Isaac Asimov - Seconde Fondation

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25 millions de planètes habitées… Et dans ce gigantesque amas galactique,une planète élue, qui pourrait sauver la civilisation :la Seconde Fondation. Mais où se trouve-t-elle ? D’éminents savants l’ont en vain cherchée… Une enfant de quatorze ans saura-t-elle la découvrir ?
Voici le dernier volet d’une trilogie qui est devenuun « classique » de la Science-Fiction.

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« Certains prétendent que l’attitude nouvelle du Mulet fut provoquée par l’intervention de la Seconde Fondation. Néanmoins, nul n’a jamais découvert le siège exact de cette autre Fondation, nul ne connaît son rôle avec précision, si bien qu’aucune preuve n’est jamais venue confirmer cette thèse.

« Une génération entière s’est écoulée depuis la mort du Mulet. Que nous réserve maintenant l’avenir après son passage ? Il avait interrompu le cours du Plan Seldon, et l’on pouvait croire qu’il l’avait fait voler en éclats, cependant il n’eut pas plutôt disparu que la Fondation surgit de plus belle, telle une nova qui renaît des cendres refroidies d’une étoile mourante. »

(Cette phrase était de son cru.)

« Une fois de plus, la planète Terminus abrite le centre d’une fédération commerciale presque aussi importante et aussi prospère que celle d’avant la conquête, mais aussi plus pacifique et plus démocratique.

« Ce processus s’insère-t-il dans un plan général ? Le grand rêve de Seldon est-il toujours vivace, et peut-on envisager que, d’ici six cents ans, un second Empire Galactique viendra prendre la succession du premier ? Personnellement, je le crois, parce que… »

(Elle abordait le passage important. Il y avait toujours ces affreux griffonnages au crayon rouge dont miss Erlking était coutumière : Votre exposé est uniquement descriptif. Quelles sont vos réactions personnelles ? Réfléchissez ! Exprimez vos propres sentiments ! Pénétrez au plus profond de votre âme ! Elle pouvait se vanter de pénétrer dans les âmes, elle, avec sa face de citron, qui, de sa vie, n’avait jamais souri…)

« … jamais, à quelque époque que ce fût, la situation n’a été aussi favorable. Le vieil Empire est complètement défunt, et le règne du Mulet a mis fin à l’ère des Seigneurs guerriers, qui l’avait précédé. La plus grande partie des régions périphériques de la Galaxie est civilisée et pacifique.

« De plus, la santé interne de la Fondation est meilleure que jamais. L’ère despotique des Maires héréditaires de la pré-conquête a cédé le pas aux élections démocratiques des premiers temps. Il n’existe plus désormais de mondes dissidents de Marchands Indépendants ; non plus que la concentration de grandes richesses entre les mains de quelques privilégiés avec son cortège d’injustices et de bouleversements.

« Il n’y a donc aucune raison de redouter un échec, à moins que la Seconde Fondation elle-même ne constitue un danger. Ceux qui le prétendent n’apportent aucune preuve de leurs allégations, seulement de vagues terreurs et des superstitions. Je crois fermement que notre confiance en nous-mêmes, en notre nation, dans le grand Plan de Hari Seldon, sera de nature à chasser de notre esprit toutes les incertitudes et… »

(Hum… un peu vaseux ce passage, mais il fallait bien conclure dans ce sens.)

« … c’est pourquoi… »

L’Avenir du Plan Seldon n’alla pas plus loin pour le moment, car un coup des plus discrets fut frappé à la vitre, et lorsque Arcadia se dressa en équilibre sur l’un des bras du fauteuil, elle se trouva nez à nez avec un visage souriant de l’autre côté du carreau, dont la régularité des traits était accentuée, de façon intéressante, par la courte ligne verticale d’un doigt posé devant les lèvres.

Après une brève pause nécessaire pour prendre une attitude de surprise, Arcadia mit pied à terre, se dirigea vers le divan disposé au pied de la large fenêtre qui servait de cadre à l’apparition, s’y agenouilla et dirigea vers l’extérieur un regard pensif.

Le sourire qui éclairait le visage de l’homme s’évanouit rapidement. Tandis que les doigts de l’une de ses mains se contractaient sur le battant, l’autre fit un geste rapide. Arcadia obéit avec calme et fit pénétrer doucement dans son logement mural la poignée du tiers inférieur de la fenêtre, laissant la tiède brise de printemps venir se mêler à l’atmosphère conditionnée de la pièce.

