Brown, Dan - Da Vinci code

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— J'ai essayé de vous avertir ! cria Langdon en maltraitant de plus belle l'embrayage, je n'ai jamais conduit que des voitures automatiques...

– 178 –

39

La chambre Spartiate de la rue La Bruyère avait dû être le théâtre de bien des souffrances, mais Silas était convaincu que rien ne pouvait égaler l'angoisse qui l'étreignait en ce moment.

J'ai été trompé, tout est perdu.

Les quatre frères lui avaient menti, préférant mourir que de révéler leur secret. Il ne se sentait pas le courage d'appeler le Maître. En plus des quatre membres de la Fraternité, il avait supprimé une religieuse à l'intérieur de Saint-Sulpice. Elle aussi travaillait contre Dieu. Elle méprisait l'oeuvre accomplie par l’Opus Dei !

Mais il avait agi sous le coup d'une impulsion irréfléchie et la mort de cette femme compliquait beaucoup les choses. C'est Mgr Aringarosa qui avait donné le coup de téléphone grâce auquel Silas avait pu pénétrer dans l'église Saint-Sulpice. Que penserait le curé en apprenant la mort de la sœur ?

Silas l'avait recouchée dans son lit, mais la blessure à la tête était bien visible. Il avait aussi tant bien que mal reconstitué la plaque de marbre, mais l'effraction était évidente. On saurait que quelqu'un était entré cette nuit dans l'église.

Il avait projeté de rester caché dans le foyer de la rue La Bruyère une fois sa mission accomplie. Mgr Aringarosa me protégera . Silas ne pouvait imaginer d'existence plus heureuse que la vie de méditation que lui offrait le centre de l'Opus Dei à New York. Il ne quitterait jamais l'immeuble de Lexington Avenue, où il trouverait tout ce qui lui était nécessaire. Je ne manquerai à personne . Malheureusement, Silas le savait, une personnalité de l'importance de Mgr Aringarosa ne pouvait pas disparaître aussi facilement.

Je l'ai mis en danger , pensait-il, son regard vide fixé sur le sol. Il songea au suicide. Après tout, c'est l'évêque qui l'avait fait renaître à la vie... dans ce petit presbytère espagnol. C'est lui qui l'avait instruit, qui avait donné un sens à son existence.

— Mon ami, lui avait dit un jour son bienfaiteur, tu es né albinos. Ne laisse pas les autres t'en faire honte. Ne comprends-tu pas que cela te rend spécial, unique ? Ne sais-tu pas que Noé

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était albinos ?

— Celui de l'Arche ?

Silas ignorait complètement ce détail. Aringarosa souriait.

— Lui-même. Il avait, comme toi, la peau blanche d'un ange. Penses-y. Et il a sauvé du déluge toutes les espèces vivantes. Tu es destiné à de grandes choses, mon fils. Le Seigneur t'a envoyé à moi pour te confier une mission. C'est ta vocation. Il a besoin de toi pour l'aider à accomplir son œuvre.

Avec le temps, Silas avait appris à se regarder différemment. Je suis blanc, beau et pur, comme un ange .

Mais cette nuit, dans sa petite cellule, c'était la voix déçue de son père naturel qui remontait du passé.

Tu es un désastre. Un fantôme...

Il s'agenouilla sur le plancher pour implorer le pardon. Puis, ôtant sa robe, il saisit d'une main la discipline.

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Se débrouillant tant bien que mal avec le changement de vitesse, Langdon avait réussi à parvenir au rond-point de la place des Ternes, en ne faisant caler le moteur que deux fois.

Mais le même message inlassablement débité par le central de la société de taxis jetait une ombre sur le comique de la situation :

« Voiture cinq-six-trois ? Où êtes-vous ? Répondez ! »

Langdon ravala sa fierté masculine et enfonça la pédale de frein.

— Je crois vraiment que vous feriez mieux de conduire, Sophie...

Elle eut l'air soulagée en s'installant au volant, et s'engagea en souplesse dans l'avenue de Wagram, qu'elle remonta à toute allure. Langdon jeta un rapide coup d'œil au compteur. Elle frôlait les cent kilomètres/heure en arrivant à l'Étoile.

