Margaret Weis - Dragons d'un crépuscule d'automne

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Dragons d'un crépuscule d'automne: краткое содержание, описание и аннотация

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Les dragons vont-ils rayer Krynn de la carte ? D’urgence, une poignée de braves de réunissent sous le commandement de Tanis le demi-elfe : Caramon le guerrier, Raistlin le sorcier — son frère jumeau —, Sturm le chevalier, Flint Forgefeu le nain, Tass Racle-Pieds le kender : des noms qui resteront dans la mémoire ! Leur mission ? Ramener aux hommes le secret de l’antique Lancedragon, la seule arme capable de terrasser les monstres cracheurs de feu. Pour que s’épanouissent tous les êtres de bonne volonté.

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— J’étais avec mon frère dans la tour, intervint Caramon, le visage décomposé. Je l’ai vu se battre avec de simples sorts contre des magiciens chevronnés. Ils ont réussi à abîmer son corps, mais il les a vaincus. C’est moi qui l’ai sorti de cet horrible endroit. Et je…

— Fais attention à ce que tu vas dire, siffla Raistlin.

— Je sais quel sacrifice il a dû faire, dit Caramon d’une voix altérée. Nous n’avons pas le droit d’en parler. Mais tu me connais depuis des années, Sturm Clairelame, et je te donne ma parole d’honneur que tu peux te fier à mon frère autant qu’à moi. Si jamais l’avenir me donnait tort, que je sois puni de mort, et lui aussi !

Raistlin considéra son jumeau d’un air grave et attentif. La courbe de ses lèvres s’adoucit, balayant son habituel rictus cynique. Le changement était saisissant. Un instant, les deux hommes se ressemblèrent vraiment ; très vite, ils redevinrent aussi différents que les deux faces d’une pièce de monnaie.

Sturm s’avança vers Caramon et lui serra la main avec chaleur. Puis il se tourna vers le mage d’un air écœuré.

— Raistlin, je te prie de m’excuser, dit-il en faisant un effort sur lui-même. Tu peux être fier d’avoir un frère aussi loyal.

— Oh, je le suis, murmura le mage.

— Raistlin, es-tu capable de nous guider dans ces lieux ? intervint Tanis.

— Avant le Cataclysme, j’aurais pu. Mais les livres que j’ai étudiés dataient de plusieurs siècles. Pendant le Cataclysme, quand la montagne en éruption s’est déversée sur Krynn, la cité de Xak Tsaroth s’est effondrée au bas de la falaise. J’ai reconnu l’escalier parce qu’il est resté intact. Pour le reste…, conclut-il en haussant les épaules.

— Où mène cet escalier ?

— À la crypte des Anciens. Les prêtres et les rois de Xak Tsaroth y sont ensevelis.

— Inutile de s’éterniser ici pour nous y angoisser davantage, dit Caramon.

— C’est vrai, répondit Raistlin, il faut agir rapidement. Nous avons jusqu’à la tombée de la nuit. Demain, les armées venues du nord envahiront la ville.

Sturm fronça les sourcils.

— Écoute, mage, tu es sans doute très savant, mais il y a des choses que tu ne peux pas savoir ! Caramon a raison, nous avons perdu assez de temps… Je passe devant.

Il descendit prudemment les premières marches de l’escalier couvertes de lichen.

— Raistlin, accompagne-le et éclaire le chemin, ordonna Tanis, ignorant le regard furieux que lui lança le chevalier. Caramon, tu iras avec Lunedor. Rivebise et moi fermerons la marche.

— Et nous ? grommela Flint au kender. N’importe où, comme d’habitude. On nous prend pour la cinquième roue du carrosse !

Quand les deux compères eurent disparu dans l’escalier, Tanis se tourna vers le barbare.

— As-tu le souvenir d’avoir été ici, Rivebise ? Où la déesse t’a-t-elle remis le bâton ? Es-tu déjà passé par là ?

— Je ne sais pas, répondit Rivebise, le visage anxieux. Je ne me souviens de rien. Sauf du dragon…

Le dragon , songea Tanis. Tout tournait autour du dragon. Il hantait les esprits. Comme leur petit groupe était fragile face à ce monstre, ancestrale figure des légendes les plus sombres de Krynn !

Pourquoi cela nous arrive-t-il, à nous ? se demanda Tanis avec amertume. A-t-on jamais vu une troupe aussi hétéroclite, composée de « héros » râleurs, susceptibles, querelleurs, dont la moitié ne fait même pas confiance à l’autre ? « Nous avons été choisis », paraît-il. Maigre consolation ! « Qui nous a choisis, et pourquoi ? » avait déclaré Raistlin. Le demi-elfe commençait vraiment à se le demander.

