AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité

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Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité: краткое содержание, описание и аннотация

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Harry regarda les lumières vacillantes de l'Éternité et se demanda ce que les enfants des enfants de ses enfants penseraient de ce que Dumbledore avait peut-être-fait à Narcissa.

Mais même en essayant de poser la question sous cet angle, de demander ce que les descendants de l'humanité penseraient, on était limité à son propre savoir, pas au leur. La réponse venait toujours de soi, et l'on pouvait toujours se tromper. Si on ne connaissait pas soi-même la centième décimale de pi, alors on ne savait pas comment les enfants de ses enfants de ses enfants la calculeraient, aussi trivial que soit ce fait.

Lentement – il était resté allongé là à regarder les étoiles plus longtemps qu'il ne l'avait prévu – Harry redressa son buste. Puis il poussa sur ses pieds sous les protestations de ses muscles et marcha jusqu'au bord de la plate-forme de pierre située au faîte de la tour de Serdaigle. Les créneaux de pierre qui entouraient le bord n'étaient pas hauts, pas assez hauts pour offrir une sécurité. Ils étaient clairement des marqueurs plutôt que des rambardes. Harry ne s'approcha pas trop près du bord ; il était vain de prendre des risques. En baissant les yeux vers le domaine de Poudlard, il sentit l'étourdissement prévisible, l'affliction chancelante appelée vertige. Il semblait que son cerveau était alarmé parce que le sol plus bas était très distant . Il était peut-être à cinquante mètres de distance.

Il semblait que la leçon à en tirer était que les choses devait être incroyablement proches avant que le cerveau puisse les comprendre suffisamment bien pour produire de la peur.

Rare était le cerveau capable d'éprouver une sensation forte au sujet de quoi que ce soit qui ne fut pas proche dans l'espace, proche dans le temps, proche de soi, à portée de main...

Auparavant, Harry s'était imaginé que se rendre à Azkaban nécessiterait des plans, la coopération d'une confédération d'adultes. Des Portoloins, des balais volants, un sortilège d'invisibilité. Quelque moyen d'atteindre les niveaux inférieurs sans que les Aurors ne le remarquent afin de pouvoir creuser son chemin jusqu'à la fosse centrale où les ombres de la Mort attendaient.

Et cela avait suffit à éloigner l'idée dans le futur, séparée d'un maintenant à l'abri.

Ce n'était pas avant aujourd'hui qu'il s'était rendu compte que ce pourrait être aussi simple que de trouver Fumseck et que de dire au phénix qu'il était temps.

Ses souvenirs remontaient à nouveau, des souvenirs qu'il ne pouvait jamais oublier très longtemps. Même si les pierres sous ses pieds n'étaient pas lisse comme du métal, même si le ciel éclairé par la Lune s'étendait au-dessus de lui, il lui était pourtant très simple de s'imaginer pris au piège dans un long couloir de métal éclairé d'une orange lueur.

La nuit était calme, assez calme pour que les souvenirs deviennent clairement audibles.

" Non, je ne voulais pas, ne meurs pas s'il te plaît ! "

" Non, je ne voulais pas, ne meurs pas s'il te plaît ! "

" Ne l'emmène pas, non non non - "

Les mots se brouillèrent et Harry s'essuya les yeux du revers de sa manche.

Si cela avait été Hermione derrière porte -

Si Hermione avait été placée à Azkaban, Harry aurait appelé le phénix, s'y serait rendu, et aurait brûlé jusqu'au dernier des Détraqueurs, peu importe à quel point cela aurait été fou, peu importe ce qu'il aurait voulu accomplir d'autre dans sa vie. C'était juste... c'était... c'était juste ainsi.

