Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

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Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

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Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

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— Ça va, là ?

— Oui, à part les éclaboussures que tu as sur ton jean.

— Pas ailleurs ?

— Non, à part dans tes cheveux.

Cette nouvelle me propulsa dans un état hystérique.

— Retire-moi ça ! Retire-moi ça ! RETIRE-MOI ÇAAAAAA !

Morelli me plaqua une main sur la bouche.

— Chut.

— Re-ti-re-moi-ça.

— Comment veux-tu que je fasse ? Il faut que tu te laves les cheveux.

Il me tira vers la rue.

— Tu peux marcher ?

Je titubai à sa suite.

— Bon, ça va, fit Morelli. Continue comme ça. Tu seras à la camionnette en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Et après, je t’emmène à la douche. Une ou deux heures de récurage, et tu brilleras comme un sou neuf.

— Un dessous neuf ?

Mes oreilles bourdonnaient et ma voix me semblait venir de très loin… comme si j’avais la tête dans un bocal. Un dessous neuf ?

On arriva à la camionnette et Morelli ouvrit les portes arrière.

— Tu ne vois pas d’inconvénient à voyager à l’arrière ? me demanda-t-il.

Je le dévisageai, la tête vide. Morelli me braqua la torche électrique dans les yeux.

— Tu es sûre que ça va ?

— Quelle race, le chien, à ton avis ? lui demandai-je.

— Gros.

— Quelle race ? !

— Un rottweiller. Mâle. Vieux et suralimenté. Dents pourries. A mangé beaucoup de thon ces derniers temps.

Je fondis en larmes.

— Ah non, implora Morelli, ne chiale pas. Je n’aime pas quand tu pleures.

— J’ai de la merde de rottweiller dans les cheveux, sanglotai-je.

Du pouce, Morelli sécha mes larmes sur ma joue.

— Te bile pas, trésor. Ce n’est pas si terrible que ça. Je blaguais pour le thon.

Il me hissa dans la camionnette.

— Accroche-toi, me lança-t-il. Tu vas être chez toi en moins de deux.

Il me ramena à mon appartement.

— J’ai pensé que tu ne voudrais pas que ta mère te voie dans cet état, me dit-il.

Il chercha la clef de chez moi dans mon sac et ouvrit la porte.

Il faisait frais dans l’appartement qui avait un vague air abandonné. Et silencieux. Pas de Rex sprintant dans sa roue. Pas de lampe allumée pour me souhaiter la bienvenue.

La cuisine me fit signe à ma gauche.

— Il me faut une bière, dis-je à Morelli.

Je n’étais plus pressée de passer sous la douche. Mon odorat s’était émoussé. Je m’étais résignée à avoir les cheveux cacateux.

J’allai mollement dans ma cuisine et tirai sur la porte du réfrigérateur. Elle s’ouvrit sans problème. La petite loupiote s’alluma comme de coutume, et je regardai, hébétée, le pied qui se trouvait sur une clayette… un gros panard crasseux qui trônait entre un bloc de margarine et un bocal de canneberges rempli aux trois quarts.

— Y a un pied dans mon frigo ! criai-je à Morelli.

J’entendis un concert de cloches, vis un feu d’artifice, sentis des fourmis dans mes lèvres et m’écroulai par terre.

Je me débattis pour sortir des limbes de l’inconscience et ouvris les yeux.

— Maman ?

— Pas tout à fait, me dit Morelli.

— Que s’est-il passé ?

— Tu es tombée dans les pommes.

Je me relevai en flageolant sur mes jambes.

— Et si tu passais sous ta douche pendant que je m’occupe du reste ? fit Morelli. Tiens, prends ta bière.

Je considérai la canette qu’il me tendait.

— Elle ne sort pas de mon frigo ? lui demandai-je.

— Mais non. Elle vient d’ailleurs.

— Bien. Sinon, je n’aurais pas pu la boire.

— Je sais, dit Morelli, me poussant vers la salle de bains. Bon maintenant, va boire ça sous ta douche.

Quand j’en ressortis, je retournai à la cuisine où je tombai sur deux policiers en uniforme, un type du laboratoire de police et deux autres en civil.

