George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11
Здесь есть возможность читать онлайн «George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11» — ознакомительный отрывок электронной книги совершенно бесплатно, а после прочтения отрывка купить полную версию. В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. ISBN: , Жанр: foreign_antique, foreign_prose, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11
- Автор:
- Жанр:
- Год:неизвестен
- ISBN:http://www.gutenberg.org/ebooks/32509
- Рейтинг книги:4 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 80
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11 — читать онлайн ознакомительный отрывок
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
»Puis venaient le petit comité et le haut comité. – Nous n'étions pas beaucoup, mais nous n'étions jamais d'accord. – C'était Peter Moore qui contredisait Kinnaird, et Kinnaird qui contredisait tout le monde: – et puis nos deux directeurs, Rae et Dibdin, et notre secrétaire Ward; et cependant nous étions tous très-zélés pour le bien du théâtre, et le désirions de très-bonne foi. *** nous avait fourni des prologues pour la reprise de nos vieilles pièces anglaises, mais il n'a pas été content de moi, parce que je lui ait fait le compliment qu'il était l'Upton de notre théâtre (c'est M. Upton qui était le poète d'Astleys 12), et cela est cause qu'il a presque renoncé aux prologues.
Note 12: (retour)Un des théâtres inférieurs de Londres, qui est dans le genre du Cirque de Franconi.( Note du Trad. )
»Dans la pantomime qu'on joua en 1815 et 16, on avait introduit une représentation du bal masqué, donné par nous autres jeunes gens du club de Watier à Wellington et compagnie. Douglas Kinnaird, avec deux ou trois autres et moi-même, nous nous masquâmes et montâmes sur le théâtre avec οἱ πολλοί pour voir de la scène l'effet de la salle. – Cela me parut superbe. – Douglas se mit à danser parmi les figurans, et ils furent fort intrigués de savoir qui nous étions, s'étant aperçus qu'ils étaient plus que leur nombre. Il est assez étrange que Douglas Kinnaird et moi nous ayons été tous deux présens au véritable bal masqué, et ensuite à la pantomime qui en fut donnée sur le théâtre de Drury-Lane.»
LETTRE CCXXVIII
Piccadilly Terrace, 31 oct. 1815.
«Je n'ai pas pu m'assurer d'une manière précise du tems que dure la vente des fonds, mais je crois que c'est un bon moment pour s'en défaire, et je l'espère d'abord, parce que je vous verrai, et ensuite parce que je recevrai certaines sommes au profit de lady B., qui contribueront essentiellement à me mettre à mon aise, car (pour parler le langage des créanciers) j'ai besoin de compléter une somme.
»Hier j'ai dîné dehors avec une assez nombreuse société dans laquelle se trouvaient Shéridan et Colman, Harry Harris de C. G. et son frère, sir Gilbert Heathcote, Douglas Kinnaird et d'autres personnes de marque. Comme dans d'autres réunions de ce genre, le silence régna d'abord, puis l'on parla, puis on argumenta, puis on disputa; enfin, tout le monde voulant, parler à la fois, l'on ne s'entendit plus et l'on finit par se griser. Quand nous fûmes arrivés au dernier degré de cette glorieuse progression, ce ne fut pas chose facile que de descendre sans tomber; et pour couronner le tout, Kinnaird et moi, il nous fallut faire descendre à Shéridan un escalier en limaçon, qui a été certainement construit avant la découverte des liqueurs fermentées, et avec lequel il n'est pas de jambes, tant cagneuses qu'elles soient, qui puissent commodément s'arranger. Nous le déposâmes enfin, sain et sauf, chez lui, où son domestique, qui paraît fort habitué à ces sortes d'affaires, l'attendait dans le vestibule. Lui et Colman avaient été, selon leur coutume, très-amusans; mais j'emportais avec moi beaucoup de vin, et ce vin avait précédemment emporté ma mémoire, en sorte que tout fut hoquet et allégresse pendant la dernière heure, et il ne m'est rien resté de la conversation. Peut-être avez-vous entendu rapporter la réponse que fit dernièrement Shéridan au watchman, qui le trouva privé de cette «divine particule d'air» appelée raison.............................. .................. .......................................
»Le watchman trouva donc Sherry dans la rue, ivre mort. «Qui êtes-vous, monsieur?» Pas de réponse. «Quel est votre nom?» Un hoquet. «Quel est votre nom?» Alors il répond d'un ton grave, lent et flegmatique: «Wilberforce!!!» N'est-ce pas là tout Shéridan? A mon avis, la réponse est excellente. Il a plus d'esprit dans son ivresse, que les autres à leur première pointe de gaîté.
