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Stephen King: La clé des vents

Здесь есть возможность читать онлайн «Stephen King: La clé des vents» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2012, ISBN: 978-2290080832, издательство: Éditions J'ai Lu, категория: Фэнтези / Ужасы и Мистика / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Stephen King La clé des vents

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Alors qu’ils arpentent le Sentier du Rayon en direction de Calla Bryn Sturgis, une terrible tempête oblige Roland de Gilead et son — Jake, Susannah, Eddie et Ote — à s’abriter dans une bourgade abandonnée depuis longtemps par ses habitants. Bercés par la lueur des flammes et les hurlements du vent, les quatre compagnons écoutent le Pistolero lever le voile sur deux épisodes troubles de son passé… STEPHEN KING fait partie de ces écrivains qu’il n’est plus besoin de présenter. autant de romans — et souvent de films — mondialement célèbres. Mais rien ne compte plus à ses yeux que le cycle de son Grand Œuvre, une saga-fleuve monumentale dont il entama l’écriture alors qu’il était encore étudiant. chronologiquement situé entre les tomes quatre et cinq, peut se lire indépendamment des romans du cycle.

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Il attrapa un morceau de bois, attisa les braises du feu puis le jeta dans les flammes.

— La première histoire est une histoire vraie, car je l’ai vécue en compagnie de Jamie DeCurry, mon ancien ka-mi . Quant à l’autre, La Clé des Vents , ma mère me la lisait lorsque j’étais tout petit. Les vieilles histoires sont parfois utiles, vous savez, et j’aurais dû penser à celle-ci dès que j’ai vu Ote renifler l’air, mais c’est une histoire d’il y a longtemps. (Il soupira.) Une histoire des jours enfuis.

Dans les ténèbres par-delà leur petit cercle de lumière, le vent poussa un cri suraigu. Roland attendit qu’il s’estompe, puis commença son récit. Eddie, Susannah et Jake l’écoutèrent, captivés, durant toute cette longue nuit de tourmente. Lud, l’Homme Tic-Tac, Blaine le Mono, le Palais Vert… tout cela, ils l’oublièrent. Jusqu’à la Tour Sombre elle-même qui disparut un temps de leurs pensées.

Il n’y avait plus que la voix de Roland, qui se durcissait puis se faisait plus douce par instants.

Dure et parfois douce, comme le vent.

— Peu de temps après la mort de ma mère, laquelle, ainsi que vous le savez, j’ai tuée de mes propres mains…

LE GAROU

(1 èrePARTIE)

Peu de temps après la mort de ma mère, laquelle, ainsi que vous le savez, j’ai tuée de mes propres mains, mon père — Steven, fils d’Henry le Grand — me convoqua dans son bureau de l’aile nord du palais. C’était une pièce minuscule et glaciale. Je me rappelle le vent gémissant dans les meurtrières. Je me rappelle les hautes étagères sévères ployant sous les livres — des livres qui valaient une fortune, mais que personne ne lisait jamais. Pas lui, tout du moins. Et je me rappelle le col noir qu’il portait en signe de deuil. Le même col noir que le mien. Tous les hommes de Gilead en portaient un, à moins que ce soit un brassard. Les femmes se coiffaient d’une résille noire. Il en serait ainsi pendant les six mois suivant les funérailles de Gabrielle Deschain.

Je portai le poing à mon front pour le saluer. Il ne leva pas les yeux des papiers étalés devant lui, mais je savais qu’il m’avait vu. Mon père voyait tout, et il voyait très bien. J’attendis. Il apposa sa signature sur plusieurs documents tandis que le vent sifflait et que les corbeaux croassaient dans la cour. La cheminée était vide. Même par temps glacial, il était rare qu’il la fasse allumer.

Enfin, il leva la tête.

— Comment va Cort, Roland ? Comment va ton instructeur de jadis ? Tu dois le savoir, vu qu’on m’a fait comprendre que tu passais le plus clair de ton temps dans sa hutte, à le nourrir et à le soigner.

— Certains jours, il lui arrive de me reconnaître. Mais cela devient rare. Il y voit encore un peu d’un œil. L’autre…

Je n’avais pas besoin de finir. L’autre avait disparu. C’était David, mon faucon, qui l’avait crevé au cours de mon épreuve de passage à l’âge adulte. En représailles, Cort avait ôté la vie à David, mais il n’avait plus jamais tué ensuite.

— Je sais ce qui est arrivé à l’autre. Ainsi, tu le nourris ?

— Si fait, père.

— Tu le laves quand il se souille ?

Je restai planté devant son bureau, aussi contrit qu’un écolier convoqué par le directeur, et tel était bien mon sentiment. Mais combien d’écoliers contrits ont tué leur propre mère ?

