Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone
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- Название:Dans l'oeil du cyclone
- Автор:
- Издательство:Brangelonne
- Жанр:
- Год:2007
- Город:Paris
- ISBN:978-2-35294-037-1
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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Je pénétrai dans l’appartement sans même me rendre compte que j’avais lancé un sort pour débloquer la porte et détacher la bande du bas.
— Une connerie de plus, Harry, soufflai-je.
Je n’étais pas d’humeur à m’écouter…
Je musardai dans l’appartement de Linda à l’atmosphère chargée d’un subtil mélange de parfum et de sang. Les arabesques cramoisies n’avaient pas encore été nettoyées. Le propriétaire du studio s’en occuperait plus tard.
On ne voit jamais ce genre de détails dans les films.
Je finis par me coucher sur la moquette, dos au lit, la tête tournée vers la porte vitrée donnant sur la petite terrasse. Je n’avais plus envie de bouger. Plus envie d’aller nulle part, ni de faire quoi que ce soit. Inefficace. J’avais été inefficace. Et dans deux jours, je serais mort.
Le pire, c’est que je n’en avais plus rien à foutre. J’étais à bout, exténué par cette débauche de magie, la marche, les coups, les blessures, le manque de sommeil. J’étais dans le noir. Tout était noir.
J’ai dû m’endormir. Dieu sait que j’en avais besoin, avec tout ce qui m’était arrivé.
Ce fut un rayon de soleil agressif qui me réveilla. La confusion régnait dans ma cervelle.
Je clignai des yeux et levai la main pour me protéger de la lumière. Le matin, je ne suis jamais au sommet de ma forme. Le soleil était déjà haut, dominant les immeubles, de l’autre côté de la rue. Ses rayons espiègles transperçaient les rideaux et s’infiltraient par mes paupières jusque dans mon cerveau. Je grognai, avant de me retourner vers l’agréable obscurité du lit, le dos offert à la chaleur du soleil.
Mais le sommeil me fuit. Un sentiment de dégoût me submergea.
— Mais qu’est-ce que tu fous, Harry ? m’écriai-je.
— J’attends la mort, bougonnai-je.
— C’est ça, oui, répondit ma conscience. Lève-toi donc, et remue-toi un peu !
— Je ne veux pas. Suis fatigué… Casse-toi !
— Si tu es assez en forme pour parler tout seul, tu es assez bien pour sauver ton petit cul ! Ouvre les yeux !
Je me roulai en boule en signe de protestation, mais finis par obtempérer contre ma volonté. La lumière éclairait le studio d’une manière presque joyeuse, lui conférant une aura dorée. Il était vide, mais des souvenirs agréables le réchauffaient. Sous le lit, je distinguai un livre de classe. Quelques photographies faisaient office de marque-page. Je remarquai aussi une photo de Linda Randall. Elle était radieuse. Aucune trace de la lassitude blasée que je lui avais connue. Manifestement, c’était le jour de la remise des diplômes et elle posait en compagnie d’un couple charmant frisant la soixantaine. Ses parents, supposai-je. Elle semblait heureuse.
Et là, illuminé par un rayon de soleil qui s’estompait déjà, gisait un petit cylindre en plastique rouge avec un bouchon gris.
La providence !
Je le ramassai en tremblant et le secouai. Il y avait un rouleau à l’intérieur. J’ouvris le tube pour examiner le film. L’amorce était rentrée dans le rouleau. La pellicule était pleine, mais les photos n’avaient pas encore été développées. Je refermai le cylindre avant de le comparer avec celui que j’avais trouvé près de la maison des Sells. Ils étaient identiques.
Mon esprit se ranima. Un nouveau champ de possibilités s’offrait à moi. J’avais là une chance de m’en sortir, de retrouver le meurtrier et de reprendre le contrôle de ce chaos.
Pourtant, rien n’était vraiment clair. Je n’étais pas sûr de ce qui se tramait, mais je tenais un lien entre la disparition de Victor Sells et cette affaire de meurtres. J’avais une nouvelle piste, et très peu de temps pour la suivre. Il fallait que je me reprenne et que je fasse vite. On n’abat pas un magicien comme ça !
