Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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« Du fait du deuil terrible que connaît Andy, commença Big Jim, je vais présider cette réunion, si personne ne soulève d’objection. Nous sommes tous profondément désolés, Andy.

— Et comment, monsieur, dit Randolph.

— Merci », répondit Andy.

Et lorsque Andrea posa brièvement sa main sur la sienne, les larmes lui montèrent à nouveau aux yeux.

« Bon. Nous commençons tous à avoir une petite idée de ce qui s’est passé ici, reprit Big Jim, bien que personne parmi nous n’y comprenne quoi que ce soit…

— Ni personne de l’autre côté, je parie », le coupa Andrea.

Big Jim l’ignora. « … et les militaires présents sur place n’ont pas jugé bon d’entrer en contact avec les élus de la ville.

— On a des problèmes avec le téléphone, monsieur », intervint Randolph.

Il appelait toutes les personnes présentes par leur prénom et considérait même Big Jim comme un ami ; mais, pour une telle réunion, il trouvait judicieux de s’en tenir aux madame et aux monsieur . Perkins faisait de même et au moins, là-dessus, le vieux avait sans doute eu raison.

Big Jim balaya l’objection d’un geste de la main, comme on chasse une mouche importune. « Quelqu’un aurait pu s’approcher, du côté de Motton ou de Tarker’s Mill, pour qu’on vienne me — nous — chercher, mais personne n’a jugé bon de le faire.

— Monsieur, la situation est encore très… euh, instable.

— Je n’en doute pas, je n’en doute pas. Et il est tout à fait possible que ce soit pour cette raison que personne n’ait encore fait appel à nous. Cela se pourrait, oh oui, et je prie que ce soit pour cette raison. J’espère que vous avez tous prié. »

Toutes les têtes opinèrent avec componction.

« Mais pour le moment… » Big Jim regarda autour de lui, la mine grave. Il se sentait grave. Mais aussi excité. Et prêt . Il ne pensait pas impossible que sa photo fasse la couverture de Time Magazine avant la fin de l’année. Les désastres — en particulier ceux déclenchés par des terroristes — n’avaient pas toujours que des retombées néfastes. Regardez le bénéfice qu’en avait tiré Rudy Giuliani, le maire de New York au moment du 11 Septembre. « Pour le moment, madame et messieurs, nous devons envisager comme une possibilité sérieuse d’être entièrement livrés à nous-mêmes. »

Andrea porta une main à sa bouche. Ses yeux brillaient, soit de peur, soit de l’abus de came. Voire des deux. « C’est impossible, Jim !

— Espérer le mieux, se préparer au pire, c’est ce que dit toujours Claudette », Andy avait parlé sur le ton de la plus profonde méditation. « Disait, je veux dire. Elle a préparé un petit déjeuner extra, ce matin. Des œufs brouillés avec un reste de tacos au fromage. Nom d’un chien ! »

Le flot de larmes, qui avait ralenti, repartit de plus belle. Andrea posa de nouveau sa main sur celle d’Andy. Cette fois-ci, Andy la serra. Andy et Andrea , songea Big Jim, un léger sourire venant creuser les plis du bas de son visage poupin. Les jumeaux Crétinos .

« Espérer le mieux, se préparer au pire, répéta-t-il, quel bon conseil. Le pire, dans ce cas, pourrait vouloir dire plusieurs jours coupés du reste du monde. Une semaine. Ou même un mois. » En fait, il n’y croyait pas mais ils fileraient plus doux s’ils avaient peur.

Andrea répéta : « C’est impossible !

— Nous n’en savons tout simplement rien », lui fit remarquer Big Jim. C’était, sans conteste, la vérité sans fard. « Comment le pourrions-nous ?

— Nous devrions peut-être faire fermer le Food City, dit Randolph. Au moins pour le moment. Sinon, les gens vont s’y précipiter comme avant un blizzard. »

Rennie fut agacé. Il avait un programme, cette mesure y figurait, mais pas parmi les priorités.

« Ce n’est peut-être pas une bonne idée, au fond, dit Randolph en voyant l’expression du deuxième conseiller.

