Stephen King - Fin de ronde

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Dans la chambre 217 de l’hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau.
Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est bien vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi…
STEPHEN KING
« Après
et
les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d’horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l’inspecteur Hodges. »
Publishers Weekly

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Hartsfield aurait dû mourir quand Holly l’a frappé avec mon Happy Slapper, se dit Hodges. Ça aurait été mieux pour tout le monde.

« Je connais Pete, il ira vérifier les photos du suicide Frias-Countryman, dit-il à Holly. Diligence de rigueur et tout ça. Mais s’il trouve un Z griffonné quelque part — sur une plinthe, un miroir —, alors là je tomberai vraiment des nues. »

Elle ne répond pas. Son regard est perdu au loin.

« Holly ? T’es là ? »

Elle sursaute légèrement.

« Oui. Je réfléchis juste à comment localiser Nancy Alderson à Chagrin Falls. Ça ne devrait pas prendre trop de temps avec tous les logiciels de recherche que j’ai, mais c’est toi qui devras lui parler. Je peux téléphoner moi-même si j’y suis absolument obligée, tu sais bien que…

— Oui. Tu t’en sors très bien maintenant. »

Ce qui est vrai, bien qu’elle téléphone toujours avec sa fidèle boîte de Nicorette à portée de la main. Sans parler de la réserve de Twinkies qu’elle garde dans son bureau en renfort.

« Mais ce n’est pas moi qui lui dirai que ses employeuses — ses amies , pour ce qu’on en sait — sont mortes. Tu devras le faire. Tu es doué pour ce genre de choses. »

Hodges croit que personne n’est vraiment doué pour ce genre de choses mais ne se fatigue pas à le dire.

« Pourquoi tu veux joindre la femme de ménage ?

— Elle mérite de savoir, dit Holly. La police va contacter les membres de la famille, c’est leur boulot, mais ils ne vont sûrement pas appeler la femme de ménage. En tout cas, je ne pense pas. »

Hodges ne pense pas non plus et Holly a raison : Alderson mérite de savoir, ne serait-ce que pour lui éviter de se retrouver face à une maison condamnée par la police en retournant travailler. Mais d’une certaine manière, il ne pense pas que ce soit l’unique motif de l’intérêt de Holly pour Nancy Alderson.

« Ton ami Pete et Miss Jolis Yeux Gris n’ont quasiment rien fait, dit Holly. Il y a de la poudre à empreintes dans la chambre de Martine Stover, oui, d’accord, et sur le fauteuil roulant, et aussi dans la salle de bains où M me Ellerton s’est suicidée, mais rien à l’étage, où elle dormait. Ils sont sans doute montés assez longtemps pour s’assurer qu’il n’y avait pas de cadavre planqué sous le lit ou dans le placard et ils n’ont pas cherché plus loin.

— Attends une minute. T’es montée à l’étage ?

— Bien sûr. Il fallait bien que quelqu’un enquête consciencieusement, ce que ces deux-là n’ont certainement pas fait. En ce qui les concerne, ils n’ont aucun doute sur ce qui s’est passé. Pete t’a appelé parce que ça l’a glacé, c’est tout. »

Glacé . Oui, c’est ça. C’est exactement le mot qu’il cherchait et qu’il n’avait pas trouvé.

« Moi aussi ça m’a glacée, poursuit Holly sur un ton d’évidence, mais j’ai pas perdu mon sang-froid pour autant. Ils ont faux sur toute la ligne. Faux faux faux, et tu dois parler à la femme de ménage. Je te dirai quoi lui demander si tu vois pas.

— C’est à propos de ce Z dans la salle de bains ? Si tu sais quelque chose que je ne sais pas, j’aimerais bien que tu me mettes au courant.

— C’est pas ce que je sais, c’est ce que j’ai vu . Tu n’as pas remarqué ce qu’il y avait à côté du Z ?

— Un marqueur ? »

Elle lui jette un regard qui dit : Tu peux mieux faire .

Hodges a recours à une vieille technique de flic particulièrement pratique lors de témoignages devant le tribunal : il regarde à nouveau la photo, dans sa tête cette fois.

« Il y avait un câble d’alimentation branché au mur à côté du lavabo.

