AdrienH - Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Название:Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité
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- Издательство:FanFiction.net
- Жанр:
- Год:2013
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Harry avait de plus en plus de mal à ne pas y penser, et à chaque fois qu'il le faisait, la lumière de son Patronus fluctuait.
Ils parvinrent à un endroit où le corridor tournait à gauche, à l'angle du bâtiment triangulaire. Ils descendirent encore des marches de métal, une autre étape ; ils plongeaient à nouveau.
Les simples meurtriers n'étaient pas placés dans les cellules les plus basses. Il y avait toujours un niveau inférieur, une punition encore pire à craindre. Peu importe les abysses où vous aviez sombré, le gouvernement d'Angleterre magique avait encore une menace qu'il vous réservait au cas où vous feriez encore pire.
Mais Bellatrix Black avait été la Mangemort qui avait inspiré plus de peur que quiconque hormis le Seigneur des Ténèbres lui-même, une sorcière magnifique et mortelle absolument loyale à son maître ; elle avait été, si une telle chose était possible, encore plus sadique et maléfique que Vous-Savez-Qui lui-même, comme si elle avait essayé de surpasser son maître...
...c'était ce que le monde savait d'elle, ce que le monde croyait savoir d'elle.
Mais le professeur Quirrell avait dit à Harry qu'avant cela, avant qu'elle ne devienne le plus terrible des serviteurs du Seigneur des Ténèbres, il y avait eu une fille à Serpentard, douce, souvent solitaire, ne faisant de mal à personne. Après cela, des histoires avaient été inventées à son sujet, les souvenirs s'étaient rétrospectivement altérés (Harry connaissait bien les recherches qui avaient été faites dans ce domaine). Mais à cette époque, alors qu'elle allait encore en cours, la sorcière la plus talentueuse de Poudlard avait été considérée comme une fille gentille (avait dit le professeur Quirrell). Ses quelques amis avaient été surpris de la voir rejoindre les Mangemorts, et encore plus surpris de voir qu'elle avait caché tant de ténèbres derrière ce sourire triste et pensif.
C'était ce que Bellatrix avait un jour été, la sorcière la plus prometteuse de sa génération, avant que le Seigneur des Ténèbres ne la vole et ne la brise, qu'il ne la fasse voler en éclats et qu'il ne lui donne une nouvelle forme, qu'il ne la lie à lui par un lien plus profond et par des arts plus sombre qu'un Imperium ne pourrait jamais l'être.
Pendant dix ans, Bellatrix avait servi le Seigneur des Ténèbres, avait tué ceux qu'il lui avait ordonnés de tuer, avait torturé ceux qu'il lui avait ordonnés de torturer.
Puis le Seigneur des Ténèbres avait enfin été vaincu.
Et le cauchemar de Bellatrix avait continué.
Quelque part à l'intérieur de Bellatrix se trouvait peut-être encore quelque chose qui hurlait, qui avait hurlé pendant tout ce temps, quelque chose qu'un Guérisseur psychiatrique pourrait ramener ; ou peut-être pas, le professeur Quirrell n'avait aucun moyen de le savoir. Mais dans un cas comme dans l'autre, ils pouvaient...
...ils pouvaient au moins la faire sortir d'Azkaban...
Bellatrix Black avait été placée au plus bas niveau de la prison.
Harry avait du mal à ne pas imaginer ce qu'il verrait lorsqu'ils atteindraient sa cellule. Bellatrix n'avait dû avoir quasiment aucune peur de la mort, au début, si elle avait encore été en vie.
Ils descendirent une autre volée de marches, s'approchant un peu plus de la Mort et de Bellatrix, et le claquement de leurs chaussures invisibles était le seul son que Harry pouvait entendre. Une faible lueur orange émanait des lampes à gaz, la petite étincelle verte dérivait dans les airs, la silhouette étincelante suivait et sa lumière d'argent fluctuait parfois.
Après être descendu maintes fois, ils parvinrent à un couloir qui ne se terminait pas par des escaliers mais par une dernière porte de métal, et l'étincelle verte s'arrêta devant celle-ci.
