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[45]George Stigler, «The Dominant Firm and the Inverted Umbrella», en The Organization of Industry (Illinois: Richard D. Irving, 1968), 108-122.
[46]Bénédicte Reynaud-Crescent, «L’évolution de la structure de la branche d’édition de livres en France» (tesis de doctorado, Université Paris I Panthéon-Sorbonne, 1981).
[47]Bénédicte Reynaud-Crescent, «La dynamique d’un oligopole avec frange: Le cas de la branche d’édition de livres en France». Revue d’économie industrielle, n.º 22 (1982): 61-71.
[48]En las décadas de 1960 y 1970 los marxistas teorizaron lo que llamaron el capitalismo monopolista de Estado, mientras que la izquierda no comunista prefirió ponerse de acuerdo sobre la aparición de oligopolios que, como los monopolios, utilizan sus agentes frente al poder político para orientar las decisiones económicas de acuerdo con sus intereses.
[49]Bénédicte Reynaud-Crescent, «L’emprise des groupes sur l’édition française au début des années 1980». Actes de la recherche en sciences sociales, n.º 130 (1999): 3-10.
[50]Jean-Marie Bouvaist, «Crises et mutations de l’édition française», Cahiers de l’économie du livre, suplemento 3 (París: Le Cercle de la Librairie, 1993); Jean-Yves Mollier (dir.), Où va le livre? (París: La Dispute, 2007).
[51]Luego de muchos giros, la Compañía General de Electricidad vendió la Compañía General Occidental a la Compañía General de Aguas que, enseguida, absorbió Havas antes de cambiar de nombre y convertirse en Vivendi, y luego en Vivendi Universal, todo en menos de diez años.
[52]André Schiffrin, L’Édition sans éditeurs (París: La Fabrique, 1999); André Schiffrin, The Business of Books: How International Conglomerates Took over Publishing and Changed the Way We Read, versión inglesa aumentada (Londres y Nueva York: Verso, 2000).
[53]Ahmed Silem, «Les deux géants du livre français: Vivendi Universal Publishing et Hachette Livre», en Où va le livre?, 41-72.
[54]Jean-Yves Mollier, «L’évolution du système éditorial français depuis l’Encyclopédie de Diderot», en Où va le livre?, 38-39.
[55]Véase el análisis de la financiarización del planeta desarrollado por Antoine Rebiscoul, director general de Saatchi and Saatchi, en Antoine Rebiscoul, «Le jeu de dupes autour de l’économie de l’immatériel: L’effet Moebius de la financiarisation sur les droits de propriété». Mode de recherche, n.º 5 (2006): 23-37.
[56]Sobre estos movimientos recientes véase Jean-Yves Mollier, Édition, presse et pouvoir en France au xxe siècle (París: Fayard, 2008).
[57]Bernard Guillou y Laurent Maruani, «Les Stratégies des grands groupes d’édition: Analyse et perspectives», Cahiers de l’économie du livre, suplemento 1 (París: Le Cercle de la Librairie, 1991).
[58]Ibid., 34.
[59]Ibid., 113-117.
[60]Es obvio que la lectura de los periódicos (Libération, Le Monde, Le Figaro y L’Humanité, así como Livres Hebdo) ha constituido la base de nuestra documentación desde hace treinta años.
[61]Silem, «Les deux géants».
[62]Guillou y Maruani, Les Stratégies des grands, 144-155.
[63]Véase Livres Hebdo, n.º 478, 23 de agosto del 2002, y la prensa nacional para los comentarios sobre estos eventos. Sobre Bertelsmann véanse Claudia Schalke y Markus Gerlach, «Le paysage éditorial allemand». Actes de la recherche en sciences sociales, n.º 130 (1999): 29-47, y Franck Bödselmann y Hersch Fischler, Bertelsmann: Hinter der Fassade des Mediensimperium (Fráncfort: Eichhorn ag, 2004).
[64]Guillou y Maruani, Les Stratégies des grands, 126-133.
[65]Mollier, «L’évolution du système éditorial», 35; Reynaud-Crescent, «L’emprise des groupes», 3-10.
[66]Reynaud-Crescent, «L’évolution du système éditorial français», 35-38.
[67]Schiffrin, L’Édition sans éditeurs, 45-62.
[68]Guillou y Maruani, Les Stratégies des grands, 163-169.
[69]Ibid.
[70]Jean Peyrelevade, Le Capitalisme total (París: Le Seuil, 2005).
[71]Jean-Yves Mollier, «Un siècle d’édition des Goncourt», en Les Goncourt dans leur siècle: Un siècle de «Goncourt», dirigido por Jean-Louis Cabanès, Pierre-Jean Dufief, Robert Kopp y Jean-Yves Mollier (Villeneuve-d’Ascq: Presses du Septentrion, 2005), 409-421.
[72]Rebiscoul, «Le jeu de dupes», 23-37.
[73]Ibid.
[74]Que el accionista gestione directamente su portafolio o confíe su cuidado a un fondo de pensiones no cambia los hechos. Los fondos de pensiones estadounidenses administraban, por cierto, el 30 % de los capitales bursátiles del país antes de la crisis del verano del 2008, lo que demuestra bien la tendencia, a saber, una administración más colectiva o indirecta de los portafolios que individual y directa.
[75]Rebiscoul, «Le jeu de dupes», 25.
[76]Ibid.
[77]Schiffrin, L’Édition sans éditeurs.
[78]Rebiscoul, «Le jeu de dupes», 31.
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