Constantin-François Volney - Recherches nouvelles sur l'histoire ancienne, tome II

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Recherches nouvelles sur l'histoire ancienne, tome II: краткое содержание, описание и аннотация

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60

On trouve dans l’ancienne Arménie le mont Capotes , qui est un mot pur sanscrit, signifiant le Lingam (Phallus); l’Araxès perce une montagne à un lieu appelé Ordovar , et le Gange en fait autant au lieu appelé Héridvâr , etc.

61

Si l’on observe qu’en parlant de la défaite d’Astyag par Tigrane et Kyrus, Mosès fait mention de sa maison (militaire) de 10,000 ames , l’on pensera qu’il a voulu désigner le corps des 10,000 cavaliers devenu partie constituante de l’état militaire des Assyriens, puis des Mèdes, puis des Perses, où nous le trouvons sous le nom des 10,000 immortels . Déïôkes et Kyrus ne firent que copier Ninus: par suite d’imitation, les Tartares ont copié les Perses dans leur Touman de 10,000 cavaliers.

62

Ktésias dans Photuis, p. 110.

63

Voyez d’Herbelot, Biblioth. orient., au mot Sâm ben Souri . En général le lecteur trouvera les traditions que nous citons, soit dans la Bibliothèque orientale, soit dans le livre I de l’Histoire universelle, tom. IV, in-4°, dans lequel est inséré un extrait de Mirkond.

64

Ktésias en Photius, pag. 107.

65

Athénée, lib. XII, édit. de Schweighauser, tome IV, page 468.

66

Hérodote est d’accord; seulement il donne à ce second le nom de Smerdis .

67

Hérodote dit la même chose de Smerdis .

68

Voyez l’Histoire universelle, in-4°, tome IV, page 5 et suivante.

69

Voyez tome IV, page 414, et ci-devant, pag. 77.

70

Quint. Curt., lib. V, cap. I.

71

Lib. XXIII, pag. 351. De bello persico .

72

Par exemple, le fort de Rhacotis où les rois d’Égypte entretenaient une garnison sur le lieu où fut bâtie Alexandrie. Voyez Strabon, lib. XVII, p. 792.

73

330 ans avant notre ère, 8 siècles et demi après la fondation.

74

Voyez le récit de Ktésias en Diodore, dont le lecteur trouvera une traduction littérale dans la Chronologie d’Hérodote, pag. 97. Comparez aussi Strabon, lib. XVI, au début.

75

Diod. Sicul. , lib. II, p. 120, édit. de Wesseling.

76

Nous examinerons dans un article séparé la valeur de ces mesures.

77

Il y a ici une absurdité évidente. Le plus petit mur intérieur plus long que l’extérieur qui l’enveloppe ! Sûrement il faut lire: surpassa en largeur et hauteur .

78

La circonstance des 2,000,000 d’ouvriers levés par corvée, suggère une observation: ce fut un spectacle étrange que cette réunion d’hommes, divers de couleur de peau, de formes de vêtement, d’habitudes d’actions, de culte, et surtout de langage. Plus de 80 dialectes ont dû se parler dans le vaste empire de Sémiramis. L’Asie retentit des récits de ce fait romanesque, brodé par l’imagination arabe: peut-être a-t-il engendré le conte de la confusion des langues survenue aux constructeurs de la tour de Babel, ainsi que nous l’avons dit, partie I re, page 147. Nous ajoutons qu’il est probablement aussi la source de l’origine vicieuse que les Juifs donnent au mot Babylon . Selon eux Babyl signifie confusion : cela ne se trouve dans aucun dictionnaire hébreu, arabe, etc. Mais comme en hébreu le mot confusio ( turba mixta hominum ) s’exprime par le mot arab , et que les indigènes de Babel étaient des Arabes , il est probable que le sens d’un mot a passé à l’autre, surtout quand la loi défendait aux Juifs de prononcer le nom des dieux étrangers, dont Babel était un composé: Ba-bel, palais de Bel . La ville phénicienne appelée par les Grecs Bybl-os , plus ancienne que Sémiramis, s’appelle en langage oriental, Babel : dira-t-on qu’il s’y est fait aussi une confusion de langues?

79

Nous retrouvons ce roi dans les listes sanscrites des modernes indiens, sous le nom de Tchandra-Goupta , successeur de Nanda .

