Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone
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- Название:Dans l'oeil du cyclone
- Автор:
- Издательство:Brangelonne
- Жанр:
- Год:2007
- Город:Paris
- ISBN:978-2-35294-037-1
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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En moins d’une seconde, sa stupeur se transforma en rage. Il brandit la cuillère de la main droite et hurla son sortilège. Puis il ramassa le lapin, ma représentation cérémonielle, pour lui arracher le cœur – et donc le mien par la même occasion.
Je ne lui laissai pas le temps de finir ; m’emparant du tube de plastique vide dans ma poche, je l’envoyai sur l’Homme de l’Ombre.
Ce n’était pas une arme fantastique. Mais c’était un objet réel lancé par une personne normale. Idéal pour briser un cercle magique.
L’étui percuta Victor et ruina l’intégrité de l’anneau au moment où il achevait l’incantation en plongeant sa cuillère dans le corps du pauvre mammifère. La fureur des éléments descendit le long du conduit incantatoire créé par le cercle maintenant imparfait de Sells.
L’énergie se déversa dans la pièce. Libre de toute contrainte et de tout contrôle, elle se répandit telle une tornade de sons et de teintes bruts. Elle faucha tous les objets – puis Victor et moi – et rompit le second cercle, envoyant les Beckitt valdinguer contre un mur.
Je m’accrochai à la rambarde pendant que le pouvoir ravageait la pièce, l’air se chargeant d’une magie pure, dangereuse comme de l’eau sous pression se précipitant vers une issue.
— Enfoiré ! hurla Victor. Tu vas te décider à mourir, oui ?
Il cria quelque chose d’autre en me désignant du doigt. Instantanément, une gerbe de flammes fondit sur moi.
Puisant dans l’énorme réserve d’énergie disponible, je formai un grand mur devant moi, les yeux fermés sous l’effort. Me concentrer sans mon bracelet était terriblement dur. Le feu ricocha contre mon rempart et monta jusqu’au dôme d’air solidifié modelé par Sells pour contenir son rituel. J’ouvris les yeux au moment où les flammes s’attaquaient aux poutres du toit.
L’air vibrait toujours après le passage du feu. Constatant ma résistance, Victor grogna en agitant la main. Il « appelait ». Une baguette tordue ressemblant beaucoup à un os vola vers lui. Il la braqua sur moi comme s’il s’agissait d’un pistolet.
Le problème, avec les sorciers, c’est qu’ils deviennent obsédés par une seule chose : la magie. Victor ne devait pas s’attendre que je me relève et que je me précipite pour le balancer contre le mur d’un coup d’épaule. Je poursuivis avec un coup de genou dans le ventre, mais ratai ma cible et frappai directement entre les jambes. Victor devint tout pâle et se plia en deux sur le sol. Cela faisait déjà quelques secondes que je lui hurlais des choses incohérentes. J’entrepris de lui flanquer des coups de pied dans la tête.
Il y eut un bruit métallique. Je me retournai à temps pour voir M. Beckitt, à poil, me braquer avec un automatique, et pour me jeter sur le côté au moment où une explosion retentissait. Quelque chose de chaud me déséquilibra en me percutant la hanche et je continuai à rouler dans la cuisine. J’entendis Beckitt jurer sur un fond de cliquetis rageurs. Le flingue s’était enrayé. Tu parles ! Avec autant de magie dans le coin, on avait de la chance qu’il n’ait pas explosé !
Pendant ce temps, Victor secoua son bâton, et une demi-douzaine de scorpions desséchés en tombèrent. Son sourire plus-blanc-que-blanc illumina son visage bronzé de skipper, et – les yeux luisant de plaisir et de haine – il lâcha :
— Scorpis ! Scorpis ! Scorpis !
Je dus ramper un peu plus dans la cuisine. Une de mes jambes était désormais sourde à mes ordres. Dans la salle à manger, les scorpions s’animèrent, puis ils se mirent à grossir. L’un d’eux, rapidement suivi par les autres, pénétra dans la pièce pour se précipiter sur moi. Il grandissait toujours.
