Victor Hugo - Notre-Dame de Paris

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Dans le Paris du XVe siècle, une jeune et superbe gitane appelée la Esméralda danse sur le parvis de Notre Dame. Sa beauté bouleverse l’archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui veut la faire enlever par son sonneur de cloches, le malformé Quasimodo. Esméralda est sauvée par une escouade d’archers, commandée par le capitaine de la garde Phoebus de Châteaupers. Quand Esmeralda retrouve Phoebus plusieurs jours plus tard, elle lui laisse voir l’amour qu’il lui a inspiré. Certes, Phoebus est fiancé à la jeune Fleur-de-Lys, mais il est également séduit par la gitane. Il lui donne rendez-vous dans une maison borgne, mais au moment où il va parvenir à ses fins, Frollo survient et le poignarde.Accusée de meurtre, la belle Esmeralda ne veut pourtant pas, pour échapper au supplice, accepter de se donner à Frollo. Quand on l’amène devant la cathédrale pour subir sa peine, Quasimodo – qui l’aime aussi – s'empare d'elle et la traîne dans l'église, où le droit d’asile la met à l’abri. Là, il veille sur elle, jaloux et farouche, espérant peut-être la séduire ?Cependant, les truands avec lesquels vivait la Esmeralda viennent pour la délivrer. Frollo profite du tumulte pour l’emmener avec lui, et tente à son tour de la séduire. Furieux de son refus, il la livre aux griffes de la vieille recluse du Trou-au-rats. Mais au lieu de déchirer la Esmeralda, celle ci reconnaît en elle sa propre fille. Elle ne peut cependant en profiter, car les sergents de ville la retrouvent, et la traînent à nouveau au gibet.Du haut de Notre-Dame, Quasimodo et Frollo assistent à l’exécution. Quasimodo, furieux de désespoir, précipite le prêtre du haut de la tour, et va lui-même se laisser mourir dans le charnier de Montfaucon, tenant embrassé le cadavre d’Esmeralda, enfin unis pour l’éternité.

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Le mot grâce expira sur les lèvres de Gringoire. Il promena ses regards autour de lui. Mais aucun espoir: tous riaient.

«Bellevigne de l’Étoile, dit le roi de Thunes à un énorme truand qui sortit des rangs, grimpe sur la traverse.»

Bellevigne de l’Étoile monta lestement sur la solive transversale, et au bout d’un instant Gringoire, en levant les yeux, le vit avec terreur accroupi sur la traverse au-dessus de sa tête.

«Maintenant, reprit Clopin Trouillefou, dès que je frapperai des mains, Andry le Rouge, tu jetteras l’escabelle à terre d’un coup de genou; François Chante-Prune, tu te pendras aux pieds du maraud; et toi, Bellevigne, tu te jetteras sur ses épaules; et tous trois à la fois, entendez-vous?»

Gringoire frissonna.

«Y êtes-vous?» dit Clopin Trouillefou aux trois argotiers prêts à se précipiter sur Gringoire comme trois araignées sur une mouche. Le pauvre patient eut un moment d’attente horrible, pendant que Clopin repoussait tranquillement du bout du pied dans le feu quelques brins de sarment que la flamme n’avait pas gagnés. «Y êtes-vous?» répéta-t-il, et il ouvrit ses mains pour frapper. Une seconde de plus, c’en était fait.

Mais il s’arrêta, comme averti par une idée subite. «Un instant! dit-il; j’oubliais!… Il est d’usage que nous ne pendions pas un homme sans demander s’il y a une femme qui en veut. Camarade, c’est ta dernière ressource. Il faut que tu épouses une truande ou la corde.»

Cette loi bohémienne, si bizarre qu’elle puisse sembler au lecteur, est aujourd’hui encore écrite tout au long dans la vieille législation anglaise. Voyez Burington’s Observations .

Gringoire respira. C’était la seconde fois qu’il revenait à la vie depuis une demi-heure. Aussi n’osait-il trop s’y fier.

«Holà! cria Clopin remonté sur sa futaille, holà! femmes, femelles, y a-t-il parmi vous, depuis la sorcière jusqu’à sa chatte, une ribaude qui veuille de ce ribaud? Holà, Colette la Charonne! Élisabeth Trouvain! Simone Jodouyne! Marie Piédebou! Thonne la Longue! Bérarde Fanouel! Michelle Genaille! Claude Ronge-Oreille! Mathurine Girorou! Holà! Isabeau la Thierrye! Venez et voyez! un homme pour rien! qui en veut?»

Gringoire, dans ce misérable état, était sans doute peu appétissant. Les truandes se montrèrent médiocrement touchées de la proposition. Le malheureux les entendit répondre: «Non! non! pendez-le, il y aura du plaisir pour toutes.»

Trois cependant sortirent de la foule et vinrent le flairer. La première était une grosse fille à face carrée. Elle examina attentivement le pourpoint déplorable du philosophe. La souquenille était usée et plus trouée qu’une poêle à griller des châtaignes. La fille fit la grimace. «Vieux drapeau!» grommela-t-elle, et s’adressant à Gringoire: «Voyons ta cape? – Je l’ai perdue, dit Gringoire. – Ton chapeau? On me l’a pris. – Tes souliers? – Ils commencent à n’avoir plus de semelles. – Ta bourse? – Hélas! bégaya Gringoire, je n’ai pas un denier parisis. – Laisse-toi pendre, et dis merci!» répliqua la truande en lui tournant le dos.

