Mark Twain - Les aventures de Tom Sawyer

Здесь есть возможность читать онлайн «Mark Twain - Les aventures de Tom Sawyer» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Триллер, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Les aventures de Tom Sawyer: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les aventures de Tom Sawyer»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Tom Sawyer est un héros de fiction créé par Mark Twain qui apparaît en 1876 dans Les Aventures de Tom Sawyer. Inspiré de la jeunesse de l'auteur, c'est un personnage qui est devenu un symbole de liberté dans la culture populaire, mais que Twain a dépeint de manière contrastée et parfois critique.
Thomas Sawyer est un garçon orphelin, d'âge indéterminé, qui ne pense qu'à faire l'école buissonnière avec Huckleberry Finn et Joe Harper, à s'identifier aux personnages de ses romans d'aventures préférés et à jouer des tours à ses camarades. Amoureux de Becky, il n'a de cesse de l'impressionner, et lorsqu'il se retrouve perdu avec elle dans une grotte où ils sont bien près de mourir, il fait preuve de courage et fait tout son possible pour la consoler alors que lui-même est terrorisé.
Ce sont là les aspects du personnage qui ont donné de lui une image convenue d'enfant généreux, anti-conformiste, courageux et libre. Tom Sawyer représente ainsi aux yeux du public un certain idéal de l'enfant américain par ses qualités d'intelligence et de cœur.

Les aventures de Tom Sawyer — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les aventures de Tom Sawyer», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Cependant, tout a une fin et une sage procession de garçons et de filles, munis de chandelles dont le reflet tremblait sur les voûtes vingt mètres au-dessus de leurs têtes, se mit à descendre la pente rapide du couloir principal. Ce couloir n’avait guère plus de trois mètres de large. Sur chacune de ses parois s’ouvraient des galeries latérales très rapprochées. La grotte MacDougal était un véritable labyrinthe et l’on disait qu’on aurait pu errer pendant des jours et des nuits, descendant toujours plus bas dans le méli-mélo de ses couloirs, ses crevasses et ses gouffres, sans jamais en atteindre le fond, fût-ce dans les entrailles même de la terre. Si bien que personne ne pouvait se vanter de «connaître» la grotte. La plupart des jeunes hommes en avaient exploré une partie et Tom, pour sa part, en connaissait au moins autant qu’eux.

La procession s’étira le long du couloir central et bientôt de petits groupes l’abandonnèrent pour se livrer à une poursuite en règle dans les allées latérales. On s’évitait, on se guettait aux carrefours, on s’attaquait par surprise et l’on parvenait même à échapper à l’ennemi pendant une bonne demi-heure, sans s’écarter des endroits «repérés».

Groupe après groupe, les explorateurs, haletants, couverts de glaise et de coulées de chandelle se retrouvèrent à l’entrée de la grotte, ravis de leur journée. Alors, ils s’aperçurent avec stupeur qu’ils ne s’étaient pas inquiétés de l’heure et que la nuit était sur le point de tomber. La cloche du bac sonnait depuis un certain temps, et cette fin romantique à la belle aventure lui conférait, de l’avis de tous, un charme supplémentaire. On redescendit au galop et, lorsque le vieux bateau eut quitté la rive, personne, hormis le capitaine, ne regretta ce retard.

Huck était déjà à son poste quand le bac, tout éclairé, longea l’appontement. Le jeune garçon n’entendit aucun bruit à bord car tous les passagers, brisés de fatigue, s’étaient endormis. Il se demanda quel pouvait bien être ce vapeur et pourquoi il ne s’arrêtait pas, mais, comme il avait d’autres chats à fouetter, il n’y pensa plus. La nuit devenait très sombre. Les nuages s’amoncelaient. Dix heures sonnèrent. Les bruits s’apaisèrent, les lumières s’éteignirent, les derniers passants rentrèrent chez eux, le village s’endormit et le petit guetteur resta seul avec le silence et les fantômes.

À onze heures, les lumières de la taverne s’éteignirent. Il fit noir comme dans un four. Huck était toujours aux aguets mais rien ne se produisit. L’inutilité de sa mission commença à lui apparaître et il songea à aller se coucher.

Soudain, il perçut un bruit. Tous les sens en éveil, il fouilla l’obscurité. La porte de l’auberge qui donnait sur l’impasse se referma doucement. Huck se tapit dans un coin. Deux hommes passèrent tout près de lui. L’un semblait porter quelque chose sous son bras. Ça devait être le coffre! Ainsi, ils emportaient leur trésor! Fallait-il prévenir Tom? Mais non, c’était absurde Les deux hommes se perdraient dans la nuit et il serait impossible de retrouver leurs traces. Il n’y avait qu’à les suivre sans se faire voir. C’était une chose faisable, grâce à l’obscurité.

Huck se glissa hors de sa cachette et, pieds nus, léger comme un chat, il emboîta le pas aux voleurs de trésor, ayant soin de conserver entre eux et lui une distance suffisamment réduite pour ne pas les perdre de vue.

Ils suivirent le fleuve pendant un certain temps, puis tournèrent à gauche. Ensuite, ils s’engagèrent dans le chemin qui menait en haut de la colline de Cardiff. Passée la maison du vieux Gallois à flanc de coteau, ils continuèrent leur ascension. «Bon, pensa Huck, ils vont aller enfouir le coffre dans la vieille carrière.» Mais ils ne s’arrêtèrent pas à la carrière. Une fois au sommet, ils commencèrent à redescendre par un étroit sentier qui plongeait entre de hauts buissons de sumac. L’obscurité se referma sur eux.

