Roger Zelazny - La pierre des étoiles

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Où se trouve la Pierre des Étoiles ? Cet étrange objet a été offert par des extra-terrestres en échange des joyaux de la couronne d'Angleterre. Or il a disparu et tout le monde est convaincu que Fred, un vieil étudiant qui a des talents d'équilibriste, sait où il est.
Alors commence pour le jeune homme une étonnante histoire car humains et extra-terrestres rivalisent d'ingéniosité pour tenter d'arracher de son subconscient les renseignements désirés.
Une merveilleux conte fantastique dont l'action se déroule selon la logique de Lewis Carroll, avec des personnages délicieusement farfelus et des animaux qui parlent. On philosophe constamment dans cette histoire, mais avec infiniment de sérieux dans la loufoquerie, et beaucoup de bon sens dans le délire.

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– Dommage. Mais dans ce cas, je suppose que nous ne les reverrons plus pendant un moment.

– Que voulez-vous dire ?

– Ce que je viens de dire. Ils vont probablement essayer de quitter le pays. Avec ce qui les guette : accusations de kidnapping, d’homicides volontaires – des raisons de ce genre.

– Nous ne pouvons pas courir le risque.

– Que voulez-vous dire ?

– Il se pourrait qu’ils se mettent plutôt à votre recherche. Alors, vous feriez mieux de renvoyer votre petite amie chez elle et de faire vos valises. Je viendrai vous prendre dans une demi-heure environ.

– Vous ne pouvez pas me faire ça !

– Désolé, mais je peux et c’est un ordre. Votre job exige que vous fassiez un voyage. Votre santé aussi, d’ailleurs.

– Très bien. Où ça ?

– New York, dit-il.

Puis clic . Ainsi, c’était l’invasion de l’éden.

Je revins vers Ginny.

– Qu’est-ce que c’était ? demanda-t-elle.

– De bonnes et de mauvaises nouvelles.

– Quelles sont les bonnes ?

– Nous avons encore une demi-heure.

En fait, il lui fallut plus d’une heure pour arriver jusque chez moi, ce qui me donna le temps de prendre une décision drastique, de sang-froid, d’un genre qui m’était totalement nouveau.

Merimee répondit à la sixième sonnerie et reconnut ma voix.

– Oui, dis-je. Écoutez, vous vous souvenez de cette offre que vous m’avez faite la dernière fois que nous nous sommes vus ?

– Oui.

– J’aimerais y souscrire.

– Qui ?

– Deux types. Ils s’appellent Zeemeister et Buckler.

– Oh ! Mortie et Jamie ! Sûr.

– Vous les connaissez ?

– Oui. Morty travaillait de temps en temps pour votre oncle. Quand les affaires marchaient bien, que nous étions submergés de demandes, il fallait bien engager des extras. C’était un petit gars grassouillet, empressé d’apprendre. Je ne l’ai jamais beaucoup aimé. Mais il avait de l’enthousiasme et certaines aptitudes. Quand Al l’a renvoyé, il s’est installé à son compte et a monté une gentille petite affaire. Il a engagé Jamie quelques années plus tard, pour s’occuper des concurrents et des plaintes des clients. Jamie est un ancien poids léger. Assez bon d’ailleurs. Et il avait pas mal d’expérience militaire : porté déserteur dans trois armées différentes.

– Pourquoi oncle Albert a-t-il renvoyé Zeemeister ?

– Oh ! le type n’était pas honnête. Que peut-on faire avec des employés en qui on ne peut pas avoir confiance ?

– Exact. Eh bien, ils ont failli me tuer deux fois, et je viens d’apprendre qu’ils ont pris la clef des champs.

– Je suppose que vous ne connaissez pas leurs coordonnées actuelles ?

– C’est malheureusement le cas.

– Hum ! Cela rend les choses plus difficiles. Eh bien, prenons les choses par l’autre bout. Où comptez-vous être ces jours prochains ?

– Je dois partir pour New York dans l’heure qui suit.

– Excellent ! Où allez-vous loger ?

– Je ne sais pas encore.

– Vous êtes le bienvenu chez moi. En fait, cela pourrait même m’arranger.

– Vous ne comprenez pas, dis-je. Je suis diplômé. Docteur, en fait. J’ai un job maintenant. Et mon patron m’emmène à New York ce soir. Je ne sais pas encore où je vais loger. J’essaierai de vous appeler dès mon arrivée.