Sells jubilait. Mme Beckitt rejoignit son mari, nue elle aussi. Tous les deux étaient armés, le visage déformé par la rage, leurs yeux exprimant une inextinguible soif de sang.
Je m’adossai contre un placard et un balai rebondit sur ma tête pour atterrir à côté de moi. Je m’en saisis. Mon cœur battait à tout rompre.
Une baraque pleine de drogue, un sorcier maléfique dans son antre, deux tarés avec des flingues, une tempête de magie cherchant la moindre occasion pour tout faire sauter et une demi-douzaine de scorpions du même tonneau que celui qui avait failli me tuer dans mon bureau. Ils allaient bientôt atteindre des tailles dignes d’un film japonais. Il restait moins d’une minute à jouer et plus de remplaçants sur le banc de touche.
Globalement, c’était plutôt une mauvaise soirée pour l’équipe locale.
Chapitre 26
J’étais fait comme un rat. Impossible de sortir de la cuisine, pas le temps de libérer un sort explosif en combat rapproché, et ces foutus scorpions me réduiraient en bouillie bien avant Victor et son arsenal magique – ou avant qu’un des Beckitt me colle un peu plus de plomb dans la carcasse. Ma hanche me faisait un mal de chien, mais c’était préférable à l’état de choc consécutif aux blessures plus graves. Enfin, pour l’instant, c’était le cadet de mes soucis. Je m’agrippai au balai, la seule arme qui me restait, et je n’avais même pas la place de l’utiliser.
Une idée me frappa : un plan tellement enfantin que j’esquissai un sourire. Arrachant un brin du balai, j’entonnai un chant en agitant le morceau de paille. Une fois de plus, je me servis de l’énorme potentiel magique des lieux pour façonner un sort.
— Pulitas ! criai-je en arrivant au point culminant de la mélopée. Pulitas ! Pulitas !
Le balai sursauta, vibra puis se redressa entre mes mains. Immédiatement, il décolla, menaçant les monstres de la pointe de sa brosse. Je n’aurais jamais cru utiliser ce sort de nettoyage, appris à contrecœur durant mes études, pour repousser une armée de scorpions magiques. Enfin, faute de grives…
Le balai fondit sur les créatures et les poussa hors de la cuisine avec une terrifiante efficacité. Chaque fois qu’une des créatures essayait de le contourner, il se rabattait sur elle pour la propulser sur le dos avant de continuer sa tâche.
En plus, je suis sûr qu’il s’occupait aussi de la poussière. Quand je lance un sort, je le fais bien.
Victor étouffait de rage en voyant que ses soldats caparaçonnés étaient encore trop petits pour éviter le plongeon dans le salon. Je m’abritai derrière un buffet tandis que les Beckitt ouvraient le feu sur le balai. Leurs balles s’écrasèrent contre le mur et le placard du fond, mais aucune ne transperça mon abri de fortune. Ils avaient dû opter pour des revolvers, car il n’y eut aucun incident de tir.
Je profitai de ce répit pour comprimer ma blessure. Quelle souffrance, mes aïeux ! Le projectile ne devait pas être très loin de l’os. Je ne sentais plus ma jambe. La plaie saignait beaucoup, mais j’étais encore loin de l’hémorragie. Le feu s’était propagé dans le plafond et le toit n’allait pas tarder à nous tomber dessus.
— Cessez le feu ! Cessez le feu, bon sang ! hurla Victor.
Les détonations s’arrêtèrent.
Je risquai un coup d’œil par-dessus le buffet.
Mon balai avait repoussé tous les scorpions dans la pièce du bas. Furieux, Victor s’empara du manche et le cassa sur la rambarde. Dans ma main, le brin de paille se brisa avec un bruit sec, et je sentis l’énergie du sort s’évanouir.
— Joli tour, Dresden, grommela l’Homme de l’Ombre. Mais pathétique. Vous n’avez aucune chance de vous en sortir. Abandonnez et je vous laisserai partir.
Les Beckitt rechargèrent leurs armes. Prudent, je préférai baisser la tête avant qu’ils ne décident de faire un carton. Pourvu qu’ils n’utilisent pas des balles blindées ! Sinon, aucun meuble au monde ne pourrait m’éviter la mort.
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