— Le chauffeur disait que la rue de Longchamp coupe l'avenue Kléber. Le numéro 24 devrait être sur la gauche au carrefour.

Langdon ressortit la clé de sa poche. Elle pesait lourd dans le creux de sa main, autant pour la suite de leur chasse au trésor, que pour sa liberté à lui.

En racontant tout à l'heure à Sophie l'histoire des Templiers, il s'était rendu compte que cette clé possédait un lien plus subtil avec le Prieuré de Sion que les deux initiales qui y étaient gravées. La croix à quatre branches égales n'était pas seulement le symbole de l'équilibre et de l'harmonie, c'était aussi celle que portaient les chevaliers du Temple. Leurs tuniques blanches ornées d'une grande croix rouge étaient représentées sur d'innombrables tableaux et gravures. Les branches en étaient certes évasées aux extrémités, mais elles étaient bien de même longueur.

Une croix carrée. Comme sur cette clé.

Son imagination se mit à battre la campagne à la perspective de ce qu'ils allaient découvrir. Le Saint-Graal. À

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cette idée absurde, il eut peine à retenir un éclat de rire. Le Graal était censé reposer en Angleterre, enterré depuis au moins le début du XVI e siècle dans la crypte de l'une des nombreuses églises du Temple.

L'époque du Grand Maître Leonardo Da Vinci.

Depuis que les documents du Graal avaient été rapatriés de Jérusalem en Europe, le Prieuré de Sion avait été contraint de les déplacer plusieurs fois au cours des siècles. Les historiens estimaient à six le nombre de ses cachettes successives. Le dernier témoignage datait de 1447, après un incendie qui avait failli détruire les précieux documents. On avait transporté le trésor in extremis dans quatre énormes coffres, portés chacun par six hommes. Après cette date, personne n'avait plus jamais prétendu l'avoir vu. Des rumeurs circulaient régulièrement, selon lesquelles le Saint-Graal serait caché en Grande-Bretagne, patrie du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde.

Quoi qu'il en soit, pensait Langdon, deux faits subsistent : 1. Leonardo Da Vinci savait où se trouvait le Graal de son vivant.

2. La cachette n'a probablement pas changé depuis.

D'où l'intérêt de tous les passionnés de la légende pour l'œuvre du grand génie italien, dans laquelle ils espéraient trouver des indices sur l'emplacement du Graal. Certains prétendaient que le décor de la Vierge aux rochers évoquait la topographie d'une série de collines écossaises truffées de cavernes troglodytiques. D'autres croyaient lire un code dans la curieuse disposition des apôtres de part et d'autre de Jésus, dans la Cène de Milan. Selon d'autres encore, la radiographie aux rayons X révélait que Mona Lisa portait, caché sous quelques glacis, un pendentif en lapis-lazuli représentant la déesse Isis. Langdon ne comprenait d'ailleurs pas très bien le lien entre ce bijou et le trésor des Templiers, mais il constatait que les mordus du Graal continuaient à discuter inlassablement de cette question sur Internet.

Les mystères ont toujours des fans.

Et les énigmes continuaient de surgir. La plus récente avait été soulevée par une découverte stupéfiante : la célèbre Adoration des Mages de Leonardo Da Vinci cachait sous ses

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couches de peinture un étrange secret. Un scientifique italien spécialisé dans l'analyse picturale,

Maurizio Seracini, avait découvert une vérité dérangeante, que le New York Times avait révélée dans un article intitulé « Le Maquillage de Leonardo Da Vinci ».

Seracini affirmait que, si Leonardo Da Vinci était bien l'auteur de l'esquisse au crayon gris-vert qui servait de base au tableau, ce n'était pas lui qui l'avait peint, mais un artiste anonyme qui avait « colorié » le dessin du maître plusieurs années après sa mort. Plus troublant encore était ce qu'on disait avoir découvert sous la peinture. Des photos prises aux infrarouges et aux rayons X laissaient supposer que cet imposteur avait pris de nombreuses libertés avec le croquis original... comme pour détourner les intentions du maître. Quoi qu'il en soit, le dessin original n'avait jamais été montré au public. Les conservateurs du musée des Offices avaient relégué le tableau dans un entrepôt situé de l'autre côté de la rue, et accroché à sa place une pancarte d'excuses :

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