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George Martin: La Bataille des rois

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George Martin La Bataille des rois
  • Название:
    La Bataille des rois
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2000
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-85704-620-0
  • Рейтинг книги:
    3 / 5
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La Bataille des rois: краткое содержание, описание и аннотация

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Au Royaume des Sept Couronnes, rien ne va plus. La mort du roi Robert a clos une longue période d’été, de paix et d’apparente prospérité : le Trésor est au bord de la banqueroute, et trop nombreux sont les candidats prétendument légitimes au Trône de Fer : Stannis et Renly Baratheon le disputent à leur neveu Joffrey, tandis que Robb Stark, proclamé roi du Nord, s’efforce de venger son père naguère condamné à mort et exécuté sous couleur de trahison. Au fin fond de l’Orient, l’unique descendante des anciens rois targaryens médite sa revanche en élevant ses trois dragons… L’hiver vient, qui grouille de forces obscures, de mages et de morts-vivants, d’intrigants sournois prêts à tous les maléfices en vue de fins impénétrables. Grâce à son pouvoir d’évocation sans égal, George R.R. Martin nous entraîne dans un fabuleux univers de complots, de vengeances et de combats, de poison et de magie. Ses personnages ont la force des plus grandes créations romanesques : une fois le livre refermé, quel lecteur pourra oublier Sansa, la princesse sentimentale qui se découvre le jouet d’intrigues machiavéliques, Arya, sa sœur casse-cou qui se déguise en garçon pour échapper à la mort, ou leur frère Bran, l’étrange infirme à demi loup-garou ? Audacieux, imaginé avec un luxe inouï de détails, nourri par une invention débridée, est un roman éblouissant. Il a la puissance des contes anciens qui hantent toutes les mémoires.

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« Robert vous a lésé, rétorqua posément mestre Cressen, mais pour des motifs judicieux. Peyredragon avait été longtemps le siège de la maison Targaryen. Il lui fallait là, comme gouverneur, un homme énergique, et Renly n’était qu’un gamin.

— Il est toujours un gamin, trancha Stannis avec une colère qui fit tonner la pièce vide, un gamin chapardeur qui n’aspire qu’à m’escamoter la couronne. De quels exploits peut-il se prévaloir pour briguer le trône ? Il siège au Conseil, blague avec Littlefinger et, dans les tournois, n’endosse sa superbe armure que pour s’offrir le luxe d’être démonté par meilleur que lui. Voilà sur quel bilan mon cher frère fonde ses prétentions à la royauté. Je te le demande, pourquoi les dieux m’ont-ils affligé de deux frères ?

— Je ne saurais répondre à la place des dieux.

— Tu me sembles fort à court de réponses, ces temps-ci. Qui sert donc de mestre à Renly ? je l’enverrais chercher, ses conseils me conviendraient mieux. Qu’a dit ce mestre, à ton avis, quand mon frère se mit en tête de me voler ma couronne ? Quel conseil ce collègue à toi donna-t-il à ce traître de mon sang à moi ?

— Je serais surpris que lord Renly demande conseil à quiconque, Sire. » Pour hardi que fut devenu le dernier des trois fils de lord Steffon, il agissait à l’étourdie, de manière plus impulsive que calculée. En quoi il ressemblait, comme à tant d’autres égards, à Robert et différait absolument de Stannis.

« Sire…, répéta ce dernier d’un ton aigre. C’est te ficher de moi que me régaler de ce style royal. Sur quoi régné-je ? Peyredragon et quelques écueils du détroit, voilà mon royaume. » Dévalant de son siège, il vint se camper devant la table où son ombre barra l’embouchure de la Néra et les forêts peintes qu’avait supplantées Port-Réal. Et il couvait du regard, là, debout, le royaume qu’il entendait revendiquer, ce royaume à portée de main qui se trouvait au diable. « Ce soir, je dois souper avec mes bannerets – ce qui m’en tient lieu. Celtigar, Velaryon, Bar Emmon, enfin toute cette pitoyable clique. Du petit bétail, pour ne rien celer, les rogatons, bref, qu’ont daigné me laisser mes frères. Sladhor Saan, le pirate de Lys, m’y harcèlera de sa dernière ardloise, tandis que Morosh de Myr m’assommera en me chapitrant sur les tempêtes et les marées d’automne, et que ce cagot de lord Solverre me marmottera la volonté des Sept. Celtigar voudra savoir quels seigneurs de l’orage se joignent à nous. Velaryon menacera de plier armes et bagages si nous ne frappons tout de suite. Que leur répondre ? Que faire, maintenant ?

— Vos véritables ennemis sont les Lannister, messire, opina Cressen. Si vous et votre frère faisiez cause commune contre eux…

— Je ne traiterai pas avec Renly, rétorqua Stannis d’un ton à interdire toute discussion. Aussi longtemps qu’il usurpera le titre de roi.

— Pas de Renly, alors », concéda le mestre. Il le savait aussi têtu qu’orgueilleux et, une fois résolu, incapable de la moindre concession. « D’autres seraient aussi à même de vous seconder. Depuis qu’on l’a proclamé roi du Nord, le fils d’Eddard Stark dispose des forces conjointes de Winterfell et de Vivesaigues.