Je me redressai, puis récupérai mon bâton et ma crosse. Il fallait partir, je n’avais aucun besoin de me faire pincer en flagrant délit d’effraction. C’était la voie express pour la prison et je serais mort avant de bénéficier d’une libération sous caution. J’échafaudais déjà mon plan de bataille : comment remonter jusqu’au photographe qui avait opéré chez les Sells, faire développer la pellicule pour découvrir ce qu’elle recelait d’assez important pour qu’on tue Linda Randall.
À cet instant, j’entendis un bruit. Je m’immobilisai. Il se reproduit, c’était un grattement furtif.
Quelqu’un introduisit une clé dans la serrure de la porte d’entrée et l’ouvrit.
Chapitre 19
Pas le temps de me cacher sous le lit ou dans la salle de bains… De toute manière, je préférais être libre de mes mouvements. Je sautai derrière la porte pendant qu’elle s’ouvrait, droit comme un i.
Un petit homme maigre et nerveux entra. Les cheveux châtains coiffés en queue-de-cheval, il était vêtu de couleurs sombres et portait un sac en bandoulière. Il repoussa la porte derrière lui avant d’examiner la pièce avec anxiété. Comme tous ceux qui sont trop agités pour avoir les idées claires, il percevait moins de choses qu’il aurait dû et ne me remarqua pas à la périphérie de son champ de vision. Il avait un je-ne-sais-quoi de Tom Cruise.
Il traversa la pièce, s’immobilisa et remarqua les draps tachés de sang. Il serra les poings en étouffant un sanglot, puis s’accroupit pour fouiller sous le lit. Au bout de quelques secondes, il céda à l’énervement et lâcha une bordée de jurons.
Je caressai le cylindre en plastique rangé dans ma poche. Ainsi, le mystérieux photographe qui avait fait des siennes chez Victor Sells venait chercher un film ici. J’éprouvais cette sensation particulière, comme quand je finis un puzzle très complexe, un mélangé de satisfaction et de vanité.
En silence, je posai mon bâton et ma crosse, puis accrochai sur ma poche ma carte officielle de consultant de la police avec photo et tout. Je refermai mon manteau sur mon tee-shirt pourri en espérant que l’homme serait trop affolé pour remarquer le jogging enfoncé dans mes bottes de cow-boy.
Les mains dans les poches, je refermai la porte d’un coup de pied. Quand elle claqua, je déclarai :
— Alors, comme ça, on revient sur les lieux du crime ? Je savais qu’on vous coincerait si je restais en planque.
Dans d’autres circonstances, j’aurais été mort de rire en voyant la réaction du type. Il sursauta, se cogna la tête contre le sommier, couina, se releva pour me faire face et manqua de tomber sur le lit en me voyant. Je révisai mon opinion sur son apparence ! Il avait la bouche trop étroite, ses yeux étaient trop petits et rapprochés, bref, il ressemblait plutôt à un furet.
J’avançai, lentement, pas à pas.
— Vous n’avez pas pu vous en empêcher, hein ?
— Pas du tout ! Mon Dieu ! Laissez-moi vous expliquer, je suis photographe ! Vous voyez ? (Il ouvrit son sac pour en sortir un appareil photo.) Je fais des clichés pour des magazines. Je suis là pour ça, j’essaie de voir ce que je peux en tirer !
— Ne vous fatiguez pas. Nous savons tous les deux que vous n’êtes pas là pour prendre des photos. Voilà ce que vous cherchiez.
Je lui montrai le petit étui rouge à capuchon gris.
Il s’arrêta net, comme hypnotisé, ses yeux passant du cylindre à moi.
— Qui êtes-vous ? demandai-je d’une voix bourrue.
J’essayai de m’imaginer à la place de Murph train de m’interroger au commissariat.
— Wise, Donny Wise, répondit l’homme, apeuré. Je vais avoir des ennuis ?
— Ça dépend de vous… Vous avez vos papiers ?
— Bien sûr, oui !
— Faites voir, lâchai-je en le fusillant du regard. Pas de gestes brusques !
Sans me quitter des yeux, il sortit son portefeuille avec une lenteur exagérée et me le tendit. Je m’avançai pour m’en saisir et l’examiner. Le nom et la photo correspondaient au permis de conduire. Pas de problème.
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