En silence, ils atteignirent le bas de l’escalier. Ils se trouvaient face à un petit couloir qui donnait sur une vaste salle rongée d’humidité. Ils tendirent l’oreille. Le grondement d’une cascade escamotait les autres bruits. Tanis crut percevoir un grincement et des martèlements sur le sol. Puis, plus rien. Un bizarre raclement se fit entendre, ponctué de petits cris perçants. Tanis interrogea Tass du regard. Le kender haussa les épaules.

— Pas la moindre idée de que ça peut être ! Tu veux que j’aille voir ?

— Vas-y !

Plus silencieux qu’une souris sur un tapis moelleux, Tass se glissa jusqu’à la porte en ogive. La grande salle était sûrement un lieu de cérémonie ; ce devait être la crypte des Anciens, selon Raistlin, mais ce n’était plus qu’une ruine… Tass remarqua d’énormes trous entre les dalles dressées comme des pierres tombales. Le mur situé au levant s’était écroulé, laissant libre cours à des nuages de vapeur blanchâtre qui dégageaient une odeur de pourriture. Il distingua une ouverture vers le sud et une autre au nord. Le grincement bizarre venait du côté sud.

Brusquement, le kender sentit le sol vibrer sous ses pieds, et il entendit un martèlement. Il retourna en toute hâte vers l’escalier. Les compagnons, sur le qui-vive, se plaquèrent contre le mur, les armes à la main. Il y eut une grande aspiration d’air et une douzaine de silhouettes passèrent devant la porte en faisant trembler le sol. Ils entendirent quelques râles et des respirations bruyantes, puis les silhouettes disparurent dans la vapeur des buées. Après un dernier grincement, ce fut le silence.

— Par les Abysses ! Qu’est-ce que ça peut bien être ? s’exclama Caramon. Ce n’était pas des draconiens, ou alors une espèce miniature. D’où sont-ils sortis ?

— Du côté nord de la grande salle, répondit Tass. Ils allaient vers le méli-mélo de voix bizarres qui vient du côté sud.

— Qu’y a-t-il à l’est ? demanda Tanis.

— D’après le bruit que j’ai entendu, une chute d’eau qui doit se déverser quarante pieds plus bas. Le sol est plein de trous. Il ne vaut mieux pas s’aventurer par là…

— Je renifle une odeur… bien particulière. Une odeur que je connais, mais que je ne situe pas…

— Ça sent la mort, dit Lunedor, tremblante.

— Bien pire que ça, murmura Flint.

Soudain, il roula de grands yeux et le sang lui monta au visage.

— J’ai trouvé ! Des nains des ravins ! s’exclama-t-il en saisissant sa hache. Ces misérables apparitions, c’était donc ça ! Eh bien ! ils n’en ont plus pour longtemps !

Il se précipita dans le couloir. Tanis, Sturm et Caramon le rattrapèrent par le collet.

— Du calme ! ordonna Tanis. Es-tu bien sûr que ce soit des nains des ravins ?

— Évidemment ! Ils m’ont retenu trois ans prisonnier. C’est pourquoi je ne vous ai pas parlé de ce que j’avais fait pendant ces cinq dernières années. Mais je vais me venger ! Je tuerai chaque nain que je trouverai sur ma route !

— Attends un peu, coupa Sturm. Les nains des ravins ne sont pas méchants, en tout cas, rien de comparable avec les gobelins. Pourquoi vivent-ils ici avec les draconiens ?

— Ils sont esclaves, dit Raistlin. Ils doivent l’être depuis que la cité a été détruite. Il est possible que les draconiens, venus pour défendre les Anneaux, les aient gardés comme main-d’œuvre.

— Ils peuvent nous être utiles…, murmura Tanis.

— Utiles ? Des nains des ravins ? explosa Flint. Tu serais capable de te fier à cette engeance ?

— Non, nous ne pouvons pas nous fier à eux, bien entendu. Mais tout esclave est prêt à trahir son maître, et les nains des ravins, comme les autres nains d’ailleurs, ne sont fidèles qu’à leur chef de clan. Si nous ne leur demandons pas d’exposer leurs vies, ils consentiront peut-être à monnayer leurs services.

— Je préférerais encore m’acoquiner avec un ogre ! dit Flint d’un air dégoûté. Allez-y ! Allez quémander l’assistance de vos nouveaux amis ! Ah ! ils vous aideront, c’est sûr ! Ils vous amèneront directement dans la gueule du dragon !

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