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George Martin: Les dragons de Meereen

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George Martin Les dragons de Meereen
  • Название:
    Les dragons de Meereen
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2012
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    978-2-7564-0587-2
  • Рейтинг книги:
    3 / 5
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Les dragons de Meereen: краткое содержание, описание и аннотация

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À présent que Stannis Baratheon est parti reprendre Winterfell aux Bolton pour s’assurer la domination du Nord, Jon Snow est redevenu le seul maître du Mur. Cependant, le roi autoproclamé a laissé sur place Mélisandre, la prêtresse rouge, qui semble décidée à apporter son aide au bâtard. Les flammes lui révèlent l’avenir, mais quel avenir ? À Meereen, la situation s’enlise : le blocus du port par les esclavagistes ne semble pas vouloir prendre fin, et Daenerys refuse d’envoyer ses dragons y mettre un terme flamboyant. L’enquête visant à démasquer les Fils de la Harpie, coupables des meurtres qui ensanglantent le pouvoir, piétine elle aussi. Seul un mariage pourrait dénouer la situation, mais les prétendants sont nombreux et les conséquences hasardeuses. Quant aux Lannister, ils vont devoir attendre encore un peu avant de pouvoir décoller la tête de leur lutin de frère : le ravisseur de Tyrion a de tout autres projets pour ce dernier…

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George R.R. Martin

Les dragons de Meereen

Ce volume est pour mes fans

pour Lodey, Trebla, Stego, Pod, Caress, Yags, X-Ray et Mr. X, Kate, Chataya, Mormont, Mich, Jamie, Vanessa, Ro,

pour Stubby, Louise, Agravaine, Wert, Malt, Jo, Mouse, Telisiane, Blackfyre, Bronn Stone, Coyote’s Daughter

et le reste des cinglés et des folles furieuses de la Confrérie sans Bannières

pour les sorciers de mon site web Elio et Linda, seigneurs de Westeros, Winter et Fabio de WIC, et Gibbs de Dragonstone, à l’origine de tout

pour les hommes et les femmes d’Asshai en Espagne qui nous ont chanté un ours et une gente damoiselle

et les fabuleux fans d’Italie qui m’ont tant donné de vin

pour mes lecteurs en Finlande, Allemagne, Brésil, Portugal, France et Pays-Bas

et tous les autres pays lointains où vous attendiez cette danse

et pour tous les amis et les fans qu’il me reste encore à rencontrer


Merci de votre patience

Les Erre-au-Vent

La nouvelle traversa le camp comme un vent brûlant. Elle arrive. Son armée s’est mise en marche. Elle fond sur le sud à destination de Yunkaï pour incendier la ville et passer ses habitants au fil de l’épée, et nous allons monter vers le nord, à sa rencontre.

Guernouille le tenait de Dick Chaume, qui avait appris la nouvelle par le vieux Bill les Os qui l’avait sue par un Pentoshi du nom de Myrio Myrakis, qui avait un cousin qui servait en qualité d’échanson auprès du Prince en Guenilles. « L’ cousin a entendu dire ça sous la tente de commandement, d’ la bouche même de Caggo, insistait Dick Chaume. On prend la route avant la fin du jour, zallez voir. »

Cela au moins fut confirmé. L’ordre descendit du Prince en Guenilles par le truchement de ses capitaines et de ses sergents : démontez les tentes, chargez les mules, sellez les chevaux, nous partons pour Yunkaï au point du jour. « Pas de risque que ces salauds de Yunkaïis veuillent nous voir dans leur Cité Jaune, à rôdailler autour de leurs filles », prédit Baqq, l’arbalétrier myrien aux yeux mi-clos dont le nom signifiait haricots et qu’on appelait donc Fayots. « À Yunkaï on se procurera des vivres, on aura p’t-êt’ des chevaux frais et après, on continuera vers Meereen pour aller danser avec la reine dragon. Alors, que ça saute, Guernouille ! Traîne pas, et affûte bien l’épée de ton maître. S’pourrait bien qu’t’en aies b’soin sous peu ! »

À Dorne, Quentyn Martell avait été prince ; à Volantis, un commis de marchand ; mais sur les côtes de la baie des Serfs, il n’était plus que Guernouille, écuyer du grand chevalier dornien chauve que les épées-louées appelaient Vertes-tripes. Chez les Erre-au-Vent, les hommes employaient les noms qui leur chantaient et en variaient à leur guise. Ils lui avaient attribué celui de Guernouille à cause de sa diligence dès que le colosse beuglait un ordre. « Et qu’ ca saute ! »