Huck hâta le pas pour raccourcir la distance qui les séparait, sûr maintenant de ne pas être repéré. Il marcha ainsi un temps; puis craignant d’aller trop vite, il ralentit un peu, fit encore quelques mètres, puis s’arrêta. Il écouta: aucun autre bruit que le battement de son cœur. Une chouette ulula dans le lointain. Sinistre présage! Où se trouvaient donc les deux hommes. La partie était-elle perdue? Huck était sur le point de s’élancer quand quelqu’un toussota à un mètre de lui! La gorge du jeune garçon se serra, ses membres tremblèrent comme s’il avait été en proie à un violent accès de fièvre. Soudain, Huck se rendit compte de l’endroit où il était arrivé: à quelques mètres de l’allée qui donnait accès à la propriété de la veuve Douglas. «C’est parfait, se dit Huck, qu’ils enfouissent leur trésor ici. Il ne sera pas difficile à trouver!»

Une voix sourde s’éleva alors, la voix de Joe l’Indien.

«Que le diable emporte cette bonne femme, fit-il. Il y a du monde chez elle. Je vois de la lumière.

– Moi je ne vois rien», répondit une autre voix, celle de l’inconnu de la maison hantée.

Le sang du pauvre Huck se glaça dans ses veines. Joe avait dû entraîner son complice jusque-là pour l’aider à satisfaire sa vengeance. La première pensée du gamin fut de s’enfuir, mais il se rappela que la veuve Douglas avait souvent été très bonne pour lui et il se dit que les deux hommes avaient peut-être l’intention de l’assassiner. Il aurait bien voulu l’avertir du danger qu’elle courait, mais il n’osait pas bouger, de peur de révéler sa présence.

«Tu ne vois pas la lumière parce qu’il y a un arbuste devant toi, reprit Joe. Tiens, approche-toi. Tu vois, maintenant?

– Oui. En effet, il doit y avoir du monde chez elle. Nous ferions mieux de renoncer à notre projet.

– Y renoncer au moment où je vais quitter le pays pour toujours! Mais, voyons, l’occasion ne se représentera peut-être jamais. Je t’ai répété sur tous les tons que ce n’est pas son magot qui m’intéresse. Tu peux le prendre si ça te chante. Le fait est que son mari m’a toujours traité comme un chien et m’a fait condamner pour vagabondage quand il était juge de paix. Et ce n’est pas tout. Il m’a fait fouetter devant la porte de la prison. Fouetter comme un vulgaire nègre! Comprends-tu? Il est mort avant que je puisse me venger, mais c’est sur sa femme que je me vengerai aujourd’hui.

– Oh! ne la tue pas! Ne fait pas une chose pareille!

– La tuer! Qui a parlé de la tuer? Quand on veut se venger d’une femme, on ne la tue pas, on la défigure. On lui fend les narines, on lui coupe les oreilles.

– Mon Dieu! mais c’est du…

– Garde tes réflexions pour toi! C’est plus prudent! Je l’attacherai à son lit. Si elle saigne trop et qu’elle en meurt, tant pis pour elle. Je ne verserai pas une larme sur son cadavre. Mon vieux, tu es ici pour m’aider dans ma besogne. Seul, je n’y arriverai pas. Fourre-toi bien ça dans la tête. Si tu bronches, je te tue! Tu m’entends? Et si je suis obligé de te tuer, je la tuerai elle aussi. Comme ça, personne ne saura ce qui s’est passé.

– Eh bien, puisqu’il le faut, allons-y tout de suite. Plus vite ce sera fait, mieux ça vaudra… Mais j’en suis malade.

– Y aller tout de suite! Avec le monde qu’il y a chez elle! Dis donc, tu me ferais presque douter de toi. Nous pouvons attendre. Nous ne sommes pas pressés.»

Huck devina que les deux hommes n’avaient plus rien à se dire pour le moment. Mais le silence l’effrayait encore davantage que cette horrible conversation. Retenant son souffle, il tenta de faire un pas en arrière, se balança en équilibre précaire sur une jambe, faillit basculer d’un côté puis de l’autre, se rattrapa, et se stabilisa enfin avec d’infinies précautions. Encore un pas, puis un autre. Une branche craqua sous son pied. Il s’arrêta de respirer, écouta. Aucun bruit, le silence était total. Sa gratitude envers le Ciel fut sans bornes. Bientôt, il retrouva le sentier enfoui dans les sumacs, lentement il vira de bord avec la souplesse d’un bateau sur l’eau, puis repartit d’un pas rapide et prudent. Il ne prit finalement sa course qu’une fois arrivé à la carrière, et hors d’atteinte. Il courut d’une seule traite jusqu’à la maison du Gallois. Il tambourina à la porte de la ferme. Une fenêtre s’ouvrit et le vieil homme apparut encadré de ses deux fils, deux superbes gaillards.

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Les aventures de Tom Sawyer»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les aventures de Tom Sawyer» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «Les aventures de Tom Sawyer»

Обсуждение, отзывы о книге «Les aventures de Tom Sawyer» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x