Brown, Dan - Da Vinci code
Здесь есть возможность читать онлайн «Brown, Dan - Da Vinci code» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Старинная литература, на английском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Da Vinci code
- Автор:
- Жанр:
- Год:неизвестен
- ISBN:нет данных
- Рейтинг книги:4 / 5. Голосов: 1
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 80
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Da Vinci code: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Da Vinci code»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Da Vinci code — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Da Vinci code», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
Derrière l'un des comptoirs, était assis un homme de forte carrure. Il éteignit son poste de télévision en les voyant entrer et leur adressa un sourire plein d'amabilité.
— Bonsoir ! Que puis-je pour vous ? demanda-t-il, mêlant l'anglais et le français d'une voix douce et courtoise, mal assortie à ses puissants pectoraux.
L'accueil bilingue était visiblement un geste commercial volontaire, destiné à mettre tous les clients à l'aise dès leur arrivée.
Sans dire un mot, Sophie posa la clé sous son nez.
L'homme se redressa immédiatement sur son siège.
— Très bien, madame. L'ascenseur est au fond. Je préviens tout de suite que vous arrivez.
— Quel étage?
Il la dévisagea avec étonnement.
— C'est votre clé qui l'indique automatiquement à l'ascenseur.
— Ah oui ! s'excusa-t-elle en souriant.
Le gardien les suivit des yeux jusqu'à ce qu'ils soient entrés dans la cabine. Dès la fermeture de la porte, il s'empara du téléphone, mais pas pour prévenir de l'arrivée imminente de
– 192 –
deux clients, l'insertion de la clé dans le dispositif d'appel de l'ascenseur ayant déjà envoyé automatiquement le signal adéquat.
Il appelait le chef de l'équipe de nuit. En attendant la communication, il ralluma son téléviseur, qui répéta l'information qu'il venait d'entendre, ce qui lui permit de revoir les deux visages concernés.
— Allô, oui?
— Nous avons un problème, chef.
— Que se passe-t-il ?
— La police est à la recherche de deux fugitifs.
— Et alors?
— Ils viennent de se présenter à l'accueil de la banque.
Après un rapide juron, le chef prit sa décision :
— OK. Je préviens M. Vernet immédiatement. Le garde raccrocha, et décrocha à nouveau.
Pour appeler Interpol.
À la surprise de Langdon, l'ascenseur se mit à descendre. À
quelle profondeur cette banque avait-elle enfoui ses coffres ?
Peu importait, il fut bien soulagé que la descente soit courte.
Un employé fort empressé les attendait debout au garde-à-vous derrière la porte de l'ascenseur. Plus tout jeune, un agréable sourire aux lèvres, vêtu d'un impeccable costume de flanelle grise, il avait l'air d'un banquier du siècle dernier échoué dans l'univers moderne de la haute technologie.
— Bonsoir ! Si Madame et Monsieur veulent bien me suivre...
Sans attendre la réponse, il s'engagea dans un long corridor aux parois d'acier brossé.
Langdon et Sophie lui emboîtèrent le pas, le long d'un labyrinthe de couloirs, où s'ouvraient des bureaux éclairés remplis d'ordinateurs allumés.
— C'est ici, fit le vieux banquier en s'effaçant derrière une porte qu'il poussa devant eux.
– 193 –
Sophie et Langdon pénétrèrent dans un autre monde : un petit salon douillet au sol recouvert de tapis d'Orient, meubles de chêne et fauteuils capitonnés. Au centre, sur une grande table, les attendaient une bouteille de Perrier et deux verres de cristal, une cafetière fumante, deux tasses de porcelaine.
Accueil réglé comme une montre suisse , pensa Langdon.
— Il me semble que c'est la première fois que vous venez ici..., insinua le vieil employé.
Après une brève hésitation, Sophie hocha la tête.
— Cela arrive couramment, madame. Nos nouveaux clients ont souvent reçu leur clé à la suite d'une succession, et ne sont pas familiers de notre protocole. Vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous le souhaitez, ajouta-t-il en indiquant les rafraîchissements.
— Vous disiez que vous recevez souvent des gens qui ont hérité de la clé d'un coffre ?
