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George Martin: Un festin pour les corbeaux

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George Martin Un festin pour les corbeaux
  • Название:
    Un festin pour les corbeaux
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2012
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    978-2-7564-0125-6
  • Рейтинг книги:
    3 / 5
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Un festin pour les corbeaux: краткое содержание, описание и аннотация

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Lady Brienne, dite la pucelle de Torth, poursuit la quête désespérée dont l’a chargée Jaime Lannister. Accompagnée du septon Meribal, de Podrick, son fidèle écuyer, et de Ser Hyle, elle arpente sans relâche le royaume à la recherche de Sansa Stark. Mais à défaut de la fille, c’est la mère, Catelyn, qu’elle trouvera… ou du moins ce qu’il en reste. Car Sansa, depuis le régicide auquel elle a été mêlée à son insu, se cache au Val d’Arryne, sous l’identité d’Alayne Stone, prétendue bâtarde de Lord Petyr Baelish, . Plus pour longtemps, cependant : ce dernier a concocté un plan qui, s’il fonctionne, devrait faire revenir la jeune fille sur le devant de la scène. Et pendant que tous les Loups s’agitent, Cersei Lannister tente de maintenir en un seul morceau l’empire qu’a laissé Lord Tywin, son père. N’a-t-elle pas joué une fois de trop avec le feu en réarmant la Foi et ses ecclésiastiques pour le moins radicaux ? Un festin pour les corbeaux Trône de Fer

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Chien battit de la queue, et Meribald secoua la boue qui lui engluait les pieds. « Nous serait-il permis de vous demander l’hospitalité pour une nuit ?

— Evidemment que oui. Nous devons avoir du ragoût de poisson ce soir. Vous aurez besoin du bateau, demain matin ?

— Si ce n’est trop demander. » Le septon se tourna vers ses compagnons de voyage. « En tant que coadjuteur de la communauté, Frère Narbert est autorisé à parler un jour sur sept. Frère, ces bonnes gens m’ont aidé pendant le trajet. Ser Hyle est un gentilhomme du Bief. Le gosse est Podrick Payne, originaire des terres de l’Ouest. Enfin, voici lady Brienne, connue sous la dénomination de Pucelle de Torth. »

Frère Narbert demeura court. « Une femme.

— Oui, frère. » Brienne déploya sa chevelure. « N’avez-vous pas de femmes, ici ?

— Pas actuellement, répondit-il. Celles qui viennent nous rendre visite sont blessées, malades ou enceintes. Les Sept ont gratifié notre frère Doyen de mains guérisseuses. Il a rendu la santé à nombre d’hommes que les mestres eux-mêmes ne parvenaient pas à soigner, ainsi qu’à maintes femmes.

— Je ne suis ni blessée ni malade ni enceinte.

— Lady Brienne est une jeune guerrière, intervint Septon Meribald. Elle est à la recherche du Limier.

— Ah bon ? » Frère Narbert eut l’air éberlué. « Dans quel dessein ? »

Brienne toucha la poignée de Féale. « Le sien », dit-elle.

Le coadjuteur la scruta de pied en cap. « Vous êtes… musclée, pour une femme, il est vrai, mais… Peut-être ferais-je mieux de vous conduire auprès du frère Doyen. Il vous aura sûrement vue traverser les vasières. Venez. »

Ils empruntèrent à sa suite un chemin tapissé de galets qui, après avoir traversé un verger de pommiers, les mena devant des écuries blanchies à la chaux et surmontées d’un toit pointu de chaume. « Vous pouvez laisser vos bêtes ici. Frère Gillam veillera à ce qu’elles soient abreuvées et nourries. »

Les écuries étaient plus qu’aux trois quarts inoccupées. A l’une de leurs extrémités se trouvaient une demi-douzaine de mulets qu’était en train de panser un petit brin de frère aux jambes arquées que Brienne présuma être ledit Gillam. Tout au fond de l’extrémité opposée, bien loin de ses congénères, un gigantesque étalon noir hennit d’un ton claironnant en entendant leurs voix et décocha une ruade contre la porte de sa stalle.

Ser Hyle lui dédia un coup d’œil admiratif tout en remettant à Frère Gillam la bride de sa propre monture. « Superbe, cet animal. »

Frère Narbert soupira. « Les Sept nous envoient des bénédictions, les Sept nous envoient également des épreuves. Tout superbe qu’il peut être, Bois-Flotté a sûrement été mis bas en enfer. Quand nous avons essayé de l’atteler à une charrue, le coup de pied dont il a gratifié Frère Rawney s’est soldé par une double fracture du tibia. Nous nous étions flattés que son terrible caractère serait amendé par la castration, mais… Voulez-vous avoir l’obligeance de leur montrer, Frère Gillam ? »

Celui-ci repoussa son capuchon. Des cheveux blonds ébouriffés soulignaient la tonsure de son crâne, et un pansement maculé de sang recouvrait l’emplacement d’une oreille perdue.

