George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11

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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11: краткое содержание, описание и аннотация

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»Puisque nous en sommes là-dessus cependant, n'allez pas croire tout ce qu'on dit à ce sujet, et n'essayez pas de me défendre. – Si vous y réussissiez, ce serait me faire une offense mortelle ou, si vous voulez, immortelle. Qui peut supporter une réfutation? Je n'ai que très-peu de chose à répondre à ceux que cela regarde; et toute mon activité, jointe à celle de quelques amis énergiques, n'a pu encore découvrir aucun prétexte plausible de discuter cette affaire d'une manière expéditive avec personne, quoiqu'hier j'aie manqué d'en clouer un à la muraille, ce qu'il a évité par une explication satisfaisante, du moins au dire des individus présens: je parle des colporteurs de nouvelles, auxquels je ne porte pas d'inimitié, quoiqu'il me faille agir d'après le code ordinaire des usages, quand il m'arrive d'en rencontrer qui en valent la peine.

»Maintenant passons à un autre sujet, la poésie, par exemple. Le poème de Leigh Hunt est diablement bon: il est par-ci par-là un peu bizarre; mais avec le cachet d'originalité et la belle poésie qu'on y trouve, cet ouvrage doit rester. Je ne dis pas cela parce qu'il me l'a dédié, ce dont je suis au contraire très-fâché; car autrement, je vous aurais prié d'en faire la revue 15. Il me semble digne de grands éloges; et je pense qu'un article en sa faveur, dans la Revue d'Édimbourg , ne ferait que lui rendre justice, et le faire connaître aux yeux du public de la manière dont il mérite de l'être.

Note 15: (retour)Je retrouve la réponse que je fis à ce passage de sa lettre, relativement au poème de Hunt. «Quoiqu'il soit, je l'avoue, plein de beautés, et que j'en aime sincèrement l'auteur, je ne pourrais réellement entreprendre de le louer sérieusement. Il y a quelque chose qui prête tant au ridicule dans tout ce qu'il écrit, que je ne puis jamais prendre un ton vraiment pathétique en le lisant.»( Note de Moore .)

»Comment vous portez-vous, et où êtes-vous? Je n'ai pas la moindre idée de ce que je vais devenir moi-même, et ne sais encore où j'irai et ce que je ferai. Il y a quelques semaines, je vous aurais écrit des choses qui vous auraient fait rire; mais on me dit maintenant que le rire ne me convient plus: aussi ai-je été et suis-je encore depuis très-sérieux.

»J'ai été un peu incommodé de la maladie de foie, mais je me porte mieux depuis quinze jours, quoique encore soumis aux ordonnances des gens de l'art. J'ai vu depuis peu........................ .......................................

»Il faut que j'aille m'habiller pour dîner. Ma petite fille est à la campagne. On me dit que c'est un très-bel enfant; elle a maintenant près de trois mois: c'est lady Noël, ma belle-mère, qui la surveille à présent. Sa fille (ci-devant miss Milbanke) est, je crois, à Londres avec son père. Une certaine Mrs. C. (maintenant espèce de femme de chambre servant d'espion à lady N., et qui, dans un tems meilleur, a été blanchisseuse) est réputée, par les gens bien instruits, comme étant en grande partie la cause secrète de nos différends domestiques.

»Dans toute cette affaire, celui que je plains le plus c'est sir Ralph. Lui et moi sommes également punis, quoique magis pares quam similes dans notre affliction. Cependant, il nous est bien dur à tous deux de souffrir par la faute d'une seule personne; mais ainsi soit-il! je serai séparé de ma femme, et il gardera la sienne.

»Tout à vous.»

