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George Martin: L'Invincible forteresse

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George Martin L'Invincible forteresse
  • Название:
    L'Invincible forteresse
  • Автор:
  • Издательство:
    Pygmalion
  • Жанр:
  • Год:
    2000
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-85704-650-2
  • Рейтинг книги:
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L'Invincible forteresse: краткое содержание, описание и аннотация

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Bien que faits et signes ne cessent de confirmer la devise de Winterfell, « l’hiver vient », le royaume des Sept Couronnes affecte toujours d’ignorer la fin de l’été pour se consacrer plus commodément à ses querelles, vindictes, ambitions. Pendant que Rob Stark poursuit ses campagnes sanglantes dans l’ouest, que Port-Réal vit dans la hantise du siège imminent, que la guerre se répand jusqu’à Winterfell grâce aux menées des Greyjoy, eux-mêmes divisés, s’amoncellent au-delà du Mur des forces obscures et malfaisantes.      Mais contrairement aux apparences, Bran, le jeune fils du défunt maître de Winterfell, n’est pas mort, pas plus que n’est anéantie l’indomptable forteresse, prête à renaître de ses cendres…

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En grondant, il recula à pas comptés, s’avança droit dessus, fonça derechef. Elle s’émut un peu mais, d’une claque, le rejeta en arrière. Enfermé , chuchota quelque chose. Enchaîné. La voix, il ne l’entendit pas, la piste était inodore. Les autres issues n’étaient pas moins closes. Là où s’ouvraient des portes dans les murailles de roche humaine, on se heurtait à du bois, massif et inébranlable. Il n’y avait pas de sortie.

Si, reprit le chuchotement, lui donnant l’impression qu’il distinguait la silhouette sombre d’un grand arbre tapissé d’aiguilles et qui, de biais, dix fois plus grand qu’un homme, surgissait de la terre noire. Mais lorsqu’il regarda tout autour de lui, l’illusion cessa. L’autre côté du bois sacré, le vigier, vite, vite… !

Du fond trouble de la nuit surgit, coupé court, un cri étouffé.

Vite une volte, vite un bond sous le couvert, vite vite le bruissement des feuilles mouillées sous ses pattes et les branches fustigeant sa fuite éperdue. Le halètement de son frère le talonnait. Ils plongèrent sous l’arbre-cœur et, contournant à toutes jambes l’étang glacé, se précipitèrent, droit au travers des épineux puis d’un fouillis de chênes et de frênes et d’églantiers drus, vers les confins du bois sacré… où bel et bien s’inclinait, cime pointée vers le faîte des toits, la silhouette entrevue comme une chimère. Vigier lui traversa l’esprit.

Lui revint alors la sensation de l’escalade. Partout des aiguilles, le picotis des unes sur son visage, l’intrusion des autres le long de son cou, ses mains engluées de résine, l’entêtant parfum. Et jeu d’enfant que l’escalade, penché, tordu comme était cet arbre, et si touffu que ses branches vous faisaient quasiment l’échelle, et hop, jusqu’au toit.

Il fit en grognant, le flairant, tout le tour du tronc, leva la patte et le marqua d’un jet d’urine. Une branche basse lui balaya le mufle, il la happa, la tortilla, tira jusqu’à ce qu’elle craque et se brise enfin. La gueule bourrée d’aiguilles et saturée d’amertume, il secoua la tête en jappant.

Campé sur son derrière, son frère éleva la voix en un ululement noir de deuil. Impasse que cette issue. Ils n’étaient ni des écureuils ni des chiots d’homme, ils ne pouvaient grimper aux arbres en se trémoussant, n’avaient ni pattes roses et flasques ni vilains petons pour s’y cramponner. Ils étaient coureurs, chasseurs, prédateurs.

Du fin fond de la nuit, par-delà la pierre qui les retenait captifs, leur parvinrent des aboiements. Les chiens se réveillaient. Un puis deux puis trois puis tous, en un concert épouvantable. Ils la sentaient à leur tour, terrifiés, l’odeur ennemie.

