Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

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Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

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Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

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— C’est inadmissible ! Comment as-tu osé me faire ça ? C’est une atteinte à la vie privée !

Et aussi un mensonge. Il avait surtout la trouille que je sois sur une piste et que je ne le mette pas au courant. Je baissai la vitre et jetai le bitonio sur le trottoir.

— T’es pas folle ? fit Morelli. Ça vaut quatre cents dollars ce truc.

Il descendit le récupérer. Je refermai la portière et la verrouillai. Qu’il aille au diable ! J’aurais dû réfléchir à deux fois avant d’accepter de faire équipe avec lui. Je repassai par-dessus les sièges et m’installai au volant.

Morelli tenta d’ouvrir la portière côté passager. En vain. Elles étaient toutes verrouillées et elles allaient le rester. Sa bite pouvait bleuir de froid, et je m’en fichais ! Ça lui servirait de leçon. Je fis tourner le moteur et démarrai, laissant Morelli au beau milieu de la rue, en chemise, chaussettes, la quéquette en berne.

À l’intersection suivante, je réfléchis. Ce n’étais peut-être pas une très bonne idée d’abandonner un flic nu comme un ver en pleine rue, en pleine nuit ? Et s’il se faisait agresser par une bande de voyous ? Probable qu’il ne pourrait même pas courir vu son état. Très bien, me dis-je. Je vais le tirer de là. Je fis demi-tour et revint dans la petite rue. Je trouvai Morelli à l’endroit où je l’avais laissé, mains sur les hanches, l’air écœuré.

Je ralentis à sa hauteur, baissai la vitre et lui lançai son revolver.

— Tiens, lui-dis-je. Ça peut toujours servir. Sur ce, j’appuyai sur le champignon et repartis pleins gaz.

14

Je gravis l’escalier en catimini et poussai un soupir de soulagement une fois en sécurité, enfermée à double tour dans ma chambre. Je n’aurais pas eu envie de devoir raconter à ma mère ma séance je-me-suis-fait-peloter-dans-la-Buick. Ni que son regard au laser ne détecte ma petite culotte roulée en boule dans la poche de mon blouson. Je me déshabillai sans allumer la lumière, me laissai tomber sur mon lit et ramenai mes couvertures sous mon menton.

Je m’éveillai en ayant deux regrets. Le premier était d’avoir laissé tomber la surveillance et donc de ne pas savoir si Kenny avait été arrêté. Le deuxième, d’avoir raté mon créneau horaire pour l’utilisation de la salle de bains et d’être, une fois encore, la dernière de la file d’attente.

Je restai couchée, écoutant les allées et venues dans la salle de bains… d’abord les pas traînants de ma mère, puis ceux de mon père et enfin ceux de ma grand-mère. Lorsque l’escalier grinça quand elle le descendit, je me drapai dans le peignoir matelassé rose qu’on m’avait offert pour mes seize ans, et gagnai la salle de bains sans me presser. La petite fenêtre qui se trouvait au-dessus de la baignoire était fermée contre le froid, et l’air ambiant était chargé d’une odeur de mousse à raser et de Saintol.

Je me douchai rapidement, me séchai les cheveux à la serviette, et enfilai un jean et un sweat-shirt. Je n’avais aucun projet pour la journée, outre garder l’œil sur ma grand-mère et sur Spiro. À supposer, bien entendu, que Kenny ne se soit pas fait choper hier soir.

J’allai à la cuisine en me laissant guider par l’arôme du café et je trouvai Morelli attablé, en train de prendre un petit déjeuner. Je déduisis de l’aspect de son assiette qu’il venait de finir des œufs au bacon. Il se carra dans sa chaise en me voyant, tasse de café à la main, et me dévisagea d’un air supputatif.

— B’jour, me lança-t-il, d’une voix neutre, le regard indéchiffrable.

Je me servis un mug de café.

— Bonjour.

Pas de commentaires.

— Quoi de neuf ? demandai-je.

— Rien. Ce n’est pas aujourd’hui que tu toucheras ta commission.

— C’est pour me dire ça que tu es venu ?