Et la femme qui était derrière la porte – n'y avait-il pas quelqu'un, quelque part, pour qui elle aussi était précieuse ? N'était-ce que la distance entre Harry et elle qui empêchait son cerveau de ressentir le besoin d'aller à Azkaban et de la sauver peu importe les conséquences ? Qu'aurait-il fallu, pour qu'il s'y sente contraint ? Aurait-il fallu qu'il connaisse son visage ? Son nom ? Sa couleur préférée ? Aurait-il ressenti le besoin d'aller à Azkaban sauver Tracey Davis ? Aurait-il été contraint de s'y rendre pour sauver le professeur McGonagall ? Maman et Papa... la question ne se posait même pas. Et cette femme avait dit être une mère. Combien de personnes avaient souhaité avoir le pouvoir de briser Azkaban ? Combien de prisonniers d'Azkaban rêvaient chaque nuit d'un sauvetage miraculeux ?

Aucun. C'est une pensée heureuse.

Peut-être devait-il raser Azkaban. Tout ce qu'il avait à faire c'était de trouver Fumseck et de lui dire que le temps était venu. Visualiser le centre de la fosse des Détraqueurs comme il l'avait vue de son balais volant et laisser le phénix l'y emmener. Lancer le Véritable Patronus à bout portant et au diable ce qui se passerait ensuite.

Il n'avait qu'à aller trouver Fumseck.

C'était peut-être aussi simple que de penser à la flamme, que de faire appel à l'oiseau de feu en son cœur...

Une étoile brilla dans la nuit.

Le temps que les yeux de Harry se réorientent vers ce point, mûs par un réflexe entraîné par des pluies de météores, une autre partie de lui se voyait surprise que le phénomène astronomique soit encore présent ; un faible étoile dont la la lueur croissait lentement. Il y eut un autre moment surpris pendant lequel Harry se demanda ce qu'il voyait, pas un météore, mais une nova ou une supernova – pouvait-on les voir briller comme ça ? La première étape d'une nova était-elle censée avoir cette couleur jaune-orange ?

Puis la nouvelle étoile bougea de nouveau, elle sembla grandir et s'intensifier. Elle semblait soudain plus proche au lieu d'être si lointaine que la distance en devenait sans importance. Comme lorsque ce que vous croyiez être une étoile se révélait être un avion, une forme éclairée dont on pouvait réellement voir la forme...

...non, pas un avion...

La compréhension sembla se répandre depuis la poitrine de Harry par vagues de picotements et de sueur prête à émerger.

...un oiseau.

Un cri perçant fendit la nuit et fit écho sur les toits de Poudlard.

La créature approchante formait une traînée de feu à la suite de son vol, elle versait de ses plumes des flammes dorées aux mouvements d'étincelles à chaque battement de ses puissantes ailes. Et alors qu'elle décrivait une large courbe pour venir flotter à quelques pas de Harry, alors même que les flammes entourant son passage diminuaient, la créature ne sembla pas plus obscure, pas moins brillante, comme si quelque invisible Soleil l'illuminait de ses rayons.

De grandes ailes étincelantes comme un crépuscule, des yeux tels de perles incandescentes, éclatantes d'un feu d'or et de détermination.

Le bec du phénix s'ouvrit et laissa jaillir un grand croassement que Harry comprit comme s'il s'était agit d'un mot :

VIENS !

Sans même s'en rendre compte, le garçon s'éloigna en chancelant du rebord, les yeux toujours braqués sur le phénix, tout son corps tremblant et tendu, ses poings serrés puis relâchés, il reculait, il s'éloignait.

Le phénix croassa à nouveau, un son désespéré, plaintif. Il ne fut pas compris comme un mot, cette fois, mais comme une émotion, un écho de tout ce que Harry avait ressentit au sujet d'Azkaban, de chaque tentation d' agir , de juste faire quelque chose, du besoin de désespéré de faire quelque chose maintenant , de ne plus repousser, tout cela dans le cri d'un oiseau.

Allons-y. Il est temps. La voix qui parlait venait de l'intérieur de Harry, pas du phénix ; de si profond en lui qu'il ne pouvait lui donner un nom comme 'Gryffondor'.

Tout ce qu'il avait à faire était d'avancer, de toucher les serres du phénix, il serait alors là où il devait être, là où il ne cessait de songer devoir être, au fond de la fosse centrale d'Azkaban. Harry pouvait voir l'image dans son esprit, brillante d'un insoutenable clarté, l'image de lui-même souriant d'un soulagement soudain alors qu'il rejetait toutes ses peurs et choisissait -

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