Même le commandant des Erre-au-Vent gardait pour lui son vrai nom. Certaines compagnies libres étaient nées durant le siècle de sang et de chaos qui avait suivi le Fléau de Valyria. D’autres, formées hier, disparaîtraient demain. Les Erre-au-Vent avaient trente ans d’histoire, et sous un seul commandant, un noble Pentoshi à la voix douce et aux yeux mélancoliques qu’on appelait le Prince en Guenilles. Ses cheveux et sa maille avaient le même gris argent, mais sa cape en loques mariait des haillons de couleurs variées, bleu, gris et mauve, rouge, or et vert, magenta, vermillon et vert céruléen, tous délavés par le soleil. Lorsque le Prince en Guenilles avait eu vingt-trois ans, d’après le récit qu’en faisait Dick Chaume, les magistrats de Pentos l’avaient choisi pour être leur nouveau prince, quelques heures après avoir décapité l’ancien. Il avait aussitôt ceint une épée à sa taille, sauté sur son cheval favori et fui dans les Terres Disputées, pour ne jamais revenir. Il avait chevauché avec les Puînés, les Rondaches de Fer et les Hommes de la Pucelle, puis s’était associé à cinq compagnons d’armes pour former les Erre-au-Vent. De ces six fondateurs, lui seul avait survécu.

Était-ce la vérité, Guernouille n’en avait pas la moindre idée. Depuis qu’il avait paraphé son entrée dans les Erre-au-Vent à Volantis, il n’avait aperçu le Prince en Guenilles que de loin. Les Dorniens étaient des recrues fraîches, des novices à former, de la chair à flèches, trois parmi deux mille. Leur commandant fréquentait des cercles plus élevés. « Je ne suis pas un écuyer », avait protesté Quentyn quand Gerris Boisleau – qu’on connaissait ici sous le nom de Gerrold le Dornien, pour le distinguer de Gerrold Dos-Rouge et de Gerrold le Noir, et parfois comme le Buveur, car le mastodonte, par bourde, l’avait appelé ainsi – avait suggéré cette ruse. « J’ai gagné mes éperons à Dorne. Je suis autant chevalier que vous. »

Mais Gerris avait prévalu ; Archie et lui étaient ici pour protéger Quentyn, et cela signifiait qu’ils devaient le garder auprès du mastodonte. « De nous trois, Arch est le meilleur guerrier, avait fait observer Boisleau, mais vous seul pouvez espérer épouser la reine dragon. »

L’épouser ou la combattre ; en tout cas, je vais bientôt être face à face avec elle. Plus Quentyn entendait parler de Daenerys Targaryen et plus il appréhendait leur rencontre. Les Yunkaïis soutenaient qu’elle nourrissait ses dragons de chair humaine et se baignait dans le sang des vierges pour entretenir la souplesse et le satin de sa peau. Fayots en riait, mais il raffolait des anecdotes sur les appétits sexuels de la reine d’argent. « Un de ses capitaines descend d’une lignée où les hommes ont une anguille d’un pied de long, leur raconta-t-il, mais même lui, il est pas assez épais pour elle. Elle a vécu parmi les Dothrakis où elle a pris l’habitude de se faire fourbir par des étalons, si bien qu’aucun homme peut plus la satisfaire, désormais. » Et Bouquine, l’habile reître volantain qui semblait avoir en permanence le nez plongé dans un rouleau friable, jugeait la reine dragon aussi meurtrière que folle. « Son khal a tué son frère pour la faire reine. Ensuite, elle a tué son khal pour devenir khaleesi. Elle pratique des sacrifices sanglants, elle ment comme elle respire, elle se retourne contre les siens par caprice. Elle a violé des trêves, torturé des ambassadeurs… Son père était fou, lui aussi. Ça se transmet par le sang. »

Ça se transmet par le sang. Oui, le roi Aerys II était fou, tout Westeros le savait. Il avait banni deux de ses Mains et condamné au bûcher une troisième. Si Daenerys est aussi meurtrière que son père, dois-je l’épouser quand même ? Le prince Doran n’avait jamais abordé cette éventualité.

Guernouille serait content de laisser Astapor derrière lui. La Cité Rouge était le plus proche équivalent de l’enfer qu’il ait jamais imaginé fréquenter. Les Yunkaïis avaient consolidé les portes enfoncées afin de confiner les morts et les agonisants à l’intérieur de la ville, mais les scènes qu’il avait vues en parcourant à cheval ces rues de brique rouge hanteraient à jamais Quentyn Martell. Un fleuve charriant des cadavres. La prêtresse dans ses robes en lambeaux, empalée sur un pieu et environnée d’une cour de mouches vertes luisantes. Des mourants qui titubaient à travers les rues, couverts de sang et d’ordure. Des enfants qui se disputaient des chiots à moitié cuits. Le dernier roi libre d’Astapor, hurlant nu au fond de l’arène, tandis qu’une vingtaine de dogues affamés se jetaient sur lui. Et des feux, partout des incendies. Il pouvait clore les yeux et les voir encore : des flammes se déployant contre des pyramides de brique plus hautes que tous les châteaux qu’il avait jamais contemplés, des panaches de fumée grasse qui montaient en se lovant comme d’immenses serpents noirs.

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