La seconde, vieille, noire, ridée, hideuse, d’une laideur à faire tache dans la Cour des Miracles, tourna autour de Gringoire. Il tremblait presque qu’elle ne voulût de lui. Mais elle dit entre ses dents: «Il est trop maigre!» et s’éloigna.

La troisième était une jeune fille, assez fraîche, et pas trop laide. «Sauvez-moi!» lui dit à voix basse le pauvre diable. Elle le considéra un moment d’un air de pitié, puis baissa les yeux, fit un pli à sa jupe, et resta indécise. Il suivait des yeux tous ses mouvements; c’était la dernière lueur d’espoir. «Non, dit enfin la jeune fille, non! Guillaume Longuejoue me battrait.» Elle rentra dans la foule.

«Camarade, dit Clopin, tu as du malheur.»

Puis, se levant debout sur son tonneau: «Personne n’en veut? cria-t-il en contrefaisant l’accent d’un huissier priseur, à la grande gaieté de tous; personne n’en veut? une fois, deux fois, trois fois!» Et se tournant vers la potence avec un signe de tête: «Adjugé!»

Bellevigne de l’Étoile, Andry le Rouge, François Chante-Prune se rapprochèrent de Gringoire.

En ce moment un cri s’éleva parmi les argotiers: « La Esmeralda ! la Esmeralda! »

Gringoire tressaillit, et se tourna du côté d’où venait la clameur. La foule s’ouvrit, et donna passage à une pure et éblouissante figure.

C’était la bohémienne.

«La Esmeralda!» dit Gringoire, stupéfait, au milieu de ses émotions, de la brusque manière dont ce mot magique nouait tous les souvenirs de sa journée.

Cette rare créature paraissait exercer jusque dans la Cour des Miracles son empire de charme et de beauté. Argotiers et argotières se rangeaient doucement à son passage, et leurs brutales figures s’épanouissaient à son regard.

Elle s’approcha du patient avec son pas léger. Sa jolie Djali la suivait. Gringoire était plus mort que vif. Elle le considéra un moment en silence.

«Vous allez pendre cet homme? dit-elle gravement à Clopin.

– Oui, sœur, répondit le roi de Thunes, à moins que tu ne le prennes pour mari.»

Elle fit sa jolie petite moue de la lèvre inférieure.

«Je le prends», dit-elle.

Gringoire ici crut fermement qu’il n’avait fait qu’un rêve depuis le matin, et que ceci en était la suite.

La péripétie en effet, quoique gracieuse, était violente.

On détacha le nœud coulant, on fit descendre le poète de l’escabeau. Il fut obligé de s’asseoir, tant la commotion était vive.

Le duc d’Égypte, sans prononcer une parole, apporta une cruche d’argile. La bohémienne la présenta à Gringoire. «Jetez-la à terre», lui dit-elle.

La cruche se brisa en quatre morceaux.

«Frère, dit alors le duc d’Égypte en leur imposant les mains sur le front, elle est ta femme; sœur, il est ton mari. Pour quatre ans. Allez.»

VII . UNE NUIT DE NOCES

Au bout de quelques instants, notre poète se trouva dans une petite chambre voûtée en ogive, bien close, bien chaude, assis devant une table qui ne paraissait pas demander mieux que de faire quelques emprunts à un garde-manger suspendu tout auprès, ayant un bon lit en perspective, et tête à tête avec une jolie fille. L’aventure tenait de l’enchantement. Il commençait à se prendre sérieusement pour un personnage de conte de fées; de temps en temps il jetait les yeux autour de lui comme pour chercher si le char de feu attelé de deux chimères ailées, qui avait seul pu le transporter si rapidement du tartare au paradis, était encore là. Par moments aussi il attachait obstinément son regard aux trous de son pourpoint, afin de se cramponner à la réalité et de ne pas perdre terre tout à fait. Sa raison, ballottée dans les espaces imaginaires, ne tenait plus qu’à ce fil.

La jeune fille ne paraissait faire aucune attention à lui; elle allait, venait, dérangeait quelque escabelle, causait avec sa chèvre, faisait sa moue çà et là. Enfin elle vint s’asseoir près de la table, et Gringoire put la considérer à l’aise.

Vous avez été enfant, lecteur, et vous êtes peut-être assez heureux pour l’être encore. Il n’est pas que vous n’ayez plus d’une fois (et pour mon compte j’y ai passé des journées entières, les mieux employées de ma vie) suivi de broussaille en broussaille, au bord d’une eau vive, par un jour de soleil, quelque belle demoiselle verte ou bleue, brisant son vol à angles brusques et baisant le bout de toutes les branches. Vous vous rappelez avec quelle curiosité amoureuse votre pensée et votre regard s’attachaient à ce petit tourbillon sifflant et bourdonnant, d’ailes de pourpre et d’azur, au milieu duquel flottait une forme insaisissable voilée par la rapidité même de son mouvement. L’être aérien qui se dessinait confusément à travers ce frémissement d’ailes vous paraissait chimérique, imaginaire, impossible à toucher, impossible à voir. Mais lorsque enfin la demoiselle se reposait à la pointe d’un roseau et que vous pouviez examiner, en retenant votre souffle, les longues ailes de gaze, la longue robe d’émail, les deux globes de cristal, quel étonnement n’éprouviez-vous pas et quelle peur de voir de nouveau la forme s’en aller en ombre et l’être en chimère! Rappelez-vous ces impressions, et vous vous rendrez aisément compte de ce que ressentait Gringoire en contemplant sous sa forme visible et palpable cette Esmeralda qu’il n’avait entrevue jusque-là qu’à travers un tourbillon de danse, de chant et de tumulte.

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