Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone
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- Название:Dans l'oeil du cyclone
- Автор:
- Издательство:Brangelonne
- Жанр:
- Год:2007
- Город:Paris
- ISBN:978-2-35294-037-1
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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Je vacillai, épuisé, et manquai de perdre connaissance.
— Qu’est-ce que tu fais ? piailla Victor. Qu’est-ce qui te prend ? répéta-t-il horrifié par le comportement de la créature. Tue-le ! Je suis ton maître ! Tue-le !
Le démon coassa de haine et hésita entre nous deux, comme s’il choisissait qui il dévorerait en premier. Ses yeux se rivèrent sur Sells qui pâlit et recula vers la porte-fenêtre.
— Sûrement pas, murmurai-je en libérant le dernier sort dont j’étais capable.
Avec un dernier effort de volonté, le vent me souleva et me projeta contre Victor comme un missile, l’éloignant de la porte et nous faisant dépasser le démon qui avait sauté au même moment.
Nous ricochâmes contre le mur avant de nous arrêter contre la balustrade. Au-dessous, le salon n’était plus qu’un brasier, l’air devenant presque trop chaud pour être respiré. Un éclair de souffrance plus violent que tout ce que j’avais connu fusa de ma hanche et j’eus du mal à reprendre mes esprits. Les effluves de l’incendie me brûlaient les poumons.
J’ouvris les yeux. Le feu était partout. Le démon se tenait entre nous et la seule issue possible. En bas, tout n’était que chaos, flammes et fumée. Une fumée étrange, sombre, qui aurait dû s’élever, mais préférait rester collée au sol, comme le brouillard de Londres. La douleur était si vive que je ne pouvais plus bouger. Je n’arrivai même plus à respirer suffisamment pour gémir.
— Sois maudit ! hurla Victor en me décollant du sol avec une force de dément. Sois maudit ! Que s’est-il passé ? Qu’as-tu fait ?
— La Quatrième Loi de la Magie interdit qu’on lie un esprit contre sa volonté, parvins-je à souffler malgré mon supplice. Alors, je suis intervenu pour annuler ton contrôle, sans en établir un autre.
— Tu veux dire…, commença Sells les yeux exorbités.
— Il est libre, confirmai-je en regardant la créature. Et il a l’air d’avoir faim.
— On fait quoi ? demanda Victor d’une voix tremblante. Qu’est-ce qu’on fait ?
— On meurt… Je n’avais rien d’autre de prévu ce soir, alors autant t’inviter.
Sells jeta un coup d’œil au démon puis se tourna vers moi.
— Bosse avec moi ! Tu l’as vaincu une fois, donc tu peux le refaire ! On le battra ensemble !
Je sondai mon adversaire. Je n’avais pas le droit de le tuer avec la magie. De toute manière, je n’en avais aucune envie et ça m’aurait valu une condamnation à mort. Mais je pouvais aussi ne rien faire.
Bon choix ! Je fermai les yeux en me contentant de sourire.
— Va te faire mettre, Dresden ! Il ne peut pas nous manger en même temps ! Autant lui fournir son repas !
Sur ces mots, Victor me souleva et tenta de me lancer sur le monstre.
Je luttai faiblement. La fumée envahissait la maison et le démon approchait. Victor était plus petit que moi, mais plus costaud. Meilleur que moi à la lutte, il ne s’était pas pris une balle dans la hanche.
Il parvint à me soulever et faillit me projeter, mais je fus plus rapide et réussis à m’accrocher à son cou en le giflant avec les menottes de Murphy. Il tenta de desserrer ma prise, mais je tins bon et nous percutâmes la rambarde avant de passer par-dessus.
Le désespoir décuple les capacités d’un homme, je parvins à agripper la base de la balustrade, échappant ainsi à l’enfer qui consumait le salon. En inspectant la pièce, je vis la queue d’un scorpion émerger comme un mât de la mer de fumée noirâtre épaisse de plus de un mètre. En bas, un concert de claquements rageurs résonnait. Je vis deux scorpions déchiqueter un canapé en un clin d’œil ! Ils trônaient sur leur victime, les pinces relevées comme des drapeaux sur une voiture de golf. Par la barbe de Merlin !