« Vous ne pouvez entrer, dit-elle avec coquetterie. Les fenêtres possèdent toutes un écran et sont accordées sur les seules personnes qui habitent la maison. Si vous insistiez, une foule de signaux d’alarme ne manqueraient pas de se déclencher. » Elle ajouta après une pause : « Vous me paraissez en équilibre bien précaire sur la corniche. Si vous n’y prenez garde, vous allez tomber et vous rompre le cou en saccageant des fleurs de grand prix.

— Dans ce cas, dit l’homme, qui avait apparemment envisagé cette éventualité (en se servant d’un vocabulaire quelque peu différent), auriez-vous la bonté de débrancher l’écran et de me faire entrer ?

— Je n’en vois pas l’utilité, dit Arcadia. Vous vous trompez probablement de maison, car je ne suis pas de ces filles qui introduisent des étrangers dans… leur chambre à coucher, à cette heure de la nuit. » En prononçant ces paroles, elle avait donné à ses paupières une lourdeur ensommeillée – ou du moins une imitation acceptable de cette apparence.

Toute trace de gaieté avait disparu du visage du jeune étranger : « C’est bien ici la maison du docteur Darell, n’est-ce pas ?

— Pour quelle raison vous le dirais-je ?

— Oh ! Galaxie… Adieu…

— Si vous sautez, jeune homme, je me chargerai personnellement de donner l’alarme. » Elle pensait, par ce trait, faire preuve d’une ironie raffinée et sophistiquée, car, aux yeux d’Arcadia, l’intrus avait largement atteint la trentaine, c’est-à-dire l’âge mûr, sinon la vieillesse.

Une longue pause. « Eh bien, ma chère fillette, dit l’autre d’un ton concentré, si vous ne voulez pas que je reste et si vous ne voulez pas que je m’en aille, dites-moi ce que je dois faire.

— Je crois que je vais vous laisser entrer. Le docteur Darell habite effectivement ici. Je vais couper l’écran tout de suite. »

Après avoir jeté un coup d’œil inquisiteur et méfiant aux alentours, le jeune homme passa sa main dans l’ouverture et son corps suivit bientôt le même chemin. Il brossa ses genoux d’une claque irritée et leva vers elle un visage empourpré.

« Vous êtes bien sûre que votre caractère et votre réputation ne souffriront pas lorsqu’on me trouvera dans votre chambre, n’est-ce pas ?

— Pas autant que les vôtres, en tout cas. Sitôt que j’entendrai des pas au-dehors, je me mettrai à hurler que vous vous êtes introduit dans mes appartements.

— Vraiment, dit-il avec une politesse appuyée, et comment expliquerez-vous l’ouverture de l’écran protecteur ?

— Peuh, rien n’est plus facile. D’abord, il n’en existe pas à cet endroit. »

Les yeux de l’homme s’élargirent de chagrin. « C’était du bluff ? Quel âge avez-vous fillette ?

— Vous êtes bien impertinent, jeune homme. Je n’ai pas coutume de m’entendre appeler « fillette ».

— Ça ne m’étonne pas. Vous êtes probablement la grand-mère du Mulet déguisée. Voyez-vous un inconvénient à ce que je prenne congé de vous avant que vous ayez organisé une partie de lynchage dont je serais la vedette ?

— A votre place, je ne m’en irais pas… car mon père vous attend. »

L’homme reprit son air méfiant. Il leva un sourcil et dit légèrement : « Oh ? Il y a quelqu’un chez votre père ?

— Non.

— A-t-il reçu récemment une visite ?

— Seulement des représentants… et vous.

— Il ne s’est rien passé d’anormal ?

— Seulement vous.

— Oubliez-moi, s’il vous plaît ! Non, ne m’oubliez pas. Dites-moi, comment saviez-vous que votre père m’attendait ?

— Rien de plus simple. La semaine dernière, il a reçu une capsule personnelle contenant un message auto-oxydant. Il a jeté l’enveloppe de la capsule dans le désintégrateur d’ordures et, hier, il a donné à Poli – c’est notre servante – un mois de vacances pour aller voir sa sœur sur Terminus. Enfin, cet après-midi, il a préparé le lit dans la chambre d’amis. C’est donc qu’il attendait quelqu’un à mon insu. Habituellement, il me dit tout.

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