— Non. Pour récupérer mon portefeuille que je crois avoir oublié dans ta voiture.

— Ah oui.

Avec divers autres effets personnels.

Je bus une gorgée de café et reposai la tasse sur le comptoir.

— Je vais te le chercher, lui dis-je.

Morelli se leva.

— Je vous remercie pour ce délicieux petit déjeuner, dit-il à ma mère, dont le visage s’illumina d’un sourire béat.

— Ma maison vous est ouverte, lui dit-elle. Les amis de Stéphanie sont toujours les bienvenus.

Il me suivit dehors et me regarda sortir ses vêtements de la Buick.

— Tu disais vrai pour Kenny ? lui demandai-je. Il ne s’est pas pointé hier soir ?

— Spiro est resté jusqu’à deux heures passées. D’après le son, on aurait dit qu’il jouait à un jeu sur son ordinateur. C’est tout ce que Roche a entendu grâce au micro. Pas de coups de fil. Pas de Kenny.

— Spiro devait attendre quelque chose qui ne s’est pas produit.

— On le dirait bien.

L’épave d’une voiture de police était garée derrière ma Buick.

— Je vois que tu as récupéré ta bagnole, fis-je à Morelli.

Elle était toujours aussi cabossée et le pare-chocs se trouvait toujours sur la banquette arrière.

— Je croyais que tu l’avais donnée à réparer, lui dis-je.

— Oui. Ils ont réparé les phares.

Il jeta un coup d’œil en direction de la maison.

— Ta mère nous regarde de la porte, dit-il.

— J’ai vu.

— Si elle n’était pas là, je te secouerais comme un prunier jusqu’à ce que tes plombages te sautent de la bouche.

— Brutalité policière.

— Ça n’a rien à voir avec le fait que je sois flic. Mais avec le fait que je suis italien.

Je lui tendis ses chaussures.

— J’aimerais vraiment que tu me tiennes au courant en cas d’arrestation.

— Je ferai le maximum pour que tu y participes.

Nos regards se croisèrent. Devais-je le croire ? Non.

— Tu ferais mieux de réfléchir à une bonne histoire pour expliquer à ta mère pourquoi mes fringues étaient dans ta bagnole, me dit-il, sortant ses clefs de voiture de sa poche.

— Elle ne me posera pas de question. Des vêtements d’homme dans ma voiture, j’en ai tous les jours.

Morelli me fit un sourire forcé.

— Qu’est-ce que c’était que ces vêtements ? voulut savoir ma mère quand j’arrivai à sa hauteur. Un pantalon, des chaussures ?

— Ça ne te regarde pas, lui dis-je.

— Moi, ça me regarde ! fit mamie Mazur. Je parie que c’est une histoire qui vaut le détour.

— Comment va ta main ? lui demandai-je. Tu as mal ?

— Uniquement quand je serre le poing, ce que je ne peux pas faire avec ce gros bandage. Je serais dans de beaux draps si ça avait été la main droite.

— Tu as des projets pour aujourd’hui ?

— Pas avant ce soir. Joe Loosey est toujours exposé. Je n’ai vu que son pénis, tu comprends, alors j’aimerais bien voir le reste de la bête…

— A ma mort, je veux être incinéré ! nous cria mon père du salon où il lisait le journal. Pas d’exposition dans aucun salon funéraire !

— Depuis quand ? lui demanda ma mère, se détournant de ses fourneaux.

— Depuis que Loosey a perdu sa bite. Je ne tiens pas à courir ce risque. Je veux aller directement de mon lit de mort au crématorium.

Ma mère posa devant moi une assiette d’œufs brouillés. Elle y ajouta une tranche de bacon, du pain grillé et un jus de fruit.

Je mangeai les œufs en réfléchissant aux choix que j’avais pour la journée. Je pouvais rester cloîtrée à la maison et materner ma grand-mère ; je pouvais la materner en la faisant suivre ; je pouvais vaquer à mes occupations en espérant que Kenny n’avait pas noté mamie Mazur sur son emploi du temps de la journée.

— Tu veux encore des œufs ? me demanda ma mère. Du pain grillé ?

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