Stephen King - Dôme. Tome 1

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Dôme. Tome 1: краткое содержание, описание и аннотация

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Le Dôme : personne n’y entre, personne n’en sort. A la fin de l’automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu’est ce dôme transparent, d’où il vient et quand — ou si — il partira. L’armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l’intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu’à l’os, voit tout de suite le bénéfice qu’il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s’installe et la résistance s’organise autour de Dale Barbara, vétéran de l’Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville…

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Quelques instants plus tard, il fut placé en attente sans que Stacey prît la peine de l’en avertir. Big Jim eut droit à la musique de McGruff the Crime Dog pendant un moment. Puis quelqu’un prit la ligne. C’était Randolph, apparemment hors d’haleine :

« Fais vite, Jim, parce que c’est une maison de fous, ici. Ceux qui ne sont pas à l’hôpital avec des côtes cassées sont furieux comme des frelons. Tout le monde accuse tout le monde. J’essaie de ne pas remplir les cellules, en bas, mais on dirait qu’ils veulent tous y aller.

— Est-ce que l’idée d’augmenter les forces de police ne te semble pas meilleure, aujourd’hui ?

— Bordel, si ! On a pris notre raclée. J’ai l’un des nouveaux — la fille Roux — à l’hôpital avec toute une moitié de la figure démolie. On dirait la Fiancée de Frankenstein. »

Le sourire de Big Jim s’agrandit. Sam Verdreaux avait réussi son coup. Mais c’était encore une des conséquences de sentir le truc ; quand on était obligé de passer le ballon, en ces rares occasion où on ne pouvait pas lancer soi-même, on le passait toujours à la bonne personne.

« On lui a balancé une pierre. À Mel Searles aussi. Il est resté un moment évanoui, mais on dirait qu’il va mieux. Sauf que c’est pas joli à voir. Je l’ai envoyé se faire rafistoler à l’hôpital.

— C’est vraiment un scandale, dit Big Jim.

— Il y a quelqu’un qui visait mes officiers. Plusieurs quelqu’un, je crois. Est-ce qu’on va pouvoir engager d’autres volontaires, Big Jim ?

— Je pense que tu trouveras plein de volontaires parmi la belle jeunesse de cette ville, dit Big Jim. En fait, j’en connais plusieurs, qui vont au Christ-Rédempteur. Les frères Killian, par exemple.

— Les frères Killian sont plus bêtes que leurs pieds, Jim !

— Je sais, mais ils sont costauds et ils obéissent aux ordres… Et ils savent tirer.

— Est-ce qu’on va armer les nouveaux officiers ? demanda Randolph d’un ton où se mêlaient crainte et espoir.

— Après ce qui est arrivé aujourd’hui ? Bien sûr. Je pensais à dix ou douze braves jeunes gens de confiance, pour commencer. Frank et Junior pourront t’aider à les choisir. Et il en faudra davantage si tout ça n’est pas réglé la semaine prochaine. Paie-les sur le papier. Donne-leur la priorité sur les denrées, si jamais on commence à rationner. À eux et à leur famille.

— D’accord. Envoie-moi Junior, tu veux bien ? Frank est là, Thibodeau aussi. Il a pris pas mal de coups au supermarché et il a fallu changer son pansement à l’épaule, mais il est plutôt en forme. » Randolph se mit à parler plus bas. « Il dit que c’est Barbara qui lui a changé son pansement. Et qu’il a fait du bon boulot.

— C’est très bien, mais notre Mister Barbara ne va pas continuer bien longtemps à changer des pansements. Et j’ai un autre boulot pour Junior. Et pour l’officier Thibodeau. Envoie-le-moi.

— Pour quoi faire ?

— Si tu avais besoin de le savoir, je te le dirais. Envoie-le-moi. Junior et Frank feront plus tard la liste des nouvelles recrues potentielles.

— Bon… si tu le dis… »

Randolph fut interrompu par une brusque recrudescence du tapage. Un objet tomba, ou fut lancé. Il y eut le craquement de quelque chose qui se brise.

« Arrêtez ça ! » rugit Randolph.

Avec un sourire, Big Jim écarta le téléphone de son oreille. Il entendait parfaitement bien, néanmoins.

« Attrapez-moi ces deux-là — non, pas eux, idiots, les deux autres… NON, je ne veux pas qu’on les arrête ! Je veux qu’ils me foutent le camp d’ici ! Sur le cul, si y’a pas moyen de faire autrement ! »

Un instant plus tard, Randolph revenait en ligne. « Rappelle-moi pourquoi j’ai voulu ce boulot, parce que je commence à l’oublier.