Podrick eut le souffle coupé. « Il vous a arraché l’oreille d’un coup de dents ? »

Le frère acquiesça d’un hochement pour toute réponse puis rabattit la coule sur sa tête.

« Pardonnez-moi, frère, commenta ser Hyle, mais je serais bien capable de vous ôter l’autre oreille si vous vous approchiez de moi avec des cisailles. »

Frère Narbert apprécia modérément la plaisanterie. « Vous êtes chevalier, ser. Ce fauve de Bois-Flotté n’est qu’un encombrement. C’est pour seconder le labeur des humains que les chevaux leur ont été donnés par le Ferrant. » Il se détourna. « Si vous voulez bien ? Le frère Doyen doit être en train d’attendre. »

L’île se révéla plus escarpée qu’elle n’en avait d’abord donné l’impression d’en deçà des vasières. Pour en faciliter l’ascension, les frères avaient établi des volées de marches de bois qui gravissaient en lacets successifs le flanc de la pente et desservaient les bâtiments. Au terme d’une longue journée en selle, Brienne savoura l’occasion de se dégourdir les jambes.

Au cours de l’escalade, ils croisèrent une douzaine de frères de la communauté ; leur passage suscita bien des regards curieux sous les capuchons brun-gris, mais pas la moindre parole de bienvenue. L’un des hommes emmenait une paire de vaches laitières vers une grange basse à toit de tourbe ; un autre barattait du beurre. Sur les hauteurs du versant s’aperçurent trois gamins qui guidaient un troupeau de moutons, et, encore au-dessus, le chemin longea un cimetière dans lequel un frère encore plus dégingandé que Brienne s’affairait à creuser une tombe. Chacun de ses mouvements trahissait sans conteste qu’il était boiteux. Comme il balançait une pelletée par-dessus son épaule, il se trouva qu’une volée de terre caillouteuse vint crépiter contre leurs pieds. « Un peu d’attention, holà ! le tança Frère Narbert. Septon Meribald a failli écoper d’une bouchée. » Le fossoyeur baissa la tête. Chien s’approchant pour le flairer, il laissa choir sa pelle pour lui grattouiller l’oreille.

« Un novice, expliqua Narbert.

— A qui est destinée la tombe ? demanda ser Hyle tandis que l’on se remettait à grimper les degrés de bois.

— A Frère Clément. Puisse le Père le juger en toute équité.

— Il était vieux ? s’enquit Podrick Payne.

— Mouais, si tu trouves que quarante-huit ans, c’est vieux. Mais ce n’est pas son âge qui l’a tué. Il est mort des blessures qu’il avait reçues à Salins. Il était allé apporter de notre hydromel au marché, le jour même où les hors-la-loi se sont abattus sur la ville.

— Le Limier ? fit Brienne.

— Un autre, mais une brute du même acabit. En constatant que le pauvre Clément refusait de parler, il lui a tranché la langue. Puisqu’il avait fait vœu de silence, a dit le pillard, elle ne lui servait strictement à rien. Le frère Doyen en sait bien davantage. Il garde par-devers lui les pires détails des nouvelles qui parviennent du dehors, afin de ne pas perturber la tranquillité du septuaire. Nombre de nos frères se sont réfugiés ici pour se soustraire aux horreurs du monde, pas pour s’appesantir sur elles. Frère Clément n’est pas le seul d’entre nous à avoir été blessé. Il est des blessures qui ne s’exhibent pas. » Frère Narbert fit un geste vers la droite. « Là se trouve notre vignoble d’été. Les grappes en sont très petites et acidulées, mais elles donnent un vin potable. Nous brassons aussi notre propre bière, et la réputation de notre hydromel s’étend au loin, comme celle de notre cidre.

— La guerre vous a toujours épargnés ? questionna Brienne.

— Celle-ci du moins, loués soient les Sept. Nos prières nous protègent.

— Ainsi que vos marées », suggéra Meribald. Chien aboya son approbation.

Le sommet de l’île était couronné par un muret de pierres sèches au sein duquel s’aggloméraient de vastes bâtiments : le moulin à vent, dont les ailes tournaient en grinçant ; les cloîtres abritant les dortoirs des frères, la salle commune qui leur servait de réfectoire, un septuaire en bois destiné à la prière et à la méditation. Ce dernier se distinguait par des verrières à réseaux de plomb, par de larges portes sculptées à l’effigie de la Mère et du Père et par un clocher à sept pans que surmontait une plate-forme en chemin de ronde. Un jardin potager s’étendait derrière, et quelques frères plus âgés s’y employaient à l’arrachage de mauvaises herbes. Après leur avoir fait contourner un châtaignier, Frère Narbert mena ses visiteurs devant un vantail de bois serti dans le flanc même de la colline.

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