80

Bahr en arabe, qui signifie à la fois mer et grand fleuve , toute grande étendue d’eau .

81

Ce récit a une analogie frappante avec le début de la Genèse.

82

On dispute sur l’époque de Bérose, et cependant la question nous semble simple aux yeux d’une critique raisonnable. Tatien, l’un des plus savants chrétiens du second siècle de notre ère, parlant de Bérose, lui rend ce témoignage: «Bérose est le plus savant des écrivains (sur l’Asie); et pour preuve, je citerai la préférence que le roi Juba, lorsqu’il traite des Assyriens, déclare donner à l’histoire de cet écrivain, qui avait composé 2 livres sur les faits et gestes des Assyriens». ( Oratio contra Græcos , p. 293 291)

Quant à son âge, Tatien dit: «Bérose, prêtre baylonien, naquit à Babylone sous Alexandre; il dédia à Antiochus, troisième depuis ce prince, son histoire divisée en 3 livres, dans laquelle, parlant des actions des rois de Babylone, il en cite un entre autres appelé Nabukodonosor , etc.»

Maintenant raisonnons: Si Bérose naquit sous Alexandre, il faut entendre Alexandre, roi à Babylone, par conséquent vers l’an 330. Mais le traducteur latin de Tatien s’est permis d’altérer le texte grec en disant: Bérose fut contemporain d’Alexandre (Alexandro æqualis, quoique le grec kata Alexandron gegonôs signifie littéralement né au temps d’Alexandre ). Le Syncelle, selon son usage, avait déjà altéré cette phrase en disant, pag. 28; Bérose, dans son premier livre des Babyloniques, se fait honneur d’avoir vécu sa jeunesse sous Alexandre (genestaï tèn-êlikian), et le traducteur du Syncelle (Goar) l’a encore altéré en disant: parem se Alexandro jactat . Enfin ce même Syncelle, toujours incorrect, dévie encore plus du sens dans un autre passage, lorsqu’il dit, p. 14: Bérose, dans ses Antiquités chaldaïques, rapporte qu’il a fleuri sous Alexandre .

Faute d’avoir fait ces corrections, plusieurs ont cru que Bérose avait réellement été un homme de 25 à 30 ans sous Alexandre, et alors il leur a été impossible de concilier un passage de Pline qui dit, lib. VII, chap. II: «Épigènes assure que les Babyloniens ont des observations de 720 ans de date, écrites sur des briques cuites; mais Bérose et Critodème réduisent cette durée à 480 ans (selon quelques manuscrits, et 490 selon d’autres)».

Sur ce passage l’on raisonne et l’on dit: «Puisque Nabonasar (selon Bérose) détruisit tous les monuments historiques antérieurs à son règne, les observations qui le précédèrent ont dû être détruites: celles dont il s’agit ne doivent donc dater que de l’an 1 de Nabonasar, qui est l’an 747 avant notre ère: de 747 ôtez 480 de Bérose, vous ayez 268. Cette année fut la 15 ed’Antiochus-Soter, qui succéda à Séleucus-Nicator en 282. Mais si Antiochus-Théos , qui fut successeur de Soter et 3 edepuis Alexandre, ne régna qu’en 262, comment Bérose lui a-t-il dédié son livre?» Nous répondons qu’étant né sous Alexandre vers 330, Bérose avait eu, l’an 268, environ 63 ou 64 ans; ce qui est un âge convenable, tandis que la chose serait presque impossible dans l’autre hypothèse, où il aurait 85 à 90 ans. Si l’on préfère la leçon de 490 au lieu de 480, la dédicace tombera en l’an 258, et Bérose aurait 74 ans, ce qui est encore possible, mais moins probable; et néanmoins il a pu dédier son livre à Antiochus-Théos, prince royal , en l’an 268, tout aussi-bien qu’à Antiochus-Théos, roi en l’an 258: ainsi la balance des probabilités est plus favorable à la leçon 480. Nous ne disons rien des 720 ans d’Épigènes, parce que l’époque de cet auteur n’est pas connue. Quant à la correction systématique qui veut ajouter mille , et lire 480 mille ans , elle n’est appuyée ni par les manuscrits, ni par le texte de Pline, qui, en concluant que l’usage des lettres est éternel, a eu en vue leur invention sous Phoronée et sous les plus anciens rois de la Grèce, sans compter que cet écrivain n’est pas toujours conséquent.

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