— Ça va s’arranger tout seul, tu vas voir, rétorqua Big Jim d’un ton apaisant. Tu auras cinq nouveaux à ta disposition dès demain — de jeunes étalons en pleine forme — et cinq autres jeudi. Au moins cinq. Et maintenant, envoie-moi Thibodeau. Et vérifie bien que la cellule tout à fait au fond, au sous-sol, reste libre pour accueillir quelqu’un. Mr Barbara va l’occuper cet après-midi.

— Il sera accusé de quoi ?

— Qu’est-ce que tu dirais de quatre inculpations pour meurtre, plus incitation à l’émeute au supermarché local ? Ça t’irait ? »

Il raccrocha avant que Randolph eût le temps de répondre.

« Qu’est-ce qu’on doit faire, avec Carter ? demanda Junior.

— Cet après-midi ? Tout d’abord, un peu de reconnaissance et de préparation. Ensuite, tu feras partie de ceux qui arrêteront Barbara. Ça devrait te plaire, non ?

— Et comment !

— Une fois Barbara au trou, toi et Thibodeau vous allez faire un bon repas, parce que votre vrai boulot, c’est pour cette nuit.

— Et ce sera quoi ?

— Mettre le feu au local du Democrat . Qu’est-ce que t’en dis ? »

Les yeux de Junior s’agrandirent. « Mais pourquoi ? »

Que son fils eût besoin de le demander fut une déception pour Big Jim. « Pourquoi ? Parce que, dans un avenir immédiat, il n’est pas dans l’intérêt de la ville d’avoir un journal. Des objections ?

— Dis-moi, P’pa… ça ne t’est jamais venu à l’esprit que tu puisses être cinglé ? »

Big Jim hocha la tête. « Comme un renard », répondit-il.

7

« Quand je pense au temps que j’ai passé dans cette salle, dit Ginny Tomlinson de sa nouvelle voix enrouée, sans imaginer un seul instant que je me retrouverais sur la table…

— Et même si cette pensée vous avait effleurée, vous n’auriez probablement jamais été jusqu’à imaginer que ce serait le type qui vous sert votre petit déjeuner qui officierait », répondit Barbie.

Il s’efforçait de garder un ton léger, mais il n’avait pas arrêté de soigner et panser des plaies depuis qu’il était arrivé à l’hôpital avec la première rotation d’ambulances, et il était fatigué. Cela devait tenir en bonne partie au stress, supposait-il : il avait une peur bleue de faire empirer l’état d’un de ses patients au lieu de l’améliorer. Il lisait la même inquiétude sur les visages de Gina Buffalino et de Harriet Bigelow, bien que celles-ci n’aient pas, en plus, un compte à rebours signé Jim Rennie égrenant les secondes dans leur tête.

« Je crois que c’est pas demain la veille que je pourrai manger un steak », marmonna Ginny.

Rusty lui avait remis le nez en place avant de voir les autres patients. Barbie l’avait assisté, immobilisant l’infirmière en lui tenant la tête aussi doucement que possible, lui murmurant des encouragements. Rusty lui avait auparavant bouché les narines avec de la gaze imbibée de cocaïne médicinale. Il avait laissé dix minutes à l’anesthésique pour faire effet (profitant de ce laps de temps pour soigner un poignet méchamment foulé et poser un bandage élastique autour du genou enflé d’une femme obèse), puis il avait retiré la gaze à la pince et pris un scalpel. Son geste technique fut d’une admirable rapidité. Avant que Barbie ait eu le temps de demander à Ginny de dire wishbone , Rusty avait glissé le manche du scalpel dans la plus dégagée des narines de Ginny, pris appui sur le septum et effectué un mouvement de levier.

Comme quand on fait sauter l’enjoliveur d’une roue , avait pensé Barbie lorsqu’il avait entendu le craquement, faible mais audible, du nez de Ginny reprenant à peu près sa position d’origine. Elle ne cria pas, mais ses ongles déchirèrent le papier de protection de la table d’examen et des larmes roulèrent sur ses joues.

Si elle était calme, à présent — Rusty lui avait donné deux Percocet —, des larmes coulaient encore de son œil le moins enflé. Barbie trouva qu’elle ressemblait assez à Rocky Balboa après son homérique combat de l’Apollo Creed.

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