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Frédéric Dard: Turlute gratos les jours fériés

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Frédéric Dard Turlute gratos les jours fériés

Turlute gratos les jours fériés: краткое содержание, описание и аннотация

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Que tu sois religieux ou non, l'idée te viendrais jamais d'aller zinguer quelqu'un dans un confessionnal, je parie ? Eh bien tout le monde n'est pas comme toi, mon joli ! A preuve, cette dame défuntée de mort violente dans la guitoune aux péchés. Mais le plus farce, si j'ose dire, c'est qu'elle-même s'apprêtait à flinguer son confesseur ! Tu parles d'une chasse à courre, mon neuveu ! Cela dit, ce que je te raconte n'est que le début du . Son gracieux point de départ. Je te cause pas de l'arrivée ! Alors là, espère : ceux qu'auront pas numéroté leurs abattis auront intérêt à retourner chez leur mère pour lui demander qu'elle les refasse ! Après tout, pourquoi elles auraient pas droit à un brouillon, les mamans ? Je constate de plus en plus qu'en neuf mois t'as pas le temps de faire quelque chose de bien !

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« Youyouille ! Crispe-toi pas si fort, la Belgium, tu m’étrangles la collerette à milord ! Le coup du casse-noisettes, je déteste pas, mais n’à c’point, c’t’un peu beaucoup ! Tu m’étouffes les roustons, poupée ! J’ai la tringle prise dans un engrenage. Détends-toi, beauté, rilaxe à mort qu’autrement sinon tu m’cigognes l’andouille de Vire. Calmos, poulette. On vaque de la moule. On n’panique pas ! C’est tout bon. Laisse-moive vagabonder du Nautilus. C’est pour ton panoche, ma jolie.

« Ça y est, j’sens qu’ t’assagis d’la chattoune. C’est l’bonheur en culotte d’v’lours qui se pointe. Bath, non ? Tu piges, n’en plus, comme le train arrange nos transports, si on peut dire ? C’balançage, c’est pas un rêve, chérie ?

« Qui c’est qui toque à la lourde ? L’contrôleur ? Qu’est-ce y nous fait chier ? Y veuille nos biftons ? Donne-lui-les-lui, Sana. Qù qu’est l’tien, ma frivole ? Dans, ton sac. Tu permesses que mon pote l’prisse ? Ça m’éviterera d’défourrer. Attends, j’écarquille les pans d’mon lardeuss, manière d’t’placarder l’joufflu.

« Voilà ! Bonjour, contrôleur ! Alors, ça contrôle dur ? Voiliez, je tire la cramp’ à médème qu’est sujette. Si on la masserait pas, elle évanouirait tant tell’ment la douleur est douloureuse. Tu sens qu’ ça passe, ma biche ? Comment ? Non ? Ça vient, n’au contraire ? Freine, ma gosse ! Y a l’contrôleur ! Et y n’en finit pas d’poinçonner, ce glandu ! C’est pour dire d’attarder ! Un mateur, j’en étais sûr ! Av’c ce pif pointu et ses yeux en trous d’pine, fallait s’y attend’. C’est des mecs qu’ont rien à branler, alors tu penses si y s’régalent !

« Oh ! putain d’merde, glapis pas d’la sorte, on croirerait une pintade qu’a r’nouché l’renard. Tu dis quoi ou qu’est-ce ? Articule, vérole ! Tu peux plus t’retiendre ? Bon, ben, qu’est-ce tu veuilles qu’ j’te dise, la grande, à l’impossib’ nul n’est t’nu : vas-y, ma poule, mayonnaise tout ton chien d’soûl ! Ces choses-là, c’est la nature qu’éguesige. Dedieu, c’te frénétiqu’rie, la vioque ! Et la v’là qu’hurle en belge. C’est flattant d’faire jouir une frangine dans un’ langue étrangère ! Mais é va nous faire dérailler, à trémoler du fion pareillement ! La Babiola la verrerrait, é dégoupillerait son chapelet d’urgence. « R’cule pas commak, on va s’retrouvever dans l’couloir ! Ferme la porte, Tonio ! Y l’a joué cassos, l’officier-poinçonneur ? Moui ? Bon vent ! Tu parles d’un polisson ! Faudrait lui interpréter toute la partition d’moule à paf sans rater une note, c’drôlet !

« Youye : v’là ma princesse qui nous fait sa grande scène d’la rondelle en flammes ! Va y avoir d’la surchauffe dans l’manche à balai. Ma parole, é m’bouffe la matraque av’c son réchaud à gaz ! Vise, Antoine ! Vise un peu : on s’jurerait dans un dessin animé. Tu vois plus son prose, tant tell’ment qu’y l’est endiablé. Ah ! l’est pas feignante d’l’écrou, la compatriote à Brel ! On y a posé un’ dynamo dans l’fond’ment, c’est pas possib’, sinon ! T’as mordu la manière qu’elle tourbillonne d’l’armoire normande ? On lui distingue plus les varices, non plus qu’les vergetures ni les bourrelets. La vitesse qui l’embellit, c’te petite mère !

