Stephen King - Fin de ronde

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Fin de ronde: краткое содержание, описание и аннотация

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Dans la chambre 217 de l’hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau.
Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi…
STEPHEN KING
« Après
et
les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d’horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l’inspecteur Hodges. »
Publishers Weekly

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Un chariot à repas gronde dans le couloir ; quelqu’un n’a pas encore déjeuné. Ruth Scapelli sursaute comme une femme s’éveillant d’un rêve et recule vers la porte, son regard passant de Hartsfield aux stores vénitiens, maintenant silencieux, pour revenir sur Hartsfield.

« Je vous laisse avec vos pensées, mais laissez-moi vous dire une dernière chose avant de partir. Si vous me refaites un doigt d’honneur, ce sera vraiment vos testicules. »

La main de Brady monte de ses genoux à sa poitrine. Elle tremble mais c’est seulement un problème de motricité ; grâce à ses dix séances de kinésithérapie par semaine, il a récupéré au moins un peu de tonicité musculaire.

Scapelli le dévisage, abasourdie, alors que le majeur se déploie et se tend vers elle.

Accompagné de ce sourire obscène.

« Vous êtes un monstre, dit-elle d’une voix basse. Une aberration. »

Mais elle ne s’approche plus de lui. Elle est tout à coup prise d’une peur irrationnelle de ce qui pourrait arriver si elle le faisait.

11

Tom Saubers est plus que disposé à rendre à Hodges le service qu’il lui a demandé, même si ça veut dire décaler deux rendez-vous de cet après-midi. Il doit à Bill Hodges bien plus qu’une visite de maison vide là-haut à Ridgedale ; après tout, l’ancien inspecteur de police — avec l’aide de ses amis Holly et Jerome — a sauvé la vie de son fils et de sa fille. Et très certainement de sa femme, aussi.

Composant le code qui figure sur un bout de papier clippé à son dossier, Tom coupe l’alarme dans l’entrée. Alors qu’il fait visiter les pièces du bas à Hodges, leurs pas résonnant dans la maison vide, il ne peut s’empêcher de réciter son baratin d’agent immobilier. Oui, c’est plutôt loin du centre, je vous l’accorde, mais du coup, vous avez accès à tous les services de la ville — eau, déneigement, ramassage des ordures, bus scolaires, bus municipaux — sans tout le bruit de la ville.

« La maison est équipée pour le câble et dépasse de loin les normes de construction standard, dit-il.

— C’est super, mais je suis pas là pour l’acheter. »

Tom le regarde avec curiosité.

« Vous êtes là pour quoi , alors ? »

Hodges ne voit aucune raison de ne pas lui dire.

« Pour savoir si quelqu’un ne l’aurait pas utilisée pour observer la maison de l’autre côté de la rue. Il y a eu un meurtre-suicide en face le week-end dernier.

— Au 1601 ? Mon Dieu, Bill, c’est horrible . »

Oui, pense Hodges, c’est horrible, et je suis sûr que tu te demandes déjà à qui tu devrais t’adresser pour devenir l’agent immobilier de cette maison-là.

Pas qu’il en tienne rigueur à Tom, qui a lui-même vécu son propre enfer à la suite du Massacre du City Center.

« Je vois que vous n’avez plus besoin de votre canne, remarque Hodges alors qu’ils montent au premier étage.

— Je m’en sers parfois le soir, surtout si le temps est pluvieux, dit Tom. Les scientifiques soutiennent que le truc des articulations plus douloureuses par temps humide est une connerie, mais moi je peux vous dire que c’est un de ces contes de bonne femme sur lesquels vous pouvez parier. Donc nous avons ici la chambre principale, vous noterez qu’elle est orientée est pour capter toute la lumière du matin. La salle de bains est agréable et spacieuse — la douche est équipée de jets massants — et juste au bout du couloir vous avez… »

Oui, c’est une belle maison, Hodges n’en attendait pas moins de Ridgedale, mais rien n’indique que quelqu’un soit passé par là récemment.

« Vous avez vu tout ce que vous vouliez voir ? demande Tom.

— Je pense, oui. Vous n’avez rien remarqué de spécial ?