— Effectivement, madame. La vôtre correspond à un compte numéroté qui a pu être ouvert il y a déjà longtemps.
Pour les clés en or, le bail d'un coffre est d'au moins cinquante ans, payable d'avance. Nous suivons donc des familles sur plusieurs générations.
— Cinquante ans ? s'étonna Langdon.
— Au minimum, monsieur. Le bail peut être prolongé sur une bien plus longue période mais, à moins d'arrangements particuliers, si le compte est resté inactif pendant cinquante ans, le contenu du coffre est automatiquement détruit. Souhaitez-vous que je vous décrive le processus d'accès ?
— S'il vous plaît, souffla Sophie.
Il balaya la pièce du bras.
— Ce salon vous est réservé. Dès que je serai sorti, les portes se refermeront sur moi. Vous pourrez rester ici aussi longtemps que vous le désirez, et modifier éventuellement le contenu de votre coffre, qui entrera par là.
Il les conduisit jusqu'à une niche dans le mur du fond, qui ouvrait sur un petit tapis roulant, et qui était elle aussi surmontée de l'orifice triangulaire qui leur était devenu familier.
– 194 –
Un écran électronique muni d'un clavier à chiffres complétait le dispositif.
— Dès que l'ordinateur aura analysé votre clé, vous taperez les chiffres de votre compte et celui-ci arrivera sur le tapis.
Lorsque vous aurez terminé, vous le replacerez dessus, et vous insérerez de nouveau votre clé. Tout le processus est automatisé, de manière à garantir votre intimité. Même le personnel de la banque ne doit pas y assister. Si vous avez le moindre problème, vous appuierez sur le bouton situé sur la table centrale.
Sophie allait poser une question quand la sonnerie du téléphone retentit.
— Excusez-moi, dit l'homme en décrochant.
— Oui ?
Il fronça les sourcils.
— Oui... Oui... D'accord.
Il raccrocha et leur dit avec un sourire gêné :
— Pardonnez-moi, mais je dois vous quitter. Faites comme chez vous, ajouta-t-il en se dirigeant vers une porte capitonnée au fond de la pièce.
— Une seule question, dit Sophie. Vous avez parlé d'un numéro de compte...
Le vieil homme s'arrêta sur le pas de la porte.
— Oui, bien sûr. Tous les comptes sont numérotés. Le client est le seul à connaître son numéro. La clé ne représente que la moitié de votre identification bancaire, pour éviter tout problème en cas de vol...
— Et que se passe-t-il si la personne dont j'ai hérité cette clé ne m'a pas communiqué son numéro ?
Alors, vous n'avez rien à faire ici ! pensa le vieil homme, en affichant un sourire imperturbable.
— Je vais voir ce que je peux faire... Si vous voulez bien patienter un instant...
Et il sortit, en les enfermant de l'extérieur.
Collet faisait le planton dans la Salle des pas perdus de Saint-Lazare quand son portable sonna dans sa poche.
– 195 –
— Ici Fache. Je viens d'avoir un appel d'Interpol. Laissez tomber le train. Langdon et Neveu viennent de se présenter dans une banque suisse, au 24, rue de Longchamp. Allez-y tout de suite, et emmenez les autres avec vous.
— D'accord, chef. On a des tuyaux sur la signification du message de Saunière ?
— Non, mais si vous les arrêtez, je pourrai leur demander de vive voix, répliqua sèchement Fache.
— Compris, commissaire. J'y vais. Il raccrocha et appela ses hommes.
– 196 –
43
André Vernet, directeur de la succursale parisienne de la Zurichoise de Dépôt, habitait un grand appartement au dernier étage de l'immeuble. Il n'en ressentait pas moins une certaine frustration, ayant toujours rêvé de l'île Saint-Louis, où il aurait pu frayer avec la véritable intelligentsia parisienne, et non pas avec les ennuyeux bourgeois du XVI e arrondissement.
Quand je serai à la retraite , se disait-il, j'aurai une cave remplie de vieux bordeaux, un Fragonard et peut-être aussi un Boucher, accrochés aux murs du salon, et je passerai mes journées chez les antiquaires et les bouquinistes de la rive gauche.
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Da Vinci code»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Da Vinci code» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Da Vinci code» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.