« Putain, c’te gueulée qu’é pousse ! Chante, Antoine, chante fort pour couvrerir son panard ! Une tyrolienne, j’aimerais, des vocabulises, l’grand air d’Lacné, grouille ! Pourvuve qu’a pas un con qui nous tire la sonnette d’alarme, si ça s’trouverait ! T’as toujours des chiasseux partout qu’effrayent d’un rien. Des moudus qu’est prêts à paniquer.

« Là, voilà, la belle s’calme. É défaillance de trop d’panard. Assoye-toi, ma poule. Occupe-toi pas d’mon plaisir, j’ai l’gland en surchauffe, j’m’mettrerai à jour plus tard, av’c une autre. T’es toute pâlotte, ma loute. Trop d’intensification, hé ? Sans compter qu’ t’es p’t’être cardiologue, mahousse comm’ j’te voye. T’faudrait consulter un espécialisse.

« Attends, j’vais baisser la fnêtre… Merderie ! L’est fisque ! D’nos jours qu’on climatiste à outrance, tu n’respires plus qu’ d’l’air en conserve. Détends-toive bien, la Belgiume. C’est beau une gonzesse qui vient de morfler du chibre, même quand s’agit d’une grosse viandeuse flamande. La nature, c’est toujours bioutifoule. Faut savoir la contempler. Ma fibre poétesse qui m’emporte. Si j’serais été moins gros av’c d’l’instruction, j’écriverais des vers, kif l’père Hugo.

« La v’là qui s’endort su’ son big panard. Faut dire que j’y ai pas été de queue-morte ! T’as admiré c’t’trousserie giante, Sana ? L’est épuisée par mon embroque, la dondon. Tu voyes, grand, n’à m’sure qu’ l’temps passe, j’apprécille plus d’faire reluire qu’ d’reluire moi-même. Aut’ fois, j’avais qu’l’ soucille d’tremper et d’déflaquer en Chronopost.

M’vider les saccohes à paf, c’est la seule chose dont j’étais intéressé. Au plus ça allait vite, au mieux j’m’sentais. Le panard de la copine, j’en avais stristement rien à foutre. Qu’é restasse en rideau av’c l’escarguinche tout déconfituré m’laissait en différent.

« Et pis, v’là que son fade à ma partenaire s’est mis à m’captiver. « J’prends un malin plaisir à c’qu’é trempasse sa culotte Petit Barlu avant l’entrée de mon gladiateur. D’abord ça facilite les r’lations consexuelles, mais n’en outr’ ça crée la bonne ambiance ; sans parler qu’avec mon féroce calibre, j’ai intérêt à c’qu’on s’fréquente à marée haute ! Car si c’est chouette d’avoir une rapière grosse comme le bras, ça crée parfois des problèmes. Tu l’sais, m’est arrivé d’tomber su’ des frangines pas spacieuses du corridor qui n’sont jamais arrivevées à m’admett’.

« Enfin, c’est la vie : qu’on l’aye mastoque ou chipolateuse, ce qui compte c’est d’pouvoir s’en servir. »

Il feule Bengale, loufe caserne et s’endort sans avoir refermé sa braguette à grand spectacle.

Je ressasse ces péripéties ferrovieuses en gagnant le Bois de la Cambre.

Je ne me doute pas, à cet instant, que je viens de mettre le pied dans l’une des plus stupéfiantes aventures qui me soient jamais arrivées.

11

POUR BIEN MARCHER

IL FAUT METTRE UN PIED DEVANT

L’AUTRE ET RECOMMENCER

L’assassinat de chanoine, ça devait être un violon d’Ingres pour feue M meBallamerdsche et pas du tout une nécessité, si j’en juge par la maison qu’elle habitait au Bois de la Cambre.

La masure d’au moins vingt pièces se dresse au centre d’une immense pelouse entourée de grands arbres du style cèdres ou ifs. Elle est faite de briques rouges sur lesquelles se détachent les portes et les fenêtres peintes en blanc. Des massifs d’hortensias roses bordent cette somptueuse demeure. À droite, des garages avec les appartes du perso au-dessus. Espère : ça en jette à poignées dans les mirettes de l’arrivant que je suis. On devine un vaste potager sur l’arrière, et puis un tennis et une piscaille couverte. M’est avis qu’il ne suffit pas d’être tueur à gages pour entretenir ce genre de palace ; ou alors faut n’avoir à effacer que des chefs d’État au lieu de curetons de banlieue et se faire carmer un maxi.

En contemplant cette opulence, je ne peux me défendre d’un sentiment très fort, fait de stupeur à quatre-vingts pour cent et du reste à vingt. Comment se fait-il que la propriétaire d’une telle crèche se rendît dans une église, armée d’un riboustin, avec la cruelle intention de perforer un bon chanoine natif de la grasse Normandie béruréenne ? Par quel obscur cheminement cette riche personne en arrive-t-elle à cette sinistre décision ? Que représente-t-elle pour que des ennemis contrecarrent son funeste projet et la mettent à mort avant qu’elle ne puisse l’exécuter ? Mystères ! Mystères en chaîne ! En avalanche !

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