Une fureur désespérée l’envahit, brûlante comme la faim. Au diable le mur, il fusa s’enfouir dans le profond du bois, l’ombre des branches et du feuillage mouchetant sa fourrure grise…, et une volte soudaine le rua sur ses propres traces. Ses pieds volaient, dans un tourbillon de feuilles gluantes et d’aiguilles sèches, et, quelques secondes, il fut un chasseur, un dix-cors fuyait devant lui, qu’il voyait, sentait, poursuivit de toutes ses forces. Le fumet de panique qui lui affolait le cœur embavait ses babines, et c’est à fond de train qu’il atteignit l’arbre de travers et se jeta dessus, ses griffes labourant l’écorce au petit bonheur pour y prendre appui. Un bond vers le haut, hop , deux, trois, le menèrent, presque d’un trait, parmi la ramure inférieure. Les branches empêtraient ses pattes, cinglaient ses yeux, les aiguilles vert-de-gris s’éparpillaient pendant qu’il s’y frayait passage à coups de dents. Force lui fut de ralentir. Quelque chose agrippait son pied, qu’il dégagea avec un grondement Sous lui, le tronc allait s’étrécissant, la pente se faisait de plus en plus raide, presque verticale, et poisseuse d’humidité. L’écorce se déchirait comme de la peau quand il tentait d’y arrimer ses griffes. Il en était au tiers de l’ascension, la moitié, trois quarts, presque à portée bientôt du toit… quand, posant son pied, il le sentit glisser sur la rondeur moite du bois, glisser, glisser, glissa brusquement, bascula dans un rugissement d’épouvante et de rage, et comme il tombait en tournant sur lui-même, tombait… ! le sol se ruait à sa rencontre pour le fracasser…

Alors, il se retrouva dans son lit, sa chambre de la tour et sa solitude, tout entortillé dans ses couvertures et au bord de la suffocation. « Eté ! s’écria-t-il. Eté ! » Comme si elle avait encaissé tout l’impact de la chute, son épaule le lancinait mais, il le savait, cette douleur n’était que l’ombre de celle qu’éprouvait le loup. Jojen disait vrai. Un zoman je suis. Du dehors filtraient de vagues aboiements. La mer est venue. Et elle est en train, juste comme l’avait prévu Jojen, de submerger l’enceinte. Il empoigna la barre au-dessus de sa tête et se redressa tout en réclamant de l’aide à grands cris. Personne ne vint, et personne, se rappela-t-il au bout d’un moment, ne viendrait. On lui avait retiré son planton. Ser Rodrik s’étant vu contraint à mobiliser tous les hommes en âge de se battre, le château ne possédait plus qu’une garnison symbolique.

Les autres, six cents hommes de Winterfell et des fortins avoisinants, étaient partis depuis huit jours. En route les rallieraient les trois cents supplémentaires de Cley Cerwyn, et les corbeaux de mestre Luwin avaient devancé tout ce monde pour réclamer des troupes à Blancport, aux Tertres et jusqu’aux dernières bourgades disséminées dans le dédale du Bois-aux-Loups. Quart Torrhen était attaqué par un monstrueux chef de guerre, un certain Dagmer Gueule-en-deux, que Vieille Nan prétendait impossible à tuer. Un coup de hache lui avait-il pas, jadis, fendu la tête sans qu’il s’en émût pour autant ? Il s’était contenté de rassembler ses moitiés de crâne et de les maintenir collées jusqu’à la cicatrisation. Se pourrait-il qu’il ait gagné ? Des jours et des jours de marche séparaient bien Quart Torrhen de Winterfell mais, tout de même…

Bran s’extirpa du lit par ses propres moyens et, d’une barre à l’autre, se traîna jusqu’à la fenêtre. Ses doigts bafouillèrent un peu pour ouvrir les volets. La cour était vide, et noire chacune des baies visibles. Winterfell dormait. « Hodor ! » appela-t-il à pleins poumons. Tout endormi que devait être Hodor dans ses combles des écuries, peut-être finirait-il par entendre, lui ou quelqu’un d’autre, si les appels étaient assez forts ? « Hodor, vite ! Osha ! Meera, Jojen, vite, n’importe qui ! » Il plaça ses mains en porte-voix. « HOOOOODOOOOOR ! »

Or, lorsque la porte s’ouvrit bruyamment dans son dos, l’individu qui pénétra, Bran ne le connaissait pas. Il portait un justaucorps de cuir écaillé de disques de fer, un poignard à la main et une hache en bandoulière. « Que faites-vous ici ? s’alarma Bran, vous êtes dans ma chambre ! dehors ! »

Theon Greyjoy apparut à son tour. « Nous ne venons pas te faire de mal, Bran.

— Theon ?» Le soulagement lui donnait le vertige. « C’est Robb qui t’envoie ? Il est là, lui aussi ?

— Robb est au diable vauvert. Il ne saurait t’aider.

— M’aider ? » Sa cervelle s’embrouillait. « Tu veux me faire peur, Theon.

— Prince Theon, désormais. Nous sommes tous deux princes, Bran. Qui l’eût dit ? Ç’a l’air d’un rêve, n’est-ce pas ? Je ne m’en suis pas moins emparé de votre château, mon prince.

— De Winterfell ? » Il secoua farouchement la tête. « Non non, tu n’as pas pu !

— Laisse-nous, Werlag. » L’homme au poignard se retira. Theon se posa sur le lit. « J’ai fait franchir le rempart à quatre de mes gens équipés de cordes et de grappins, et ils n’ont plus eu qu’à nous ouvrir une poterne. A l’heure qu’il est, le compte des vôtres doit être à peu près réglé. Je vous assure, Winterfell est mien. »

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