— Exact, Pete, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. C’est le même principe que de ne pas fermer la banque quand on est à court de liquidités. Ça ne fait que déclencher une panique.

— Vous voulez qu’on ferme les banques, aussi ? demanda Andy. Et qu’est-ce qu’on fait pour les distributeurs automatiques ? Il y en a un au Brownie’s Store… au Mill Gas & Grocery… à ma pharmacie, bien entendu… » Son expression devint vague, puis son visage s’éclaira. « Je crois que j’en ai vu un au centre de soins, mais je ne suis pas très sûr pour celui-là… »

Rennie se demanda si Andrea n’avait pas offert quelques-unes de ses pilules à son pharmacien. « Ce n’était qu’une métaphore, Andy. » Il avait parlé à voix basse, gentiment. C’était exactement le genre de choses auxquelles il fallait s’attendre quand les gens se mettaient à divaguer. « Dans une situation comme celle-ci, la nourriture, c’est de l’argent, d’une certaine manière. Ce que je dis, c’est que les choses devraient continuer comme d’habitude. De cette façon, les gens garderont leur calme.

— Ah », fit Randolph. Ça il le comprenait. « Bien vu.

— Mais il faudra que tu parles au gérant du supermarché — c’est quoi son nom, déjà ? Cade ?

— Non, Cale, répondit Randolph. Jack Cale.

— Également à Johnny Carver, à l’épicerie, et à… qui diable est le gérant du Brownie’s, depuis la mort de Dil Brown ?

— Velma Winter, intervint Andrea. Elle n’est pas d’ici, mais elle est très gentille. »

Rennie fut satisfait de voir que Randolph écrivait tous ces noms dans son calepin. « Tu diras à tous ces gens que la vente de bière et d’alcool est interdite jusqu’à nouvel ordre. » Son visage se plissa, adoptant une expression de plaisir qui était effrayante. « Quant au Dipper’s, il est fermé .

— Des tas de gens ne vont pas apprécier, fit remarquer Randolph. À commencer par Sam Verdreaux. »

Verdreaux était l’ivrogne le plus notoire de Chester’s Mill ; son existence était la preuve parfaite — du point de vue de Big Jim — qu’il n’aurait jamais fallu abroger la Prohibition.

« Sam et ses semblables devront se faire une raison quand leurs réserves de bière et de gnôle seront épuisées. On ne peut pas se permettre d’avoir la moitié de la ville ivre comme si on était la veille du nouvel an.

— Pourquoi pas ? demanda Andrea. Quand ils auront tout bu, la question sera réglée.

— Et s’ils flanquent la pagaille, en attendant ? »

Andrea garda le silence. Elle ne voyait pas pour quelle raison les gens flanqueraient la pagaille — pas s’ils avaient de quoi manger — mais discuter avec Rennie, avait-elle découvert, était en général stérile et toujours usant.

« Je vais envoyer deux de mes hommes pour leur parler, dit Randolph.

— Va voir en personne Tommy et Willow Anderson. » Les Anderson étaient les gérants du Dipper’s. « Ils peuvent faire des histoires. » Il ajouta, d’un ton plus bas : « Ce sont des extrémistes. »

Randolph acquiesça. « Des extrémistes de gauche . Ils ont la photo de Tonton Barack au-dessus du bar.

— Exactement. » Et — ce n’était même pas utile de le dire — Duke Perkins avait laissé ces deux hippies de cueilleurs de coton faire leur trou ici, avec leurs danses de sauvages, leur rock and roll tapageur et les gens qui picolaient jusqu’à une heure du matin. Il les protégeait. Et regardez ce qui est arrivé à mon fils et à ses amis. Il se tourna vers Andy Sanders. « Il faudra aussi que tu mettes tous les médicaments sur ordonnance sous clef. Bon, pas le Nasonex ou le Lyrica, ni les trucs de ce genre. Tu sais ce que je veux dire.

— Tout ce que les gens peuvent prendre pour se droguer est déjà sous clef », répondit Andy.

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