Le cœur de Harry s'était un peu calmé à mesure que leur descente dans les profondeurs d'Azkaban avait progressé sans que rien ne se produise. Mais son cœur tambourinait maintenant dans sa poitrine. Ils étaient au fond, et les ombres de la Mort étaient à portée de main.
Une sorte de clic métallique émana de la porte ; le professeur Quirrell ouvrait le chemin.
Harry prit une profonde inspiration et se souvint de tout ce que le professeur Quirrell lui avait dit. Le plus difficile ne serait pas seulement de jouer la fausse personnalité suffisamment bien pour tromper Bellatrix Black en personne, le plus difficile serait de conserver son Patronus en même temps...
L'étincelle verte disparut, et un moment plus tard un serpent d'un mètre de haut apparut dans une vibration de sortie d'invisibilité.
La porte de métal bougea avec un lent grincement lorsque Harry la poussa de sa main invisible, l'entrebâillait juste, et il jeta un coup d'œil.
Il vit un couloir droit qui s'achevait sur de la pierre. Il n'y avait aucune lumière ici hormis celle qui se faufilait depuis le Patronus de Harry. C'était suffisant pour qu'il voit les barreaux extérieurs des huit cellules encastrées dans le couloir, mais il ne pouvait voir à l'intérieur ; plus important encore, il ne pouvait voir personne dans le couloir.
" Je ne voiss rien," siffla Harry.
Le serpent darda, ondulant vivement le long du sol.
Un moment plus tard -
" Elle est sseule," siffla-t-il.
Reste, pensa Harry à l'intention de son Patronus, qui prit position juste à côté de la porte, comme s'il la gardait ; puis Harry ouvrit la porte plus grand et entra à l'intérieur.
La première cellule contenait ce qui ressemblait à un corps desséché, peau devenue grise et marbrée, chair usée par endroits jusqu'à exposer l'os en-dessous, pas d'yeux -
Harry ferma les siens. Il pouvait encore le faire, il était encore invisible, il ne trahissait rien en fermant les yeux.
Il l'avait déjà su, il l'avait lu à la page six de son livre de Métamorphose, que vous restiez à Azkaban jusqu'à ce que votre peine soit finie. Si vous mourriez avant, ils vous gardaient là jusqu'à relâcher votre corps. Si vous étiez condamnée à vie, ils gardaient juste le corps dans la cellule jusqu'à ce qu'ils en aient besoin, et alors ils jetaient votre corps dans la fosse des Détraqueurs. Mais c'était quand même un choc de l'observer, ce corps avait été une personne et avait juste été laissée là -
La lumière de la pièce vacilla.
Stable, pensa Harry au plus profonde de lui-même. Le professeur Quirrell souffrirait si ce Patronus cessait de l'empêcher d'avoir des pensées tristes. Si près des Détraqueurs, le professeur de Défense tomberait peut-être mort, tout simplement. Stable, Harry James Potter-Evans-Verres, stable !
Et avec cette pensée, Harry rouvrit les yeux ; il n'y avait pas de temps à perdre.
La seconde cellule qu'il regarda ne contenait qu'un squelette.
Et derrière les barreaux de la troisième, il vit Bellatrix Black.
À l'intérieur de Harry, quelque chose de précieux de d'irremplaçable se flétrit comme de l'herbe sèche.
On pouvait voir que la femme n'était pas un squelette et que sa tête n'était pas un crâne parce que la texture de la peau était encore différente de celle de l'os, même au stade de pâleur qu'elle avait atteint en attendant seule dans le noir. Soit ils ne la nourrissait pas beaucoup, soit les ombres de Détraqueurs aspiraient ce qu'elle mangeait ; car ses yeux semblaient avoir réduit dans leurs orbites, ses lèvres avaient l'air trop asséchées pour recouvrir ses dents. La couleur sembla avoir déteint des vêtements noirs qu'elle avait apportés en prison, comme si les Détraqueurs avaient aussi drainé cela. Ces vêtements s'étaient voulus provocateurs, et ils recouvraient maintenant un squelette, mollement, exposant un peau ratatinée.
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