• Пожаловаться

Robert Heinlein: Marionnettes humaines

Здесь есть возможность читать онлайн «Robert Heinlein: Marionnettes humaines» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 1954, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Robert Heinlein Marionnettes humaines

Marionnettes humaines: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Marionnettes humaines»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

L’année 2007, dans l’histoire des Etats-Unis a été l’année de l’invasion. D’une invasion comme on n’en a jamais vu jusqu’alors. Les ennemis, innombrables, se présentent sous un aspect stupéfiant : des boules gélatineuses, animées de mouvements amiboïdes. Ils arrivent par astronef de la planète Titan. Leur tactique est la plus simple : ils se collent sur la nuque des hommes et ceux-ci deviennent immédiatement des esclaves, des marionnettes soumises complétement à la volonté de ces choses innommables, de ces « maîtres » à la fois malfaisants, despotiques et diaboliquement habiles. Il faudra une véritable guerre pour venir à bout de cette menace qui pèse sur le genre humain tout entier. Mais l’homme vaincra encore une fois les puissances mauvaises, grâce à un brillant agent des Services Secrets, Elisée Nivens, sa ravissante femme Mary, et son père, le fameux « Patron ».

Robert Heinlein: другие книги автора


Кто написал Marionnettes humaines? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

Marionnettes humaines — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Marionnettes humaines», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

« Ma chère enfant, dit-il, je comprends sans peine. »

Mary rougit. Le Président l’écouta gravement pendant qu’elle terminait son récit. Il resta ensuite plusieurs minutes immobile avant de s’adresser au Patron. « Andrew, dit-il, votre Section nous rend des services inestimables. Les renseignements que vous avez fournis ont parfois fait pencher la balance de l’histoire du bon côté à des moments cruciaux.

— Donc, c’est “non” ? grommela le Patron.

— Je n’ai pas dit cela.

— Mais vous allez le faire ! »

Le Président haussa les épaules. « J’allais seulement suggérer que ces jeunes gens se retirent. Vous êtes un génie, Andrew, mais les génies eux-mêmes peuvent faire des erreurs.

— Écoutez-moi bien, Tom : je m’attendais à votre réaction. C’est même pourquoi j’ai amené des témoins avec moi. Ils ne sont pas drogués et je ne leur ai pas fait la leçon. Appelez vos services psychologiques, essayez de les faire se démentir, et vous verrez. »

Le Président secoua la tête.

« Je suis convaincu que vous êtes plus expert en ces matières que tous les gens que je pourrais faire venir pour les mettre à l’épreuve. Prenez ce jeune homme par exemple : il était prêt à risquer une inculpation de meurtre, rien que pour vous couvrir. Vous avez le talent d’inspirer un dévouement total à vos subordonnés. Quant à cette jeune femme… franchement Andrew, je ne peux pas prendre une décision qui équivaut à déclarer l’état de guerre, à cause d’une simple intuition féminine. »

Mary fit un pas en avant. « Monsieur le Président, dit-elle avec conviction, je sais ce qu’il en est. Je l’ai su à chaque fois. Je ne peux pas vous expliquer comment je le sais, mais je vous affirme que ces hommes n’étaient pas des mâles normaux.

— Vous oubliez une explication assez plausible, répliqua-t-il. Si c’étaient véritablement des… euh… des eunuques, le hasard vous en a fait rencontrer quatre le même jour, voilà tout. »

Mary se tut. Mais pas le Patron.

« Enfin, bon Dieu, Tom…» commença-t-il.

Je frissonnai. Ce n’est pas comme cela qu’on s’adresse au Président.

« Je vous ai connu quand vous présidiez une commission sénatoriale d’enquête, continua-t-il. J’étais votre principal enquêteur. Vous savez bien que je ne vous aurais pas dérangé pour une pareille histoire de brigands, s’il y avait eu la moindre possibilité d’expliquer autrement les choses. Et l’astronef ? Que contenait-il ? Pourquoi n’ai-je même pas pu atteindre le point où il a atterri ? »

Il sortit la photo prise par la station satellite Beta, et la fourra sous le nez du Président.

Celui-ci n’en parut pas troublé. « Ah ! oui, dit-il, les faits… Vous et moi, Andrew, nous avons la passion des faits. Mais j’ai d’autres sources d’information que votre Section… Cette photo, oui, je sais… Vous avez insisté sur son importance en me téléphonant. Les limites de la ferme des MacLain, telles qu’elles sont enregistrées au cadastre correspondent exactement avec la latitude et la longitude de l’objet photographié ici. Il leva la tête. Un jour je me suis perdu à deux pas de chez moi. Vous ne connaissez pas cette région à fond, Andrew.

— Tom…

— Oui, Andrew ?

— Vous n’êtes pas allé là-bas vérifier vous-même le cadastre ?

— Évidemment non !

