Pierre Beaumarchais - Le barbier de Séville; ou, la précaution inutile

Ce qu'on nomme chez nous un «beau»; mais un «beau» vulgaire, une sorte de coq de village ou d'artisan endimanché.

Dans le manuscrit de la Comédie-Française Basile est qualifié «organiste et musicien italien».

Capitale de l'Andalousie, dit le manuscrit.

Cette petite partition est de nos jours difficile à trouver. La Bibliothèque du Conservatoire de musique en possède un exemplaire, en assez mauvais état, et que nous avons eu sous les yeux. C'est une partition grand in-4º arrangée pour orchestre avec l'indication des jeux de scène, des paroles et des voix. On lit sur la première page cette note manuscrite: On croit que cette musique est de Beaumarchais , et au verso, de la même main: Cette musique est de M. de Beaumarchais . La musique du Barbier n'accompagnant pas, comme dans les Deux Amis , la pièce imprimée, et n'offrant d'ailleurs, à cause de sa médiocrité, aucun véritable intérêt, nous avons jugé inutile de la reproduire.

Variante 1.

Variante 2.

Variante 3.

Variante 4.

Variante 5.

Variante 6.

Variante 7.

Variante 8.

Variante 9.

Variante 10.

Variante 11.

Variante 12.

Variante 13.

Variante 14.

Mot fabriqué par Beaumarchais à l'adresse du censeur Marin, l'un de ses adversaires dans l'affaire Goëzmann.

Encore un mot inventé pour désigner les journalistes, les critiques, etc., qu'il appelle encore «les puces» dans le manuscrit du Théâtre-Français.

Variante 15.

Variante 16.

Variante 17.

Bartholo n'aimoit pas les drames. Peut-être avoit-il fait quelque Tragédie dans sa jeunesse. ( Note de Beaumarchais. )

Variante 18.

Variante 19.

Variante 20.

Variante 21.

Variante 22.

Variante 23.

Variante 24.

Variante 25.

Variante 26.

Variante 27.

Variante 28.

Variante 29.