– Okay ! Félicitations pour le job et le doctorat. Quand vous décidez de faire quelque chose, vous n’y allez pas de main morte – juste comme votre oncle. Je meurs d’impatience d’entendre toute l’histoire. Pendant ce temps, je vais tâter le terrain. Je pense, aussi, pouvoir vous promettre une plaisante surprise bientôt.

– De quel genre ?

– Ce ne serait plus une surprise si je vous le disais, n’est-ce pas, cher enfant ? Faites-moi confiance.

– Okay. Je le fais, dis-je. Et merci.

– À bientôt.

– Au revoir.

Ceci avec préméditation et toutes les intentions de la terre, et cœtera. Et sans remords. J’en avais marre qu’on me tire dessus, et c’est toujours une honte de gâcher un cadeau.

L’hôtel, ainsi qu’il apparut, était exactement en face d’un squelette de building en cours de construction que j’avais utilisé pour atteindre le toit de la structure voisine – pour ne pas la nommer, le Hall d’exposition où se trouvait la machine de Rhennius.

J’avais quelques doutes sur la pureté de la coïncidence. Quand j’en fis la remarque, cependant, Nadler ne répondit pas. Il était plus de minuit quand nous entrâmes à l’hôtel, et depuis qu’il était venu me chercher chez moi, il ne m’avait pas quitté d’une semelle.

C’est alors :

– Je n’ai presque plus de cigarettes, dis-je en approchant de la réception de l’hôtel, après avoir évidemment vérifié qu’il n’y avait pas de distributeur automatique en vue.

– Tant mieux, répondit-il. Mauvaise habitude.

La fille de la réception, heureusement, se montra plus compréhensive et me dit que je pourrais en trouver au mezzanine. Je la remerciai, enregistrai le numéro de notre chambre, dis à Nadler que j’arrivais dans cinq minutes et le plantai là.

Naturellement, je me dirigeai immédiatement vers le téléphone le plus proche, appelai Merimee et lui dis où j’étais.

– Bien. Considérez l’affaire comme faite, dit-il. À propos, nos clients sont en ville. L’un de mes associés pense les avoir aperçus un peu plus tôt.

– C’est du rapide.

– Accidentel aussi. Mais… gardez le moral. Dormez bien. Adieu.

– Bonne nuit.

Je pris un ascenseur qui m’amena jusqu’à l’étage désiré et cherchai notre chambre. N’ayant pas la clé, je frappai.

Pendant quelques secondes, il n’y eut pas de réponse. Puis, juste au moment où j’allais frapper de nouveau, la voix de Nadler s’enquit :

– Qui est-ce ?

– Moi, Cassidy, dis-je.

– Entrez. Ce n’est pas fermé.

Confiant, préoccupé et un peu fatigué, je tournai le bouton, poussai la porte et entrai. Une erreur que n’importe qui aurait pu faire.

– Ted ! Que diable se… et le temps que je dise cela, un tentacule m’avait saisi par la jambe et un autre m’avait entouré l’épaule… passe-t-il ? demandai-je, pendant que je me promenais dans les airs.

Je luttai, évidemment. Qui ne l’aurait pas fait ? Mais la chose me tenait à un bon mètre cinquante du sol, horizontalement, exactement au-dessus de son corps peu séduisant. Elle me retourna ensuite à l’envers, de sorte que son tronc gris-vert, son baquet de vase et ses tentacules de pieuvre entortillés remplissaient tout mon champ de vision. Je soupçonnai que la chose me voulait du mal avant même que ses appendices noueux ne s’ouvrent comme des couteaux à cran d’arrêt, me montrant leurs intérieurs douteux, moites, épineux et rougeâtres.

J’émis un bêlement et tirai sur les tentacules. Puis, quelque chose qui ressemblait à un tisonnier rougi à blanc passa derrière mes yeux, traversant mon cerveau de part en part, et de long en large. La terreur à l’état brut m’envahit et je me débattis convulsivement dans les lianes vivantes.

J’entendis alors une sorte de sifflement aigu, la douleur s’évanouit, les tentacules relâchèrent leur pression, s’effondrèrent et je tombai, sur le tapis, à deux doigts du rebord du baquet. Un peu de vase m’éclaboussa, et les tentacules inertes tombèrent autour de moi, comme des serpentins. Je gémis et me frottai l’épaule.

– Il est blessé ! me parvint une voix qui, je le reconnus, était celle de Ragma.

Je tournai la tête pour recevoir la sympathie que j’entendais courir vers moi sur des petits pieds de fourrure et des grandes semelles.

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