— Dieu merci ! Sans quoi vous porteriez déjà trois livres de tapioca vivant entre les épaules… et alors pauvres États-Unis ! Soyez bien sûr d’une chose : l’employé du cadastre et le fonctionnaire que vous avez envoyé là-bas sont à l’heure actuelle “possédés” l’un et l’autre. Oui. Parfaitement “possédés”. Comme le chef de la police de Des Moines, comme les journalistes de la région, les télégraphistes, les flics, bref tous ceux qui occupent des postes clés. Tom, je ne sais pas à quoi nous avons affaire au juste, mais eux savent ce que nous sommes ; tantôt ils coupent les filaments nerveux de notre organisation sociale avant que des informations authentiques n’aient le temps de nous parvenir – tantôt ils contredisent des informations exactes par des fausses, comme ils l’ont fait en se servant de Barnes. Monsieur le Président vous avez le devoir de décréter que la zone infectée sera immédiatement soumise à une quarantaine rigoureuse. C’est notre seule chance.

— Ah, oui, Barnes…, répéta doucement le Président. J’aurais bien voulu vous épargner cela, Andrew, mais…»

Il pressa un bouton sur son bureau. « Passez-moi la station W.D.E.S. à Des Moines. Je veux le directeur en personne. »

Un voyant s’éclaira bientôt sur le bureau. Le Président pressa un autre bouton et toute une partie du mur s’illumina. Nous avions sous les yeux la pièce où nous nous étions trouvés quelques heures plus tôt.

Dans cette pièce, il y avait un homme qui occupait la presque totalité de l’écran. C’était Barnes.

Ou son frère jumeau. Quand j’abats quelqu’un, je ne m’attends pas à le voir ressusciter. J’éprouvai donc une stupeur bien naturelle, mais je n’en gardai pas moins confiance en moi et mon pistolet à rayons.

« Vous m’avez demandé, monsieur le Président ? dit notre homme, qui semblait abasourdi de l’honneur qui lui était fait.

— C’est exact, monsieur Barnes. Reconnaissez-vous ces personnes ? »

Il parut surpris. « Je ne crois pas. Pourquoi ?

— Dites-lui d’appeler tout son personnel », coupa le Patron.

Le Président prit un air narquois, mais fit ce qu’on lui demandait. Le bureau s’emplit de gens – des femmes pour la plupart. Je reconnus la secrétaire qui défendait l’entrée du bureau de Barnes. Une femme poussa un petit cri. « Mais… c’est le Président ! »

Personne ne nous reconnut. En ce qui concernait le Patron et moi-même, cela n’avait rien d’étonnant, mais Mary n’avait pas changé d’aspect, et je suis prêt à parier que son physique se grave en lettres de feu dans la mémoire de toute femme qui l’a vue, ne serait-ce qu’une fois.

Pourtant une chose me frappa : tous ces gens avaient le dos rond.

Le Président nous mit gentiment à la porte. Il plaça sa main sur l’épaule du Patron. « Sérieusement, Andrew, la République n’est pas en danger… Nous nous en sortirons. »

Dix minutes plus tard, nous nous retrouvions en plein vent sur le quai de Rock Greek. Le Patron semblait tassé et vieilli.

« Alors, Patron ?

— Hein ? Quoi ? Pour vous deux, rien. Vous êtes en congé jusqu’à nouvel ordre.

— J’aimerais bien jeter un coup d’œil dans le bureau de Barnes.

— Ne mets pas les pieds dans l’Iowa, c’est un ordre.

— C’est bon. Et vous, qu’allez-vous faire, si je puis me permettre cette question ?

— Moi, je vais filer en Floride pour prendre des bains de soleil en attendant que le monde entre en décomposition. Si vous avez pour deux sous de bon sens, vous en ferez autant. Il ne vous reste guère de temps. »

Il se redressa et s’éloigna. Je tournai la tête pour dire un mot à Mary mais elle avait déjà disparu. Je la cherchai partout sans parvenir à la découvrir. Je rattrapai le Patron en courant. « Pardon, Patron, vous ne savez pas où est allée Mary ?

— Hein ? Qui ? En permission je suppose. Fiche-moi la paix. »

J’eus un instant l’idée de m’adresser à nos bureaux pour retrouver sa trace mais je me souvins à temps que je ne connaissais ni son vrai nom, ni son pseudonyme régulier, ni son matricule. Je pensai à forcer la chance en donnant son signalement à la Section mais c’était une idée idiote. Il n’y a que les archives de l’atelier de cosmétique qui gardent trace du vrai visage d’un agent, et elles sont ultra-secrètes pour tout le monde. Je savais seulement qu’elle m’était deux fois apparue sous les traits d’une rousse et que (à mon avis, du moins) elle avait de « ça » à un point extraordinaire. Pour retrouver son numéro de téléphone, c’était un peu mince.

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Marionnettes humaines»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Marionnettes humaines» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Отзывы о книге «Marionnettes humaines»

Обсуждение, отзывы о книге «Marionnettes humaines» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.