James White - L'Hôpital des étoiles

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Le Secteur General. Le projet le plus fou et le plus noble des races intelligentes de la galaxie avait abouti à cet incroyable archipel métallique. Des kilomètres d'éléments rassemblés pour former l'hôpital de toutes les humanités. Un univers qui défiait la raison et le courage des docteurs, des chirurgiens et des psychiatres qui avaient juré de sauver coûte que coûte la vie de microbes évolués, de monstres aberrants, de léviathans hystériques...

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— Nous comprenons, répondit le Telfi.

— Très bien. Vous devez également comprendre que votre espèce est trop radioactive pour que nous puissions vous approcher directement. Des appareils commandés à distance sont déjà en chemin, et si vous pouviez dès maintenant préparer vos affaires et les apporter le plus près possible du plus grand sas d’entrée de votre appareil, votre évacuation en serait facilitée. Mais si c’est impossible, ne vous inquiétez pas, nous possédons des engins capables de pénétrer dans votre vaisseau et de les récupérer.

La voix termina en disant qu’ils espéraient sauver les malades, mais que pour l’instant ils ne pouvaient naturellement pas se prononcer.

Le gestalt Telfi pensa que l’agonie qui torturait son esprit et son corps multiple disparaîtrait bientôt, mais que cela entraînerait inévitablement la mort du quart de son être …

Avec l’impression qu’il ne pourrait se sentir à nouveau heureux qu’après avoir dormi huit heures, pris un déjeuner copieux, et s’être attelé à un travail intéressant, Conway sortit rapidement en direction de son service. Ce n’était naturellement pas véritablement « son » service, car si l’état d’un de ses patients devait empirer, il était simplement censé en aviser son supérieur. Mais en tenant compte du fait qu’il ne se trouvait là que depuis deux mois, cela lui importait peu, pas plus que de savoir qu’il lui faudrait attendre encore longtemps avant qu’on pût compter sur lui pour venir à bout de cas qui nécessitaient autre chose qu’un simple traitement de routine. La connaissance complète de n’importe quelle physiologie extra-terrestre pouvait être obtenue en quelques minutes grâce à l’assimilation d’une bande éducative sensorielle, mais la capacité d’utiliser une telle connaissance, surtout dans le domaine chirurgical, ne pouvait venir qu’avec le temps. Conway était impatient d’acquérir ce savoir, et il était fier d’avoir consacré sa vie à la cause de la médecine.

À une intersection de la coursive, Conway vit un FGLI qu’il connaissait : un interne tralthien qui faisait progresser son corps de pachyderme sur six pieds spongieux. Ses courtes jambes trapues semblaient encore plus caoutchouteuses qu’à l’accoutumée, et le petit OTSB qui vivait en symbiose avec lui était pratiquement dans le coma.

— Bonjour, lui dit Conway.

— Crève, reçut-il en réponse.

Le mot avait été rendu intelligible grâce au traducteur automatique, et toute intonation en était absente. Conway sourit.

Ce soir-là, il y avait eu une activité considérable autour de la Réception, et tout laissait penser que le Tralthien n’avait eu droit ni à sa période de repos, ni à son temps de détente.

Quelques mètres plus loin, il rencontra un autre Tralthien qui marchait lentement aux côtés d’un petit DBDG tel que lui. Il n’était cependant pas entièrement semblable à Conway, car la classification DBDG regroupait sommairement tous les êtres ayant certaines particularités physiques : nombre de bras, de têtes, de jambes, etc … ainsi que leur emplacement. En fait, l’être possédait des mains à sept doigts, n’avait que un mètre vingt de hauteur, et il ressemblait à un joli petit ours en peluche. Conway avait oublié de quel système cet être était originaire, mais il se souvenait avoir entendu dire que son monde avait souffert d’une glaciation soudaine. Ce bouleversement avait provoqué un brusque développement de l’intelligence ainsi que l’apparition d’une épaisse fourrure rousse chez l’espèce la plus évoluée.

Le DBDG gardait ses mains derrière le dos et fixait le sol d’un regard incroyablement absent. Son gros compagnon semblait tout aussi concentré, mais il préférait fixer le plafond en raison de l’emplacement différent de ses organes optiques. Tous deux portaient des brassards dorés, qui indiquaient qu’ils n’étaient rien de moins que des maîtres diagnosticiens. Conway se retint de leur dire bonjour, ou de faire le moindre bruit.