— Un godelureau, lâcha Stannis, et un faux roi de plus. Me faut-il accepter l’éclatement du royaume ?

— Un demi-royaume vaut à coup sûr mieux qu’aucun, suggéra Cressen, et si vous aidez le garçon à venger le meurtre de son père…

— Pourquoi devrais-je venger Eddard Stark ? Il ne m’était rien. Oh, certes, Robert l’aimait. L’aimait comme un frère, combien de fois l’ai je entendue, cette rengaine ? Son frère était moi , pas Ned Stark, mais qui l’eût cru, vu la manière dont il me traitait ? Pendant que je tenais Accalmie pour lui et regardais mes braves crever de faim, Mace Tyrell et Paxter Redwyne se gobergeaient sous mon nez. M’en remercia-t-il ? Nenni. C’est Stark qu’il remercia pour avoir fait lever le siège, alors que nous grignotions, nous, des racines et des rats. Sur les ordres de Robert, j’armai une flotte et, en son nom, m’emparai de Peyredragon. Me prit-il la main en disant : Bravo, mon frère, que pourrais-je faire sans toi ? Nenni. Il me blâma de m’être laissé filouter Viserys et sa nouveau-née de sœur par Willem Darry – comme si l’avais pu l’en empêcher. J’ai siégé à son Conseil quinze ans durant, aidé Jon Arryn à gouverner le royaume pendant que Robert courait la pute et se soûlait, mon frère me nomma-t-il sa Main ? Nenni. Il partit au triple galop retrouver son bien-aimé Ned Stark et lui en décerna l’honneur. Dont leur advint à tous deux grand bien.

— Soit, messire, convint Cressen par diplomatie. On vous a repu de couleuvres, mais poussière que le passé. Une alliance avec les Stark peut vous assurer l’avenir. Vous pourriez du reste en sonder d’autres. Lady Arryn, par exemple. Si la reine a assassiné son mari, sûrement brûle-t-elle d’en obtenir réparation. Elle a un fils, l’héritier du Val. Des fiançailles avec Shôren…

— Il est débile, égrotant, objecta Stannis. En me priant de le prendre pour pupille à Peyredragon, son père lui-même en était conscient. Le service de page aurait pu améliorer son état, la maudite Lannister a tout flanqué par terre en faisant empoisonner lord Arryn et, maintenant, la Lysa nous embusque le môme aux Eyrié. Jamais, je t’en fiche mon billet, jamais elle ne se séparera de lui.

— Dans ce cas, que ne lui expédiez-vous Shôren ? insista le mestre. Peyredragon est lugubre pour un enfant. Que son fou l’accompagne, ce visage familier lui adoucira le dépaysement.

— Familier et hideux. » L’effort de réflexion lui laboura le front. « Toutefois… Cela vaut peut-être la peine d’essayer…

— Hé quoi ! s’indigna une voix acerbe, le maître légitime des Sept Couronnes devrait mendier l’appui de veuves et d’usurpateurs ? »

Mestre Cressen se retourna, s’inclina. « Madame », dit-il, fort marri de ne l’avoir pas entendue entrer.

Lord Stannis s’était renfrogné. « Je ne mendie pas. Auprès de personne. Veille à t’en souvenir, femme.

— Je suis charmée de l’apprendre, messire. » Aussi grande que son mari, maigre de corps comme de visage, lady Selyse avait d’immenses oreilles et, sous son nez pointu, le spectre d’une moustache. Elle avait beau le plumer tous les jours en le maudissant, le poil s’obstinait à lui orner la lèvre dès le lendemain. Elle avait des yeux délavés, la bouche sévère, une voix de fouet qu’elle fit claquer derechef : « Lady Arryn te doit allégeance, ainsi que les Stark et ton frère et tous les autres. Toi seul es leur authentique souverain. Il serait messéant de chicaner, marchander avec eux quant à ce qui te revient légitimement par la grâce du dieu. »

Du, disait-elle, et non des. La femme rouge l’avait conquise, cœur et âme, détournée des dieux, tant nouveaux qu’anciens, révérés dans les Sept Couronnes, et convertie au culte de celui qu’on appelait le Maître de la Lumière.

« Point ne me chaut la grâce de ton dieu, répliqua Stannis, qui ne partageait pas les ferveurs nouvelles de sa moitié. Ce n’est pas de punaiseries que j’ai besoin, mais d’épées. Aurais-tu, quelque part, une armée secrète, à mon propre insu ? » Le ton était tout sauf affectueux. Les femmes, y compris la sienne, avaient toujours mis Stannis mal à l’aise. Lorsque ses fonctions de conseiller l’avaient requis à Port-Réal, il s’était gardé d’emmener Selyse et Shôren. Là-dessus, peu de lettres et moins encore de visites ; il accomplissait ses devoirs conjugaux une ou deux fois l’an, sans joie, et les fils qu’il en espérait n’avaient jamais vu le jour.

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