George Gordon Byron - Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11

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Œuvres complètes de lord Byron, Tome 11: краткое содержание, описание и аннотация

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Note 17: (retour)On trouve dans son journal une anecdote qui se rapporte à cette circonstance.

«Quand l'huissier (car j'ai connu un peu de tout dans ma vie) vint, en 1815, faire une saisie chez moi (comme membre du parlement il n'avait aucun droit sur ma personne) je commençai par lui demander, étant naturellement un peu curieux, s'il avait encore d'autres saisies à exécuter. Là-dessus il m'en montra une pour 78,000 liv. st. sur une seule maison seulement. Je voulus savoir ensuite s'il n'avait rien contre Shéridan. «Oh! Shéridan, dit-il en tirant son portefeuille, oui, oui, j'ai ceci, etc.; mais, Mylord, je suis resté une fois un an de suite chez Shéridan: c'est un homme très-bien élevé, et qui sait comment on en use avec nous, etc.» Nous discutâmes ensuite notre affaire, ce qui n'était pas chose facile pour moi à ce moment; mais cet homme était poli, et, ce que j'aime mieux encore, communicatif. J'avais vu plusieurs de ses confrères, quelques années auparavant, dans des affaires qui concernaient des amis qui n'appartenaient pas à la noblesse, mais c'était la première ou la seconde fois que j'en voyais un pour mon propre compte. C'était un homme poli, qui fut payé en conséquence, et qui probablement s'y attendait.»( Note de Moore .)

Comme, en raison de leur peu de moyens, sa femme et lui ne voyaient que fort peu de monde, il n'avait de distraction, aux sombres pensées qu'excitaient en lui les difficultés dont sa vie était assiégée, que dans les occupations qui lui étaient imposées comme membre du comité de Drury-Lane. Et c'est à sa malheureuse liaison avec le théâtre qu'est attachée une des fatalités qui marquèrent sa courte année d'épreuve comme époux. D'après la réputation de galanterie qu'il s'était déjà faite, et l'insouciante légèreté à laquelle il s'abandonnait souvent, quand au fond son ame était rongée d'amertume, il ne fut pas difficile de jeter du soupçon sur quelques-unes des connaissances que ses rapports fréquens avec les coulisses l'avaient amené à faire, comme il arriva dans une circonstance où le nom d'une personne à laquelle il avait à peine adressé une fois la parole, fut compromis de la manière la plus offensante.

Cependant, malgré ce fatal concours de circonstances qui aurait dû pallier les écarts de caractère ou de conduite où il fut entraîné, je suis persuadé, après tout, que ce n'est pas à des causes aussi sérieuses, qu'il faut attribuer la malheureuse mésintelligence qui se termina bientôt par une séparation. «Dans tous les mariages que j'ai vus, dit Steele, et qui, pour la plupart, ont été malheureux, la grande cause du mal est souvent née des circonstances les plus frivoles;» et je crois qu'en examinant bien le fond des choses, celui dont nous nous occupons maintenant ne ferait pas une grande exception à cette remarque. Lord Byron, lui-même, étant à Céphalonie, quelque tems avant sa mort, exprima en quelques mots tout le fond du mystère. Un Anglais, avec lequel il causait de lady Byron, s'étant hasardé à lui énumérer les différentes causes auxquelles il avait entendu attribuer leur séparation, le noble poète, qui parut s'amuser beaucoup de tout ce qu'elles avaient de faux et de ridicule, lui dit, après l'avoir écouté jusqu'au bout: «Les causes, mon cher monsieur, étaient trop simples pour être aisément devinées.»

