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Alexandre Dumas: VINGT ANS APRÈS

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20 ans après leurs aventures d’Artagnan et les trois mousquetaires sont à nouveau entrainés dans l’aventure. Les temps ont changé: le Cardinal s’appelle Mazarin et n’est guère aimé, Porthos est installé et cherche un titre de baron, Aramis est devenu abbé mais aime toujours à ferrailler et Athos s’occupe de son "filleul", le Vicomte de Bragelonne.Seul d’Artagnan est resté lieutenant des Mousquetaires du Roi... Leurs aventures se déroulent au milieu de la Fronde, période qui voit vaciller le pouvoir royal sous la régence d’Anne d’Autriche et de Mazarin. Les mousquetaires iront même jusqu’en Angeleterre pour essayer de sauver Charles Ier.... Si les personnages ont toujours les qualités de coeur et d’esprit qui ont fait le succès des Trois Mousquetaires, ils ont acquis une plus grande épaisseur et leurs doutes sont là pour en témoigner... On retrouve donc nos héros mais avec une dimension supplémentaire, chaque mousquetaire étant un symbole ou une tendance et ma fois comme cela ne nuit pas à la qualité des batailles... pourquoi se priver?

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– Quelle diable de mine faites-vous donc là, Porthos? et quel singulier air vous avez pour un victorieux!

– Mais vous-même, dit Porthos, vous me semblez tout ému!

– Il y a de quoi, mordioux! je viens de tuer un ancien ami.

– Vraiment! dit Porthos. Qui donc?

– Ce pauvre comte de Rochefort!…

– Eh bien! c’est comme moi, je viens de tuer un homme dont la figure ne m’est pas inconnue; malheureusement je l’ai frappé à la tête, et en un instant il a eu le visage plein de sang.

– Et il n’a rien dit en tombant?

– Si fait, il a dit… Ouf!

– Je comprends, dit d’Artagnan ne pouvant s’empêcher de rire, que, s’il n’a pas dit autre chose, cela n’a pas dû vous éclairer beaucoup.

– Eh bien, monsieur? demanda la reine.

– Madame, dit d’Artagnan, la route est parfaitement libre, et Votre Majesté peut continuer son chemin.

En effet, tout le cortège arriva sans autre accident dans l’église Notre-Dame, sous le portail de laquelle tout le clergé, le coadjuteur en tête, attendait le roi, la reine et le ministre, pour la bienheureuse rentrée desquels on allait chanter le Te Deum.

Pendant le service et vers le moment où il tirait à sa fin, un gamin tout effaré entra dans l’église, courut à la sacristie, s’habilla rapidement en enfant de chœur, et fendant, grâce au respectable uniforme dont il venait de se couvrir, la foule qui encombrait le temple, il s’approcha de Bazin, qui, revêtu de sa robe bleue et sa baleine garnie d’argent à la main, se tenait gravement placé en face du Suisse à l’entrée du chœur.

Bazin sentit qu’on le tirait par sa manche. Il abaissa vers la terre ses yeux béatement levés vers le ciel, et reconnut Friquet.

– Eh bien! drôle, qu’y a-t-il, que vous osez me déranger dans l’exercice de mes fonctions? demanda le bedeau.

– Il y a, monsieur Bazin, dit Friquet, que M. Maillard, vous savez bien, le donneur d’eau bénite à Saint-Eustache…

– Oui, après?…

– Eh bien! il a reçu dans la bagarre un coup d’épée sur la tête; c’est ce grand géant qui est là, vous voyez, brodé sur toutes les coutures, qui le lui a donné.

– Oui? en ce cas, dit Bazin, il doit être bien malade.

– Si malade qu’il se meurt, et qu’il voudrait, avant de mourir, se confesser à M. le coadjuteur, qui a pouvoir, à ce qu’on dit, de remettre les gros péchés.

– Et il se figure que M. le coadjuteur se dérangera pour lui?

– Oui, certainement, car il paraît que M. le coadjuteur le lui a promis.

– Et qui t’a dit cela?

– M. Maillard lui-même.

– Tu l’as donc vu?

– Certainement, j’étais là quand il est tombé.

– Et que faisais-tu là?

– Tiens! je criais: «À bas Mazarin! à mort le cardinal! à la potence l’italien!» N’est-ce pas cela que vous m’aviez dit de crier?

– Veux-tu te taire, petit drôle! dit Bazin en regardant avec inquiétude autour de lui.

– De sorte qu’il m’a dit, ce pauvre M. Maillard: «Va chercher M. le coadjuteur, Friquet, et si tu me l’amènes, je te fais mon héritier.» Dites donc, père Bazin, l’héritier de M. Maillard, le donneur d’eau bénite à Saint-Eustache! hein! je n’ai plus qu’à me croiser les bras! C’est égal, je voudrais bien lui rendre ce service-là, qu’en dites-vous?

