Morgan Rice - Les Plus Téméraires

Здесь есть возможность читать онлайн «Morgan Rice - Les Plus Téméraires» — ознакомительный отрывок электронной книги совершенно бесплатно, а после прочтения отрывка купить полную версию. В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: unrecognised, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Les Plus Téméraires: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les Plus Téméraires»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

« Morgan Rice a recommencé ! Grâce à un panel impressionnant de personnages, l’auteur nous livre un autre monde magique. LES PLUS MÉRITANTS regorge d’intrigues, de trahisons, d’amitiés inattendues et de tous les bons ingrédients pour une lecture savoureuse. Débordant d’action, vous serez captivés par ce livre. »—Books and Movie Reviews, Roberto MattosMorgan Rice, l’auteure à succès n°1 de LA QUÊTE DES HÉROS (un téléchargement gratuit avec plus de 1 000 notes à cinq étoiles), nous offre une nouvelle série de fantasy captivante. Dans LES PLUS TÉMÉRAIRES, le tome final épique de la série Le Fil de L’Épée, Royce se retrouve transformé après s’être regardé dans le miroir magique. A-t-il gagné le don de la sagesse ultime ? Ou est-il devenu fou ?Le miroir révèle de nombreux secrets et Royce finit par se diriger vers la cachette de son père. Va-t-il le rencontrer pour la première fois ? La romance tragique entre Geneviève et Royce atteint enfin son paroxysme, prenant un tour surprenant qui changera à jamais leur vie à tous les deux.Et survient alors la bataille épique contre les armées du roi, une bataille déterminante, scellant le destin des terres et du roi.LES PLUS TÉMÉRAIRES dépeint un conte épique qui parle d’amis et d’amants, de chevaliers et d’honneur, de trahison, de destinée et d’amour. Un conte sur les valeurs nous faisant découvrir un monde de fantasy que toutes et tous pourront adorer.Rendez-vous sur www.morganricebooks.com pour connaître les dates de publication de la prochaine série de fantasy de Morgan.

Les Plus Téméraires — читать онлайн ознакомительный отрывок

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les Plus Téméraires», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

— Je n’ai pas dit que je ne voyais rien, précisa Lori. Je te l’ai dit, j’ai encore des bribes, et ces visions éparses sont toutes faites de noirceur et de sang. Je vois de la violence, Royce, partout où je regarde.

Royce secoua la tête.

— C’est une possibilité, mais ce n’est pas la seule. J’ai trouvé mon père. Nous reviendrons, et le peuple le suivra. Ils verront le vrai roi revenir, et tout le monde comprendra que les choses ont changé. Avec de la chance, même le roi Carris se retirera et s’enfuira.

Lori éclata de rire à ces paroles.

— J’oublie parfois combien tu es jeune, Royce, ou peut-être combien moi, je suis vieille. Tout le monde n’a pas vu… ce que tu as bien pu voir. Tout le monde n’a pas gagné sa sagesse directement d’un miroir, ou ta certitude que ton père est le roi parfait. Les gens ne se prosterneront pas devant lui simplement parce qu’il est de retour.

— J’espère que vous vous trompez, dit Royce.

Lori sourit, mais d’un sourire hésitant.

— Moi aussi, Royce. Moi aussi, je l’espère.

L’image d’elle près du feu s’estompa, et Royce se retrouva dans le bateau avec les autres. À sa grande surprise, le soleil avait traversé le ciel pendant qu’il discutait avec la sorcière ; beaucoup plus loin qu’il n’aurait dû le faire en un temps qui lui avait semblé si court.

— Tu es réveillé, dit Matilde. C’est bien. Je crois qu’on se rapproche du rivage et qu’il va bientôt falloir ramer.

— Tu ne veux pas être celle qui le fera, la taquina Royce.

— Après toutes ces aventures dans les Sept Îles ? Matilde secoua la tête. Je te laisse faire.

Royce était heureux que les tensions avec Neave semblaient s’être dissipées pour le moment. Il alla vers son père, qui était encore assis à la proue du bateau, travaillant sur l’épée d’obsidienne.

Royce la reconnut à peine. Son père en avait travaillé les surfaces, transformant l’arme en quelque chose de lisse, tranchant et mortel. Il avait enveloppé la poignée avec du cuir, utilisé du bois au-dessus pour former une garde. Il semblait être en train d’insérer quelque chose dans cette garde, et il fallut un moment à Royce pour reconnaître…

— Ta chevalière ? s’étonna Royce.

Son père acquiesça de la tête, finissant de l’enfoncer dans une rainure parfaitement taillée à cet effet.

— Ce n’est pas grand-chose, mais je voulais que cette lame soit quelque chose de personnel, quelque chose qui ne pourra jamais être que la tienne, dit son père.

— C’est parfait, dit Royce en lui prenant la lame.

Il essaya la lame, et il apprécia les ajustements que son père avait faits. Elle était plus légère à présent, l’équilibre était affiné, la lame siffla dans les airs quand Royce exécuta quelques mouvements. Elle n’avait pas la perfection brillante de l’épée de cristal, mais elle avait gagné ses lettres de noblesse, et Royce la maniait aisément.

