Janet Evanovich - Deux fois n’est pas coutume

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Deux fois n’est pas coutume: краткое содержание, описание и аннотация

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Stéphanie Plum est chasseuse de prime. Sa spécialité : ramener les libérés sous caution récalcitrants au tribunal. Un job sans grande surprise, sauf quand il s'agit de mettre la main sur Kenny Mancuso. Un vrai coriace trempé dans une affaire de trafic d'armes, qui passe son temps à découper des cadavres et à envoyer les morceaux à Stéphanie. Sans compter les quarante cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres. Un vrai casse-tête. Évidemment, tout irait mieux si Morelli, flic et pot de colle, n'était pas toujours pendu à ses basques. Heureusement, Stéphanie à une grand-mère qui s'y connaît en flingues et en salons funéraires.

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Je ne vis Morelli nulle part dans le parking de chez Spiro, mais je supposai qu’il était là. Je repérai deux camionnettes et un camion bâché. Trois possibilités.

J’allai chercher Spiro et on partit pour le salon funéraire. Quand je m’arrêtai au feu à l’angle de Hamilton Avenue et de Gross Street, on tourna tous deux la tête vers la station-service.

— On devrait peut-être aller poser quelques questions, suggéra Spiro.

— Lesquelles ?

— Au sujet de la camionnette de livraison. Juste comme ça. Ça pourrait être intéressant de voir si c’était bien Moogey qui avait volé les cercueils.

J’avais deux possibilités. Soit je le mettais au supplice en disant « À quoi bon, laissons tomber », et passais mon chemin ; soit je pouvais entrer dans son jeu pour voir ce qu’il en sortirait. Il était indéniable que j’aurais du mérite à torturer Spiro, mais mon intuition me dicta de laisser la balle dans son camp et de suivre le mouvement.

Les ateliers de réparation étaient ouverts. Sandeman devait donc être là. Je m’en moquais. Comparé à Kenny, Sandeman était un enfant de chœur. Cubby Delio travaillait dans le bureau. Spiro et moi entrâmes d’un même pas.

À la vue de Spiro, Cubby nous accorda instantanément toute son attention. Spiro était peut-être un enfoiré mais il représentait le salon funéraire qui était un des plus gros clients du garage. C’était ici que Stiva faisait réviser tous ses véhicules et venait faire le plein d’essence.

— On m’a dit pour votre bras, dit Cubby à Spiro. Si c’est pas une honte ! Je sais que Kenny et vous étiez potes. Il a dû tomber sur la tête. C’est ce que tout le monde pense.

Spiro éluda d’un geste de la main signifiant que tout cela n’était rien de plus qu’un fâcheux contretemps. Il pivota sur ses talons et regarda par la fenêtre la camionnette toujours garée devant l’atelier de révision.

— Je m’interrogeais sur ce véhicule, dit-il à Cubby. Macko est un de vos clients habituels ?

— Oui, oui. Ils ont un compte chez nous, comme vous. Ils ont deux camionnettes comme celle-là, et on s’occupe des deux.

— Qui vous les amène ? Toujours le même gars ?

— En général, c’est soit Bucky soit Biggy. Ça fait des années qu’ils sont chauffeurs chez Macko. Pourquoi ? Y a un problème ? Vous cherchez à vous meubler ?

— J’y songe, fit Spiro.

— C’est une bonne boîte. Une entreprise familiale. Ils les bichonnent, leurs véhicules.

Spiro glissa son avant-bras blessé sous sa veste. Le petit homme se donnait des airs du grand empereur.

— Vous n’avez toujours pas remplacé Moogey à ce que je vois ? dit Spiro.

— J’avais bien trouvé quelqu’un, mais il n’a pas fait l’affaire. Pas facile à remplacer, Moogey. Quand il tenait la station, ce n’était même pas la peine que je vienne. Je pouvais prendre une journée une fois par semaine et aller à l’autodrome. Même après qu’on lui a tiré dans le genou, je pouvais compter sur lui. Il continuait à venir bosser.

Je soupçonnai Spiro de penser la même chose que moi, à savoir que c’était peut-être lors d’une de ces journées autodrome que Moogey avait emprunté la camionnette de chez Macko. Ce qui, évidemment, impliquait que quelqu’un d’autre était resté pour tenir la station-service. Ou que c’était ce quelqu’un d’autre qui était parti au volant de la camionnette.

— C’est dur de trouver un bon employé de nos jours, dit Spiro. J’ai le même problème, vous savez.