— J’ai ma petite idée sur le propriétaire de ce pied, dis-je à Morelli, en train d’écrire sur un clipboard.

— J’ai la même que toi, me dit-il.

Il me tendit le clipboard.

— Signe ici.

— Qu’est-ce que c’est ?

— Une déposition préliminaire.

— Comment Kenny s’y est-il pris pour mettre ce pied dans mon frigo ?

— En cassant le carreau de ta chambre. Tu devrais faire installer une alarme.

L’un des flics en uniforme partit en emportant une grosse glacière en polystyrène. Je ravalai une vague de dégoût.

— C’est le pied ? demandai-je.

Morelli me répondit par un signe de tête affirmatif.

— J’ai nettoyé ton frigo vite fait, me dit-il. Tu le récureras à fond quand tu auras le temps.

— Merci de ton aide.

— On a fouillé ton appartement. On n’a rien trouvé d’autre.

Le deuxième flic partit à son tour, suivi par ses collègues en civil.

— Alors ? fis-je à Morelli. Prochaine étape ? Ça n’a pas servi à grand-chose d’aller chez Sandeman.

— Maintenant, on va surveiller Spiro.

— Ce n’est pas ce que fait Roche ?

— Roche reste au salon funéraire. Nous, on va lui coller aux fesses.

On scotcha un gros sac-poubelle en plastique sur le carreau cassé, on éteignit la lumière et on sortit en verrouillant la porte. Il y avait un attroupement dans le couloir.

— Alors ? fit Mr. Wolesky. Qu’est-ce qui se passe ? Personne ne nous dit rien.

— On a cassé une de mes fenêtres, lui dis-je. Je pensais que ça pouvait être plus grave, alors j’ai appelé la police.

— Vous vous êtes fait cambrioler ?

— Non, on ne m’a rien pris.

Pour autant que je sache.

Mrs. Boyd ne semblait pas prête à me croire sur parole.

— Et la glacière que portait le flic ? fit-elle. Qu’est-ce qu’elle contenait ?

— Des bières, lui répondit Morelli. On va à une soirée chez des amis à moi.

On plongea dans l’escalier et on regagna la fourgonnette au petit trot. Morelli ouvrit la portière côté chauffeur, et une odeur de chien malade déferla sur nous, nous forçant à battre en retraite.

— Tu aurais dû laisser les vitres baissées, dis-je à Morelli.

— On va attendre un peu. Ça devrait se tasser.

Au bout de quelques minutes, on s’approcha du bout des pieds.

— Ça sent toujours aussi mauvais, dis-je.

— Bon, je n’ai pas le temps de laver la caisse. On n’aura qu’à rouler vitres baissées, le vent devrait chasser l’odeur.

Cinq minutes plus tard, ça puait toujours autant.

— Je craque, finit par dire Morelli. Je ne supporte plus cette odeur. Je vais changer de véhicule.

— Tu veux passer chez toi pour prendre la camionnette ?

Il tourna à gauche dans Skinner Street.

— ’peux pas. Je l’ai prêtée au gars à qui j’ai emprunté cette caisse.

— Et la voiture de police banalisée ?

— En réparation. On va prendre ta Buick.

Tout soudain, je la voyais d’un œil plus indulgent.

Morelli se gara juste derrière ma Grande Bleue.

J’ouvris la portière de la fourgonnette et avais déjà le pied par terre avant qu’elle soit arrêtée. Je sortis dans l’air vivifiant, respirant à pleins poumons, agitant les bras et secouant la tête pour me débarrasser de toute puanteur résiduelle.

On monta dans la Buick d’un même allant et on resta assis un long moment sans bouger, appréciant l’air pur qui y régnait. Je mis le contact.

— Il est onze heures, dis-je à Morelli. Tu veux qu’on aille directement chez Spiro ou qu’on passe d’abord au salon funéraire ?

— Deuxième proposition. J’ai téléphoné à Roche pendant que tu prenais ta douche, et Spiro était encore à son bureau.

À notre arrivée chez Stiva, le parking était désert. Il y avait plusieurs voitures garées dans la rue. A première vue, toutes étaient inoccupées.

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