— Réponds-moi, Roland. Je suis ton dinh ainsi que ton père, et j’exige une réponse.

— Quelquefois, répondis-je.

Ce n’était pas vraiment un mensonge. Tantôt je changeais Cort trois ou quatre fois par jour, tantôt, quand il se sentait mieux, une fois seulement, voire pas du tout. Il arrivait jusqu’aux latrines si je l’y aidais. Et s’il se rappelait qu’il en avait besoin.

— Il n’y a pas d’ammie blanche pour s’occuper de lui ?

— Je les ai chassées, dis-je.

Il me fixa d’un air franchement curieux. Je cherchai une trace de mépris sur son visage — une partie de moi-même aurait souhaité en trouver —, mais ce fut sans succès.

— T’ai-je élevé pour que tu deviennes une ammie et prennes soin d’un vieillard sénile ?

Je sentis ma colère s’embraser. Cort avait enseigné les traditions de l’Eld et la voie du pistolet à une piche de jeunes hommes. Quand il les jugeait indignes de ce savoir, il les terrassait et les envoyait à l’Ouest, armés de leur seule astuce. Revenus en Cressie et en d’autres lieux encore plus reculés des royaumes anarchiques, nombre d’entre eux avaient rejoint Farson, l’Homme de Bien. Lequel était prêt à renverser tout ce que représentait la lignée de mon père. Lui les avait armés.

— Irais-tu jusqu’à le jeter aux ordures, père ? Est-ce la récompense que lui vaudront toutes ses années de service ? Et ensuite, à qui le tour ? À Vannay ?

— Jamais de la vie je ne ferais cela, tu le sais. Mais son temps est passé, Roland, et tu le sais aussi. Et ce n’est pas par amour que tu le soignes. Tu le sais également.

— C’est par respect que je le fais !

— Si ce n’était que par respect, tu lui rendrais visite, tu lui ferais la lecture — car tu es doué pour cela, ta mère le disait toujours, et sur ce point elle disait vrai —, mais tu n’irais pas jusqu’à lui torcher le cul et lui changer ses draps. En agissant ainsi, tu te châties pour la mort de ta mère, alors que tu n’en es nullement responsable.

Une partie de moi-même connaissait cette vérité. Une autre refusait de le croire. Le verdict rendu était des plus simple : « Gabrielle Deschain, d’Arten, a péri alors qu’elle était possédée par un démon qui lui troublait l’esprit. » C’était ce que l’on disait toujours lorsqu’une personne de sang noble mettait fin à ses jours. Ce verdict était accepté par tous, y compris ceux qui avaient rejoint le camp de Farson, publiquement ou en secret. Car tous avaient compris — les dieux savent comment, vu que ni mes amis ni moi n’avions parlé — qu’elle était devenue la maîtresse de Marten Largecape, sorcier personnel et proche conseiller de mon père, et que ce dernier était parti pour l’Ouest. Seul.

— Entends-moi bien, Roland. Je n’ignore pas que tu t’es senti trahi par ma dame ta mère. Moi aussi. Ni qu’une partie de toi la haïssait. Il en va de même pour moi. Mais nous l’aimions également, toi comme moi, et nous l’aimons encore. Le jouet que tu as rapporté de Mejis t’a empoisonné et la sorcière t’a berné. Ni l’un ni l’autre de ces malheurs n’aurait suffi, mais la conjonction de la boule rose et de la sorcière… si fait.

— Rhéa…

Je sentis monter les larmes et je les refoulai. Il n’était pas question que je pleure devant mon père. Plus jamais.

— Rhéa du Cöos, achevai-je.

— Si fait, la mégère au cœur noir. C’est elle qui a tué ta mère, Roland. Elle a fait de toi un pistolet… puis elle a pressé la détente.

Je ne dis rien.

Il dut percevoir la détresse qui était la mienne, car il se remit à remuer des papiers et à signer des documents. Puis il leva la tête une nouvelle fois.

— Les ammies devront prendre soin de Cort pour un temps. Je t’envoie à Debaria avec l’un de tes ka-mis.

— Hein ? À Sérénité ?

Il rit.

— Est-ce le nom de la retraite où ta mère a séjourné ?

— Oui.

— Non, sûrement pas. Sérénité, quelle blague ! Ces femmes-là sont des ammies noires . Quiconque franchit leurs saintes portes périt écorché vif. La plupart des sœurs qui y demeurent préfèrent le mandrin à l’homme.

Je n’entendais rien à son propos — rappelez-vous que j’étais tout jeune, et encore innocent à bien des égards, en dépit de ce que j’avais enduré.

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