Les deux diagnosticiens s’ignoraient l’un l’autre, et Conway pensa qu’ils étaient profondément absorbés par un problème d’ordre médical, ou encore qu’ils s’étaient querellés. Les diagnosticiens étaient des êtres étranges. Non pas qu’ils fussent fous, mais leur travail leur imposait une certaine forme de démence.

À chaque intersection des corridors, des haut-parleurs débitaient des messages dans des langues étrangères, et Conway n’y avait jusque-là pas prêté attention. Mais lorsque la voix se mit brusquement à parler anglais, et que Conway entendit prononcer son nom, la surprise l’immobilisa.

— … immédiatement au sas d’entrée numéro douze, répétait la voix. Classification VTXM-23, Dr. Conway, veuillez vous rendre immédiatement au sas d’entrée numéro douze. Classification VTXM-23 …

La première pensée de Conway fut qu’il devait s’agir d’une erreur. Tout laissait supposer que c’était un cas important, car le numéro 23 annoncé juste après la classification indiquait le nombre de patients qui l’attendaient. Et cette classification : VTXM, était entièrement nouvelle pour lui. Il connaissait naturellement la signification de chacune de ces lettres, mais il n’avait jamais pensé qu’elles pouvaient se combiner de cette manière. Tout ce qu’il put en déduire, c’était qu’il s’agissait d’une espèce télépathe. ( Le V placé au début indiquait qu’il s’agissait là de leur caractéristique la plus importante, et que la partie purement physique était secondaire. ) Ces êtres vivaient grâce à la conversion directe de la radioactivité, en tant que groupe coopératif, ou gestalt. Alors qu’il se demandait toujours s’il serait capable de s’occuper d’un pareil cas, il avait déjà fait demi-tour et revenait en arrière. Vers le sas numéro douze.

Ses patients l’attendaient près de l’entrée. Ils se trouvaient dans une petite boîte de métal autour de laquelle avaient été empilées des briques de plomb, et qui avait été chargée sur un puissant chariot-civière. L’infirmier lui expliqua rapidement que ces êtres s’appelaient des Telfi et que le diagnostic préliminaire permettait de préconiser un traitement dans l’Amphithéâtre des cures radioactives, qui avait déjà été irradié à son attention. Il ajouta qu’en raison de la maniabilité de ses patients, il gagnerait du temps en les emmenant avec lui jusqu’à la Salle d’Éducation, et en les laissant dans la coursive pendant qu’il assimilerait la bande éducative sensorielle Telfi.

Conway hocha la tête pour le remercier, puis il sauta sur le chariot et le mit en marche. Il essaya de donner l’impression qu’il faisait cela chaque jour.

Depuis que Conway était arrivé dans cet établissement surprenant qu’était l’Hôpital Général du secteur douze, il avait eu une vie agréable mais active qui n’avait été obscurcie que par une seule fausse note. Il y fut une fois de plus confronté lorsqu’il pénétra dans la Salle d’Éducation : le responsable en était un Moniteur. Conway haïssait les Moniteurs. La présence de l’un d’eux l’affectait plus que la proximité immédiate d’un malade contagieux. Et alors que Conway était fier d’être un homme sain, civilisé et moral, qui ne pouvait haïr personne, il éprouvait une profonde aversion pour eux. Il savait naturellement que certaines personnes perdaient parfois la tête, et qu’il fallait que certaines personnes fissent le nécessaire pour préserver la paix. Mais en raison de sa réprobation pour la violence sous toutes ses formes, Conway ne pouvait aimer les hommes qui entreprenaient de telles actions.

Et, de toute façon, que faisaient des Moniteurs au sein d’un hôpital ?

La silhouette vêtue d’un survêtement vert foncé, qui était assise devant la console de contrôle de l’Éducateur, se tourna rapidement à son arrivée et Conway reçut un autre choc. En plus de l’insigne de commandant qu’il avait sur l’épaule, le Moniteur portait également le caducée, l’emblème des médecins !

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