— Rien du tout. Et l’alarme est de qualité. Si quelqu’un était entré par effraction…

— Ouais, dit Hodges. Désolé de vous avoir fait sortir par un froid pareil.

— Ne soyez pas ridicule, je devais sortir de toute manière. Et ça m’a fait plaisir de vous voir. » Ils sortent par la porte de la cuisine, que Tom verrouille derrière lui. « Même si vous avez l’air affreusement mince.

— Ben, vous savez ce qu’on dit, on est jamais trop mince ni trop riche. »

Tom, qui à la suite de ses blessures a été à la fois trop mince et trop pauvre, sourit poliment et commence à contourner la maison. Hodges le suit sur quelques pas puis s’arrête.

« Est-ce qu’on peut regarder dans le garage ?

— Bien sûr, mais il n’y a rien là-dedans.

— Rien qu’un petit coup d’œil.

— Jamais trop vigilant, hein ? Je comprends, laissez-moi juste attraper la bonne clé. »

Sauf qu’il n’a pas besoin de clé : la porte du garage est entrouverte de cinq centimètres. Les deux hommes regardent en silence la serrure endommagée et les éclats de bois brisé. Enfin, Tom dit :

« Eh ben. Ça alors.

— Le garage n’est pas protégé par le système d’alarme, j’imagine ?

— Vous imaginez bien. Il n’y a rien à protéger là-dedans. »

Hodges pénètre dans une pièce rectangulaire aux murs en bois nus et au sol en béton coulé. Il y a des empreintes de bottes sur le béton. Hodges voit son souffle se condenser, et autre chose aussi. En face de la porte basculante de gauche, il y a une chaise. Quelqu’un s’est assis là pour regarder dehors.

Depuis quelque temps, Hodges ressent une gêne croissante du côté gauche de l’estomac, une gêne d’où percent des tentacules allant s’enrouler autour de ses reins. Mais cette douleur est presque une vieille amie à présent, et pour l’instant, elle est momentanément éclipsée par l’excitation.

Quelqu’un s’est assis là pour regarder le 1601, pense-t-il. Je serais prêt à parier ma ferme là-dessus — si j’en avais une.

Il marche jusqu’à l’avant du garage et s’assoit à la place de l’observateur. Trois fenêtres horizontales occupent le milieu de la porte, et celle de droite a été dépoussiérée. La vue donne directement sur la grande baie vitrée du salon du 1601.

« Hé, Bill, dit Tom. Il y a quelque chose sous la chaise. »

Hodges se penche pour regarder, même si ce mouvement rallume l’incendie dans son abdomen. Ce qu’il aperçoit, c’est un disque noir d’environ sept centimètres de diamètre. Il le ramasse en le pinçant par les côtés. Estampé dessus en lettres dorées figure un seul mot : STEINER.

« Ça vient d’un appareil photo ? demande Tom.

— D’une paire de jumelles. Certains services de police à gros budget utilisent des Steiner. »

Avec une bonne paire de Steiner — et à ce qu’il sait, une mauvaise paire de Steiner, ça n’existe pas —, on pouvait se retrouver directement dans le salon d’Ellerton et Stover, en supposant que les stores soient levés… et ils l’étaient ce matin quand lui et Holly se sont rendus chez elles. Bon sang, si les deux femmes étaient en train de regarder CNN, l’observateur aurait carrément pu lire les nouvelles défilant au bas de l’écran.

Hodges n’a pas de sachet en plastique où déposer la preuve mais il a un petit paquet de mouchoirs dans la poche de son manteau. Il en sort deux, enveloppe délicatement le capuchon de protection dedans et le glisse dans la poche intérieure de son manteau. Il se lève de la chaise (déclenchant un nouvel élancement ; cet après-midi, la douleur est aiguë) et repère autre chose. Quelqu’un a gravé une lettre dans le bois entre les deux portes basculantes. Peut-être avec un canif.

C’est la lettre Z.

12

Ils sont presque revenus dans l’allée quand Hodges est la proie de quelque chose de nouveau : une morsure fulgurante derrière le genou gauche. Il a l’impression qu’on vient de le poignarder. Il crie de surprise autant que de douleur et se penche en avant, malaxant le nœud de douleur lancinante, essayant de le faire céder. Du moins de le desserrer un peu.

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