— J’ai un bon mécanicien, dit Cubby. Sandeman a ses jours, mais c’est un super mécano. Avec les autres, c’est le va-et-vient permanent. J’ai pas besoin d’un ingénieur en aérospatiale pour faire des pleins ou changer des pneus. Si je pouvais trouver quelqu’un pour tenir le bureau à plein temps, ce serait bon.

Spiro tint encore quelques propos huileux à souhait et se glissa hors du bureau.

— Vous connaissez les gars qui travaillent ici ? me demanda-t-il.

— J’ai eu l’occasion de parler à Sandeman. Il se donne des airs. Il consomme des drogues douces, à l’occasion.

— Vous vous entendez bien avec lui ?

— Je ne crois pas être son genre de femme.

Spiro baissa les yeux vers mes pieds.

— C’est peut-être à cause de ces pompes, dit-il.

Je dus tirer de toutes mes forces sur la portière de la Buick pour réussir à l’ouvrir.

— Vous avez d’autres réflexions à me faire ? Au sujet de ma voiture peut-être ?

Spiro se carra dans son siège.

— Je dois dire qu’elle est impressionnante, dit-il. Au moins vous savez choisir vos bagnoles.

J’escortai Spiro jusqu’à l’intérieur du salon funéraire où toutes les alarmes paraissaient intactes. On fit un examen superficiel de ses deux clients pour être sûrs que personne ne les avait délestés d’une quelconque partie de leur anatomie, puis je dis à Spiro que je repasserais le soir et qu’il pouvait me biper en cas de pépin.

J’aurais bien aimé pouvoir surveiller Spiro, car j’étais sûre qu’il allait vouloir suivre la piste que je lui avais donnée, et qui sait où elle allait le mener ? Et surtout, si Spiro bougeait, peut-être Kenny allait-il bouger lui aussi ? Malheureusement, je ne pouvais pas assurer une surveillance efficace avec ma Grande Bleue. Il allait falloir que je me dégote un autre véhicule si je voulais pouvoir filer Spiro.

La demi-tasse de café que j’avais engloutie au petit déjeuner suivait son petit bonhomme de chemin dans mon organisme. Je décidai de rentrer chez mes parents pour utiliser la salle de bains. Je pourrais toujours réfléchir à mon problème de voiture sous la douche. Et à dix heures, j’accompagnerais ma grand-mère au salon de coiffure pour une remise en forme.

Quand j’arrivai à la maison, la salle de bains était occupée par mon père. Ma mère était dans la cuisine, en train d’éplucher des légumes pour un minestrone.

— J’ai besoin d’aller aux toilettes, lui dis-je. Tu crois que papa en a pour longtemps ?

Ma mère leva les yeux au ciel.

— Je ne sais pas ce qu’il fabrique là-dedans, dit-elle. Il s’enferme avec le journal et on ne le voit plus pendant des heures.

Je chipai un morceau de carotte et un de céleri pour Rex et courus au premier. Je frappai à la porte de la salle de bains.

— Tu en as encore pour longtemps ? criai-je à mon père.

Pas de réponse.

Je frappai plus fort.

— Tu vas bien ? criai-je.

— Nom de Dieu, fit mon père d’une voix étouffée, on ne peut même pas chier tranquille dans cette baraque !

Je regagnai ma chambre. Ma mère avait fait mon lit et rangé mes vêtements. Je me dis que c’était quand même chouette de revenir chez ses parents et d’être chouchoutée de la sorte. Je devrais leur en être reconnaissante. Je devrais profiter de ce bonheur…

— C’est-y pas amusant ? murmurai-je à Rex qui sommeillait. Ce n’est pas tous les jours que je t’emmène chez papi et mamie, hein ?

Je soulevai le couvercle de sa cage pour lui donner son petit déjeuner, mais ma paupière tressautait tant que je ratai mon coup et que son bout de carotte tomba par terre.

À dix heures, mon père n’était toujours pas ressorti de la salle de bains et j’avais la danse de Saint-Guy dans le couloir.

— Dépêche-toi, dis-je à ma grand-mère. Je vais exploser si je ne trouve pas des toilettes très vite !

— Tu n’auras qu’à y aller chez Clara, me dit-elle. Ses toilettes sont très jolies : elle y laisse des fleurs séchées en permanence et il y a une poupée faite au crochet assise sur un rouleau de papier-toilette. Je suis sûre qu’elle voudra bien que tu les utilises.

— Je sais, je sais. Allons-y.

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