Victor s’était accroché un peu plus haut sur ma gauche. Le visage déformé par la haine, il regardait le démon s’approcher. Je le vis reprendre son souffle, avant de se caler d’un pied pour libérer une main et la tendre vers la créature – un geste de protection ou une attaque magique…
Impossible de laisser Sells s’en sortir. Il était indemne et, s’il terrassait le démon, il pourrait s’enfuir. Je devais lui dire quelque chose qui le mettrait assez en colère pour qu’il tente de m’arracher la tête.
— Hé, Vic ! C’est ta femme qui m’a engagé !
On aurait pu croire que je l’avais frappé. Il tourna la tête vers moi. Son visage devenu un masque de fureur, il se lança dans une incantation destinée à me réduire en morceaux, mais dut s’interrompre quand la créature se jeta sur lui et referma ses mâchoires sur sa gorge et sa clavicule. Ses os se brisant comme des gâteaux secs, Victor couina, tremblant de tous ses membres, il tenta de fuir la créature en se précipitant vers le bas, et le démon vacilla.
Les dents serrées, j’essayai de tenir. Un scorpion sauta et j’eus à peine le temps de relever les jambes.
— Fumier ! gargouilla Sells, piégé dans la gueule du monstre.
Son sang coulait à flots. Une artère était déchirée, et le démon se contentait de secouer sa proie au-dessus du vide pendant qu’elle gesticulait en vain. Sells me décocha des coups de pied dans la main. Il me toucha deux fois, et je commençai à lâcher prise. Risquant un regard vers le bas, je vis qu’un scorpion se préparait à sauter de nouveau.
J’aurais dû t’écouter, Murphy.
Si les scorpions ne me tuaient pas, le monstre s’en chargerait. Et si le démon ne me tuait pas, l’incendie réussirait.
J’allais mourir.
Cette pensée me rasséréna. Il était réconfortant de savoir que tout serait bientôt terminé. J’allais mourir, c’était aussi simple que ça. J’avais lutté autant que possible, fait tout ce que je pouvais et maintenant c’était fini. Dans ces dernières secondes, je regrettais quand même de ne pas avoir eu le temps de m’excuser auprès de Karrin, de Jenny Sells – pour avoir tué son père – et de Linda Randall, pour avoir compris les choses trop tard, provoquant ainsi sa mort. Le bracelet des menottes de Murphy était froid malgré la chaleur de l’incendie qui s’approchait, tandis que des monstres, des dénions et des mages noirs fondaient sur moi.
Je baissai les paupières.
Les menottes de Murphy.
Mes yeux s’ouvrirent.
Les menottes !
Victor me flanqua un nouveau coup de pied. Je balançai mes jambes et accompagnai le mouvement avec les épaules pour me donner un peu d’élan. Puis, je saisis sa jambe de la main gauche et, de la main droite, envoyai le bracelet vide contre l’un des barreaux de la rambarde. L’anneau de métal entoura la tige de fer et se referma avec un claquement sec.
Je me laissai tomber en m’agrippant à l’Homme de l’Ombre, qui poussa un cri horriblement aigu avant de tomber. Kalshazzak ne put supporter cette surcharge et bascula à son tour dans le vide.
Ils s’écrasèrent dans le salon enfumé…
Au milieu d’une forêt de dards fusant et de carapaces étincelantes.
Victor poussa des hurlements déchirants qui ressemblaient plus à ceux d’un cochon qu’on égorge qu’à ceux d’un homme.
Je pendais lamentablement à quelques mètres au-dessus de la mêlée. Les menottes me gardaient douloureusement accroché à la balustrade. Ma vision se brouillait mais je parvins à voir les aiguillons frapper sans relâche. Je distinguais les yeux phosphorescents du démon, jusqu’à ce que l’un d’eux soit déchiré par un dard de la taille d’un pic à glace.
J’assistais aussi au martyre de Victor, transpercé de toutes parts, ses blessures dégoulinant de venin. Le Crapaud de l’Enfer ne luttait plus contre les pinces et les aiguillons, sa sale gueule tordue par la rage et la peur dans les derniers instants de son agonie.
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