qui est une bonne chose. Si vous étiez tombés en panne plus près de l’Institut, ils auraient pu vous enlever tous les trois. Bref, nous avons pris mon aéroglisseur pour aller jusqu’au vôtre. Giskard savait où il était, naturellement, et nous sommes descendus…

— Et vous vous êtes fait mouiller, n’est-ce pas, Gladïa ?

— Pas du tout ! répliqua-t-elle avec vivacité. J’avais un grand contre-pluie et une sphère lumineuse. J’ai eu les souliers crottés de boue et les pieds un peu humides, parce que je n’avais pas pris le temps d’y vaporiser du latex, mais ce n’était pas grave… Nous sommes donc arrivés à votre aéroglisseur moins d’une demi-heure après le départ de Giskard et de Daneel et, bien entendu, vous n’y étiez pas.

— J’ai essayé…

— Oui, nous savons. J’ai pensé qu’ils – les autres – vous avaient enlevé parce que Giskard m’a dit que vous étiez suivis. Mais Giskard a trouvé votre mouchoir à une cinquantaine de mètres de l’aéroglisseur et il m’a dit que vous aviez dû partir dans cette direction. Il a dit que c’était illogique mais que les êtres humains sont souvent illogiques, et que nous devions vous chercher. Nous avons donc cherché tous les deux et c’est lui qui vous a découvert. Il dit qu’il a aperçu la lueur infrarouge de votre chaleur corporelle, au pied des arbres, et nous vous avons ramené.

— Pourquoi mon départ était-il illogique ? demanda Baley avec une pointe d’agacement.

— Il ne l’a pas expliqué, Elijah. Voulez-vous le lui demander ? proposa-t-elle en désignant la niche.

— Giskard, dit Baley, qu’est-ce que ça veut dire ?

Giskard perdit aussitôt son impassibilité et ses yeux se fixèrent sur Baley.

— Je pensais que vous vous étiez inutilement exposé à l’orage, répondit-il. Si vous aviez attendu, nous vous aurions ramené ici plus tôt.

— Les autres robots auraient pu m’atteindre.

— Ils l’ont fait mais vous les avez renvoyés, monsieur.

— Comment le sais-tu ?

— Il y avait beaucoup d’empreintes, près des portières de chaque côté, monsieur, mais aucune trace d’humidité à l’intérieur de l’aéroglisseur, comme il y en aurait eu si un bras mouillé y avait pénétré pour vous en extraire. J’ai jugé que vous ne seriez pas sorti de l’aéroglisseur de votre plein gré afin de les suivre, monsieur. Et, les ayant renvoyés, vous n’aviez pas à craindre qu’ils reviennent rapidement, puisque c’était Daneel qu’ils voulaient, selon votre propre estimation de la situation. De plus, vous pouviez être certain que moi, je reviendrais rapidement.

— Je n’étais pas en état de distiller ces raffinements de logique, marmonna Baley. J’ai fait ce qui m’a paru le mieux et malgré tout, tu m’as bien retrouvé.

— Oui, monsieur.

— Mais pourquoi m’amener ici ? Si nous étions si près de l’établissement de Gladïa, nous étions aussi près, et peut-être plus, de celui du Dr Fastolfe.

— Pas tout à fait, monsieur. Cette résidence était un peu plus près et j’ai jugé, d’après la force de vos ordres, que chaque seconde comptait pour assurer la sécurité de Daneel. Daneel était d’accord, bien qu’il lui répugnât beaucoup de vous quitter. Une fois qu’il a été ici, j’ai pensé que vous voudriez l’être aussi, afin de vous assurer par vous-même, si vous le désiriez, de sa sécurité.

Baley approuva, mais toujours d’un air maussade (il était encore irrité par la réflexion de Giskard sur son manque de logique).

— Tu as bien agi, Giskard.

— Est-il important que vous parliez au Dr Fastolfe, Elijah ? demanda Gladïa. Je peux le faire venir ici. Ou bien vous pouvez le voir par le circuit fermé.

Baley se laissa retomber contre le dossier du fauteuil. Il avait eu tout le temps de constater que ses processus de pensée fonctionnaient mal et qu’il était très fatigué. Cela ne servirait à rien d’affronter Fastolfe en ce moment.

— Non. Je le verrai demain après le petit déjeuner. Ce sera bien assez tôt. Et puis je crois que je dois revoir cet homme, Kelden Amadiro, le directeur de l’Institut de Robotique. Et une haute personnalité, celui que vous appelez le Président. Il sera là aussi, je suppose.

— Vous me semblez épuisé, Elijah, dit Gladïa. Naturellement, nous n’avons pas ces micro-organismes – ces microbes et ces virus – que vous avez sur la Terre, et vous avez été entièrement nettoyé, ce qui fait que vous n’attraperez aucune de ces maladies si communes sur votre planète, mais vous êtes vraiment très fatigué.

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