Dans le fait, les circonstances sans exemple qui accompagnèrent cette séparation, les dernières paroles pleines d'enjouement et d'affection que la femme, adressa au mari en le quittant, tandis que l'époux abandonné ne cessa de parler de sa femme avec les plus tendres éloges, nous prouvent assez qu'au moment où ils se séparèrent, ils ne pouvaient éprouver, l'un contre l'autre, aucun ressentiment bien profond. Ce ne fut qu'après, qu'une force répulsive agit sur ces deux cœurs, lorsque la partie qui avait fait le premier pas décisif crut son orgueil engagé à persévérer avec dignité dans cette même route, et que cette inflexibilité provoqua, comme on devait s'y attendre, dans l'ame fière de l'autre, un profond ressentiment qui finit par se manifester par l'amertume et le dédain. S'il est néanmoins quelque vérité dans cet axiome qui dit «que ceux qui ont commis l'offense ne pardonnent jamais,» Lord Byron, qui fut, jusqu'au dernier moment, disposé à une réconciliation, prouva du moins que sa conscience ne lui reprochait pas de torts bien graves comme agresseur.

Mais quoiqu'il eût été difficile peut-être aux victimes de cette désunion, d'en indiquer ou d'en définir une seule cause, outre cette incompatibilité d'humeur, qui est l'écueil ordinaire de tous les mariages de ce genre, le public, qui ne veut jamais être pris en défaut dans ces occasions, eut, comme de coutume, une bonne provision de motifs pour expliquer cette rupture, tous tendant à noircir le caractère du poète auquel il prêtait déjà des couleurs si sombres, et le représentant comme un monstre accompli de dépravation et de cruauté. La réputation de l'objet de son choix qui lui attribuait toutes les vertus possibles, cette réputation qui, je n'en doute pas, avait été pour lui une des causes déterminantes de ce mariage, par la vanité qu'il mit à obtenir un tel modèle de vertu (tout en passant dans le monde pour un réprouvé), fut ce qui donna à ses adversaires des armes contre lui, non-seulement pour en faire un contraste avec son propre caractère, mais comme si les perfections de la femme étaient des preuves positives de tous les méfaits dont il leur plaisait d'accuser le mari.

Cependant le silence inflexible que (par des motifs de générosité et de délicatesse, sans doute) sa femme elle-même ne cessait d'opposer aux demandes répétées qui lui étaient faites, de spécifier les torts qu'elle avait à lui reprocher, laissa à l'imagination et à la méchanceté le champ le plus vaste pour exercer leur activité. On rapporta donc, et on crut presqu'universellement, que la seconde proposition de mariage du noble lord à miss Milbanke n'avait été faite que dans le but de se venger de l'affront d'un premier refus, et qu'il le lui avait avoué lui-même en allant à l'église. À l'époque où, comme le lecteur l'a vu dans ses lettres écrites pendant sa lune de miel, il se croyait de la meilleure foi du monde au sein du bonheur, et se vantait même, dans l'orgueil de son imagination, que si le mariage se faisait à bail, il renouvellerait avec joie le sien pour quatre-vingt-dix-neuf ans, à cette même époque, s'il en faut croire ses véridiques historiens, il s'occupait à poursuivre le sombre projet de vengeance dont on vient de parler, et à tourmenter sa femme par toute espèce d'actions lâches et cruelles, – telles que de décharger des pistolets pour l'effrayer pendant qu'elle était au lit 18, et autres fantaisies de même genre.

Note 18: (retour)Il y avait cependant une espèce de fondement à ce conte, dans l'habitude qu'il avait prise dès son enfance d'avoir toujours des pistolets chargés auprès de lui la nuit, habitude qu'on regarda comme un penchant si bizarre, qu'elle fut ajoutée à la liste des symptômes (portés, je crois, au nombre de seize) qui furent soumis à l'opinion des médecins comme preuve d'un dérangement intellectuel. Un autre de ces symptômes était l'impression presque convulsive que Kean avait produite sur lui dans le rôle de sir Giles Overreach. Mais le motif le plus plausible (comme il en convenait lui-même) sur lequel reposait cette accusation de démence, était un acte de violence qu'il avait fait tomber sur une vieille montre qu'il possédait dès l'enfance, et qu'il avait portée en Grèce avec lui. Dans un accès de désespoir et de rage causé par quelqu'une de ces difficultés humiliantes auxquelles il était journellement en proie, il lança la montre avec fureur sur le foyer, et la brisa en mille morceaux au milieu des cendres avec les pincettes.( Note de Moore .)

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