— Oui ! J’ai d’abord cru que c’était pour une liseuse et que M me Ellerton le laissait branché là parce que c’était dans cette partie de la maison qu’elle passait le plus clair de son temps. Ç’aurait été un endroit pratique pour la recharger parce que toutes les prises de la chambre de Martine étaient utilisées par les appareils médicaux. Tu crois pas ?

— Ouais, c’est possible.

— Sauf que j’ai un Nook et un Kindle… »

Bien sûr que t’as ces machins-là, pense Hodges.

« … et aucun des deux n’a de chargeur comme celui-là. Ils sont noirs. Celui-là était gris.

— Peut-être qu’elle avait perdu l’original et qu’elle s’en était racheté un à Tech Village. »

À peu près le seul magasin d’électronique de la ville depuis que Discount Electronix, l’ancien employeur de Brady Hartsfield, a fait faillite.

« Non. Les liseuses ont des chargeurs à deux broches. La fiche de celui-là était plus large, comme pour une tablette électronique. Sauf que mon iPad a aussi ce genre de chargeur et que celui de la salle de bains était bien plus petit. C’était un câble pour un appareil portable plus petit. Alors je suis allée à l’étage pour voir ce que je pouvais trouver.

— Et tu as trouvé… ?

— Rien qu’un vieux PC sur le bureau près de la fenêtre dans la chambre de M me Ellerton. Je veux dire vraiment vieux. Il était raccordé à un modem.

— Oh mon Dieu, non ! s’exclame Hodges. Pas un modem !

— C’est pas drôle, Bill. Ces femmes sont mortes . »

Hodges lève une main du volant et fait un signe d’apaisement.

« Désolé. Je t’écoute. C’est la partie où tu me dis que tu as allumé l’ordinateur ? »

Holly a l’air légèrement embarrassée.

« Euh, oui. Mais seulement pour les besoins d’une enquête que la police n’a clairement pas l’intention de mener. J’étais pas en train de fouiner . »

Hodges pourrait discuter mais s’abstient.

« Il n’y avait pas besoin de mot de passe alors je suis allée voir l’historique de M me Ellerton. Elle visitait pas mal de sites de vente en ligne et surtout beaucoup de sites médicaux sur la paralysie. Elle semblait particulièrement s’intéresser aux cellules souches, ce qui paraît logique étant donné l’état de santé de sa…

— Tu as fait tout ça en dix minutes ?

— Je lis vite. Mais tu sais ce que je n’ai pas trouvé ?

— De sites sur le suicide, j’imagine ?

— Oui. Alors comment pouvait-elle savoir pour l’hélium ? Et comment a-t-elle eu l’idée de dissoudre les comprimés dans la vodka et de la verser dans la sonde gastrique de sa fille ?

— Eh bien, dit Hodges, il y a cet ancien rituel ésotérique que l’on appelle lire des livres. Tu en as peut-être entendu parler.

— T’as vu des livres dans leur salon, toi ? »

Il se remémore le salon tout comme il s’est remémoré la photo de la salle de bains de Martine Stover, et Holly a raison. Il y avait des étagères de bibelots, le tableau des petits enfants aux yeux immenses et l’écran plat de la télé. Il y avait des magazines sur la table basse, mais étalés d’une façon qui suggérait davantage un élément de décoration qu’une réelle passion pour la lecture. Et puis, il ne s’agissait pas exactement de l’ Atlantic [8] Magazine culturel américain. .

« Non, dit-il, pas de livres dans le salon, mais j’en ai vu quelques-uns sur la photo de la chambre de Stover. L’un d’eux ressemblait à une bible. » Il regarde le Inside View plié sur les genoux de Holly. « Qu’est-ce qu’il y a là-dedans, Holly ? Qu’est-ce que tu caches ? »

Quand Holly rougit, elle passe en état d’alerte DEFCON 1 [9] Niveau d’alerte le plus élevé des forces armées américaines. De couleur rouge. , le sang lui montant aux joues de façon alarmante. C’est le cas maintenant.

« C’est pas du vol, dit-elle. C’est un emprunt . Je ne vole jamais, Bill. Jamais !

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