Il se tint côte à côte avec son père, la main du roi Philippe reposant sur son épaule pendant qu’ils regardaient vers le royaume. Bientôt, la ligne sombre de la côte commença à se dessiner et Royce regarda son père.

— Nous rentrons chez nous, promit-il.

— En effet, approuva son père. La lutte pour pouvoir y rester va commencer.

CHAPITRE HUIT

Olivia ignorait pourquoi le besoin de trouver Geneviève l’attirait si fortement vers le sud. Le bon sens lui avait dicté de rester avec les forces de son père, en sécurité au cœur d’un millier d’hommes d’armes, plutôt que de chevaucher jusqu’ici avec seulement trois de ceux-ci.

Haam, Wells et William avaient l’air nerveux à l’idée de s’aventurer ainsi dans des contrées encore sous le contrôle du roi Carris, mais Olivia les avait choisis pour la protéger en partie parce qu’ils n’allaient pas essayer de la dissuader de faire ce qu’elle voulait, ce qu’elle avait besoin de faire.

Elle devait trouver Geneviève ; Olivia n’en connaissait pas les raisons, mais elle le devait.

— Êtes-vous sûre qu’il soit prudent d’être si loin des forces de votre père, ma Dame ? demanda Haam.

Olivia savait qu’il ne faisait qu’exprimer les préoccupations des autres. Elle ne lui en voulut même pas. C’était un endroit dangereux pour eux tous.

— Vous êtes là pour me protéger, leur dit-elle, je ne risque donc rien.

Ces mots les firent se redresser instantanément avec fierté. Ces trois-là n’étaient pas des chevaliers, et la différence était évidente. Leurs armures avaient connu maintes batailles et avaient été probablement reconstituées à partir d’une douzaine différentes, leurs chevaux étant plus aptes à tirer une charrue qu’à charger sur un champ de bataille. Leurs armes étaient simples et fonctionnelles, et leur nervosité était évidente, regardant autour d’eux au moindre bruit venant des bas-côtés de la route alors qu’ils continuaient vers le sud.

— Mais c’est encore loin ? demanda William, alors qu’ils arrivaient à un carrefour.

Ils s’arrêtèrent, essayant de deviner quelle direction prendre.

— On devrait songer à faire demi-tour, proposa Haam.

Olivia s’agitait sur son destrier, distraite, jouant avec la bague que Royce lui avait donnée lors de leurs fiançailles ; la bague de sa famille, mais aussi le symbole de leur amour. Elle la caressait, et ce faisant, elle pensait à Geneviève. Elle pensait à la façon dont cette autre femme avait regardé le château et à l’importance qu’elle avait manifestement pour Royce.

— Nous continuerons autant que nécessaire jusqu’à ce que nous la trouvions, décida Olivia. Je pense qu’elle se dirige vers le campement du roi. Nous devons l’atteindre avant qu’elle n’y arrive.

— Et si nous n’y arrivons pas ? demanda Wells.

Olivia haussa les épaules, mais seulement parce qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas dire ce qu’elle pensait : que si nécessaire, elle abattrait n’importe quel mur, trouverait un chemin à travers n’importe quelle armée, pour atteindre Geneviève. Elle était devenue son obsession, une idée fixe qui ne voulait pas disparaître. Olivia savait qu’elle ne trouverait pas le bonheur avec Royce, tant la situation avec Geneviève était trouble, sachant qu’elle éprouvait encore des sentiments pour lui. Elle avait besoin de la trouver.

— Geneviève aura rejoint Altfor, dit Olivia en esquivant la question. Altfor est avec le roi Carris, donc on sait où elle se rend. Cela nous laisse une chance de la rattraper avant qu’elle n’y arrive.

— Je l’espère, dit Wells, mais nous devons réfléchir à nous fixer une limite. Jusqu’où faudra-t-il aller avant de rebrousser chemin ?

— Nous irons aussi loin qu’il le faudra, dit Olivia, d’une détermination absolue.

À ce moment-là, elle savait qu’elle suivrait Geneviève au milieu d’un feu ardent s’il le fallait.

— Et nous perdons notre temps ici alors que nous pourrions avancer. Chaque moment où nous restons ici à hésiter est un moment où elle s’éloigne de nous.

Olivia reprit la route dans la direction où, d’après leurs informations, était située la cour du roi Carris, talonnant son cheval au galop. Elle se fichait que les autres réussissent à suivre ou non. Leurs chevaux se précipitèrent à côté du sien, et de loin, ils ressemblaient probablement à une noble dame chevauchant avec son escorte de chevaliers.

Finalement, ils traversèrent des peuplements d’arbres, puis montèrent au sommet d’une colline. De là-haut, Olivia put voir l’armée du roi Carris se déployer en contrebas, bannière après bannière, alors que des nobles s’étaient joints à lui pour exprimer leur soutien. Il y avait des milliers d’hommes, des soldats et des chevaliers, des archers et des lanciers. Les nobles et les chevaliers avaient leurs tentes séparées des autres, chacun avec leur petit cercle de serviteurs et de valets.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Les Plus Téméraires»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les Plus Téméraires» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «Les Plus Téméraires»

Обсуждение, отзывы о книге «Les Plus Téméraires» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x