»Mon papier est rempli, et j'ai un terrible mal à la tête.
» P. S. Lady B. avance rapidement. Le mois prochain donnera la lumière (avec l'aide de «Junon Lucine, fer opem », ou plutôt opes , car ce dernier est plus nécessaire) à la dixième merveille du monde, – Gil Blas étant la huitième, et le père de mon fils la neuvième.»
LETTRE CCXXIX
4 novembre 1815.
«Si vous ne m'aviez pas troublé la tête avec les fonds, votre lettre aurait eu une réponse immédiate. N'a-t-il pas fallu que j'aille dans la cité? n'a-t-il pas fallu me rappeler, en arrivant là, ce que j'y venais faire, et ne l'avais-je pas oublié?
»Je serais, sans aucun doute, enchanté de vous voir; – mais je n'aime pas à employer mes goûts personnels pour combattre vos motifs. – Vous viendrez et bientôt, car rester ne vous sera pas possible. – Je vous connais depuis long-tems, vous avez trop du vieux levain de Londres, pour en pouvoir rester long-tems absent.
»Lewis va à la Jamaïque sucer ses cannes à sucre. Il s'embarque dans deux jours. Je vous envoie ci-joint son billet d'adieu. Je le vis hier au soir à D. L. T., pour la dernière fois avant son départ. Pauvre diable! – c'est réellement un brave homme, un excellent homme. – Il m'a laissé sa canne et un pot de gingembre confit; je ne mangerai jamais de ce dernier sans avoir les larmes aux yeux. – C'est si brûlant ! – Nous avons un bruit de diable parmi nos ballerinas . – On a fait une injustice à miss Smith, au sujet d'un pas écossais. Le comité s'en est mêlé; mais le maudit maître de ballet n'a pas voulu en démordre. Je suis furieux, et Georges Lamb aussi. – Kinnaird est fort content, il ne sait pas trop pourquoi; et moi je suis très-fâché, à peu près pour la même raison. Aujourd'hui je dîne avec Kinnaird, nous aurons encore Shéridan et Colman; et demain encore une fois chez sir Gilbert Heathcote… .....................
»Leigh Hunt a composé un poème vraiment bon et très-original, et qui, je crois, fera sensation. Vous ne pouvez imaginer à quel point il est bien écrit, et je ne m'en serais pas fait une idée moi-même, si je ne l'avais pas lu. Quant à nous, Tom, eh bien! quand allons-nous paraître? J'aimerais beaucoup mieux, si vous pensez que les vers en valent la peine, qu'ils fussent mêlés avec les Mélodies Irlandaises , que d'être imprimés séparément. – Mais quand votre chef-d'œuvre sera-t-il publié? Quand verrons-nous votre Shah Nameh ? – Jeffrey est bien bon d'aimer les Mélodies Hébraïques . Il y a des gens ici qui préfèrent Sternhold et Hopkins , et qui en conviennent. – Que le diable emporte leurs ames, pour les punir d'un tel goût!
»Il faut que j'aille m'habiller pour dîner. – Pauvre cher Murat! quelle fin! Vous savez, je pense, que son panache blanc était comme celui d'Henri IV, le point de ralliement pendant une bataille. – Il refusa un confesseur et le bandeau qu'on lui offrait, ne voulant pas souffrir qu'on aveuglât ni ses yeux, ni son ame. Vous en apprendrez davantage demain ou le jour suivant.
»À jamais, etc.»
LETTRE CCXXX
4 novembre 1815.
«Quand vous serez en état de vous former une opinion sur le manuscrit de M. Coleridge, vous me ferez plaisir de me le rendre, parce que, dans le fait, je n'ai pas été autorisé à le laisser sortir de mes mains. J'en pense beaucoup de bien, et désirerais vivement que vous en fussiez l'éditeur; mais si vous n'y consentez pas, je ne désespère nullement de trouver quelqu'un qui s'en chargera.
»J'ai écrit à M. Leigh Hunt, pour l'informer que vous étiez disposé à traiter avec lui comme vous me l'avez fait entendre la dernière fois que je vous ai vu. Quant aux conditions et à l'époque, j'abandonne cela à sa volonté et à votre discernement. – Je dirai seulement que je regarde cette entreprise comme la plus sûre dont vous vous soyez jamais mêlé. Je vous parle comme à un spéculateur; si je devais vous parler comme lecteur et comme critique, je vous dirais que c'est une production admirable, qui n'a tout juste de défaut que pour en rendre les beautés plus remarquables.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.