Dans ma réponse à cette lettre, écrite quelques jours après, il se trouve un passage où j'exprime une opinion qu'il eût été peut-être plus prudent de cacher, mais que je crois devoir extraire, parce que ceci amena, de la part de Lord Byron, un aveu singulièrement généreux, et également honorable pour les deux parties intéressées dans cette malheureuse affaire. Voici les termes dans lesquels je m'exprimais. «Je suis à peu près dans le même état que vous, relativement au sujet de votre lettre, ayant l'esprit rempli de beaucoup de choses que je ne sais comment écrire, et dont je remettrai la communication jusqu'à notre entrevue au mois de mai, où je vous appellerai en cause pour tous vos crimes et méfaits. En attendant, vous ne manquerez pas de juges, ni même de bourreaux, si on les en croyait. Le monde, dans son ardeur généreuse à embrasser le parti du plus faible, ne tarde pas à en faire le plus fort et le plus formidable. Je suis sincèrement affligé de ce qui s'est passé. Tous mes vœux et toutes mes théories sur l'influence que le mariage aurait sur votre vie en ont été renversés; car, au lieu de vous ramener, comme je l'espérais, dans un cercle régulier, il vous a rejeté encore une fois dans les espaces infinis, et vous laisse, à ce que je crains, dans un état bien pire que celui où vous étiez. Quant à votre défense, la seule personne avec laquelle je l'aie encore entreprise, c'est moi-même; et considérant le peu que je sais de l'affaire, ou plutôt peut-être par cette même raison, j'y ai passablement réussi. Après tout, votre malheur fut dans le choix que vous fîtes: il ne m'a jamais plu. – Mais je m'égare ici dans l'ἀπόῤῥητα et ferai mieux de changer ce sujet pour un autre plus agréable, vos derniers poèmes, par exemple, etc., etc.»

Le retour du courrier m'apporta la réponse suivante, qui, en excitant toute notre admiration pour la noble candeur de celui qui l'écrivit, fait paraître cette affaire sous un jour encore plus triste et plus étrange.

LETTRE CCXXXIV

A M. MOORE

8 mars 1816.

«Je me réjouis de votre nomination de président et intendant d'une institution de charité: ce sont là des dignités qui n'appartiennent qu'aux gens vertueux. Mais aussi, rappelez-vous que vous avez trente-six ans; j'en parle avec envie, non de votre âge, mais de l'honneur, de l'affection, de la déférence et des nombreux amis qui vous entourent. – Et moi, il me reste encore huit bonnes années à courir pour arriver à cette perfection grisonnante, à laquelle époque, si j'existe encore 16, je serai probablement dans un état de grâce et de mérite croissant.

Note 16: (retour)Ce triste doute, si j'existe encore , nous paraît aussi mélancolique qu'étrange, quand nous nous rappelons que ce fut effectivement à trente-six ans qu'il cessa d'exister, et à une époque où, comme ses ennemis eux-mêmes sont forcés d'en convenir, il était dans cet état de mérite croissant qu'il prévoit ici en plaisantant.( Note de Moore .)

»Je dois cependant vous redresser sur un point. La faute ni même le malheur ne vient pas de mon choix (à moins que mon tort n'ait été d'en faire un quelconque); car je dois déclarer, au milieu de toute l'amertume dont me remplit cette funeste affaire, que je ne crois pas qu'un être meilleur et plus doux, et doué de qualités plus aimables et plus brillantes que lady B., ait jamais existé. Je n'eus jamais aucun reproche à lui adresser tout le tems qu'elle vécut avec moi; s'il y a des torts, ils ne peuvent être que de mon côté, et si je ne puis les effacer, je dois savoir les supporter du moins.

»Ses plus proches parens sont ***. Mes affaires ont été et sont encore dans le plus grand désordre; ma santé aussi a été fort dérangée, et mon esprit inquiet et troublé pendant très-long-tems. Telles sont les causes (dont je ne cherche pas ici à me faire une excuse) qui m'ont souvent jeté dans des excès, et m'ont rendu peu susceptible des douceurs de la vie domestique. Resté mon maître de très-bonne heure, et ayant déjà passablement couru le monde, les habitudes indépendantes et volages que j'en ai contractées ont pu aussi y contribuer pour quelque chose. Je persiste cependant à penser que si les circonstances m'eussent été plus propices, ou que ma position eût été du moins supportable, j'aurais pu m'en tirer honorablement; mais cette dernière me paraît désespérée, et il est inutile d'en parler davantage. À présent, à l'exception de ma santé qui est meilleure (car il est étrange à quel point l'agitation et les contradictions d'un genre quelconque redonnent d'élasticité à mon esprit et me remontent momentanément), à présent, dis-je, j'ai à lutter contre toute espèce de désagrémens, contre toutes sortes de tourmens domestiques et pécuniaires.

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