– Je vais prévenir M. le coadjuteur, dit Bazin.

En effet, il s’approcha respectueusement et lentement du prélat, lui dit à l’oreille quelques mots, auxquels celui-ci répondit par un signe affirmatif, et revenant du même pas qu’il était allé:

– Va dire au moribond qu’il prenne patience, Monseigneur sera chez lui dans une heure.

– Bon, dit Friquet, voilà ma fortune faite.

– À propos, dit Bazin, où s’est-il fait porter?

– À la tour Saint-Jacques-la-Boucherie.

Et, enchanté du succès de son ambassade, Friquet, sans quitter son costume d’enfant de chœur, qui d’ailleurs lui donnait une plus grande facilité de parcours, sortit de la basilique et prit, avec toute la rapidité dont il était capable, la route de la tour Saint-Jacques-la-Boucherie.

En effet, aussitôt le Te Deum achevé, le coadjuteur, comme il l’avait promis, et sans même quitter ses habits sacerdotaux, s’achemina à son tour vers la vieille tour qu’il connaissait si bien.

Il arrivait à temps. Quoique plus bas de moment en moment, le blessé n’était pas encore mort.

On lui ouvrit la porte de la pièce où agonisait le mendiant.

Un instant après Friquet sortit en tenant à la main un gros sac de cuir qu’il ouvrit aussitôt qu’il fut hors de la chambre, et qu’à son grand étonnement il trouva plein d’or.

Le mendiant lui avait tenu parole et l’avait fait son héritier.

– Ah! mère Nanette, s’écria Friquet suffoqué, ah! mère Nanette!

Il n’en put dire davantage; mais la force qui lui manquait pour parler lui resta pour agir. Il prit vers la rue une course désespérée, et, comme le Grec de Marathon tombant sur la place d’Athènes son laurier à la main, Friquet arriva sur le seuil du conseiller Broussel, et tomba en arrivant, éparpillant sur le parquet les louis qui dégorgeaient de son sac.

La mère Nanette commença par ramasser les louis, et ensuite ramassa Friquet.

Pendant ce temps, le cortège rentrait au Palais-Royal.

– C’est un bien vaillant homme, ma mère, que ce M. d’Artagnan, dit le jeune roi.

– Oui, mon fils, et qui a rendu de bien grands services à votre père. Ménagez-le donc pour l’avenir.

– Monsieur le capitaine, dit en descendant de voiture le jeune roi à d’Artagnan, Madame la reine me charge de vous inviter à dîner pour aujourd’hui, vous et votre ami le baron du Vallon.

C’était un grand honneur pour d’Artagnan et pour Porthos; aussi Porthos était-il transporté. Cependant, pendant toute la durée du repas, le digne gentilhomme parut tout préoccupé.

– Mais qu’aviez-vous donc, baron? lui dit d’Artagnan en descendant l’escalier du Palais-Royal; vous aviez l’air tout soucieux pendant le dîner.

– Je cherchais, dit Porthos, à me rappeler où j’ai vu ce mendiant que je dois avoir tué.

– Et vous ne pouvez en venir à bout?

– Non.

– Eh bien! cherchez, mon ami, cherchez; quand vous l’aurez trouvé, vous me le direz, n’est-ce pas?

– Pardieu! fit Porthos.

Conclusion

En rentrant chez eux, les deux amis trouvèrent une lettre d’Athos qui leur donnait rendez-vous au Grand-Charlemagne pour le lendemain matin.

Tous deux se couchèrent de bonne heure, mais ni l’un ni l’autre ne dormit. On n’arrive pas ainsi au but de tous ses désirs sans que ce but atteint n’ait l’influence de chasser le sommeil, au moins pendant la première nuit.

Le lendemain, à l’heure indiquée, tous deux se rendirent chez Athos. Ils trouvèrent le comte et Aramis en habits de voyage.

– Tiens! dit Porthos, nous partons donc tous? Moi aussi j’ai fait mes apprêts ce matin.

– Oh! mon Dieu, oui, dit Aramis, il n’y a plus rien à faire à Paris du moment où il n’y a plus de Fronde.

Madame de Longueville m’a invité à aller passer quelques jours en Normandie, et m’a chargé, tandis qu’on baptiserait son fils, d’aller lui faire préparer ses logements à Rouen. Je vais m’acquitter de cette commission; puis, s’il n’y a rien de nouveau, je retournerai m’ensevelir dans mon couvent de Noisy-le-Sec.

– Et moi, dit Athos, je retourne à Bragelonne. Vous le savez, mon cher d’Artagnan, je ne suis plus qu’un bon et brave campagnard. Raoul n’a d’autre fortune que ma fortune, pauvre enfant! et il faut que je veille sur elle, puisque je ne suis en quelque sorte qu’un prête-nom.

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