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Gérard de Villiers: SAS à Istanbul

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Gérard de Villiers SAS à Istanbul

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Malko Linge, qui fait des extras pour la Central intelligence Agency, le Deuxième Bureau américain, n’est pas un agent secret ordinaire : c’est Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge. il possède un château en ruine. Chaque mission qu’on lui propose doit lui rapporter de quoi réparer une toiture, un pan de mur… Lorsque Washington lui confie une enquête sur un sous-marin atomique mystérieusement disparu dans les Détroits, Malko se doute qu’il aura affaire à forte partie.

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Servile, Krisantem bredouilla des explications techniques au sujet de son radiateur. Il n’avait plus qu’une chose à faire.

— Nous partons tout de suite, promit-il. Je dois seulement téléphoner à un ami.

Il s’éclipsa et courut à la cabine de l’hôtel. Il demanda le numéro de l’homme qu’il avait vu à son arrivée à Izmir. L’autre devait attendre près de l’appareil car il décrocha instantanément.

— C’est Krisantem, fit le Turc.

— Alors ?

— J’ai presque tout fini. Mais il y a un pépin.

— Quoi ! C’était plus un rugissement qu’autre chose. Succinctement, Krisantem expliqua l’intrusion de Watson dans l’histoire.

— Crétin, hurla l’autre. Pour quelques centaines de livres, vous risquez votre peau et la mienne ! Je devrais vous tuer sur place. Si cette enveloppe n’est pas reprise, je ne donnerai pas un kurus de votre peau, même si je dois vous étrangler moi-même.

— Mais…, coupa le Turc.

— Silence ! hurla son interlocuteur. Vous allez faire l’impossible pour récupérer cette enveloppe pendant le voyage.

— Oui, monsieur.

— Comment s’appelle ce type ?

— Watson, monsieur.

— Il habite le Hilton ?

— Oui.

— Je vais prévoir une solution de secours. Et je souhaite pour vous que tout se passe bien. Vous serez contacté ce soir à votre retour.

Il avait raccroché. Plutôt déprimé, le Turc alla retrouver son client. L’argent qui alourdissait sa poche revolver commençait à lui peser… Morose, il reprit son volant.

La route défilait, il chercha désespérément une idée. On allait arriver dans les collines. Un beau coin désert. Au point où il en était… Il ralentit imperceptiblement puis lâcha l’accélérateur. La Buick s’arrêta presque. Il redonna un coup d’accélérateur. La voiture fit un bond en avant.

— Qu’est-ce qui se passe ? demanda l’Américain.

— L’essence, je crois. Je vais être obligé de m’arrêter.

— Dépêchez-vous.

Krisantem rangea la Buick sur le bas-côté. Il sortit et ouvrit son capot. Il lui fallait attirer l’autre dehors, pour la suite, il avait son lacet… Après avoir fourragé quelques secondes dans le moteur, il se dirigea vers l’arrière, avec l’intention de demander un coup de main à son passager.

Sa phrase lui resta en travers du gosier. L’Américain était assis, un gros pistolet noir dans la main droite.

— Eh, qu’est-ce qui vous prend ? protesta le Turc. Watson montra son arme, un gros colt 45 automatique de l’armée.

— Je veux vous éviter des tentations. Le Turc sourit, crispé.

— Vous n’avez pas très confiance en moi.

— En personne, fit l’autre.

Pour la forme, Krisantem trafiqua encore dans son moteur quelques minutes, puis claqua le capot. Il fallait trouver autre chose. C’est une chose d’étrangler un homme par surprise, c’en est une autre de se trouver en face d’un pétard qui fait des trous comme le poing…

Les kilomètres passaient très vite. À l’endroit où avait basculé le corbillard, il n’y avait aucune trace de l’accident. De son volant, le Turc ne put rien apercevoir.

Quand il enfila l’avenue Bagdat-Caddesi, Krisantem n’avait encore rien trouvé. Il fallut attendre le ferry-boat une demi-heure. La nuit était tombée. De gros cargos descendaient lentement le Bosphore, évitant les Caïques et les innombrables barques. Ils passèrent la tour Toksim et prirent l’avenue Cumhuriyet. Le Hilton était en vue. Lentement, Krisantem vira à droite devant les taxis et prit l’allée qui conduisait à l’hôtel. En s’arrêtant sous le porche, il s’attendait presque à prendre une grenade dans la gueule.

Mais il n’y eut que le sourire en coin du portier.

— Attendez-moi, ordonna Watson. J’aurai peut-être encore besoin de vous.

Krisantem acquiesça avec empressement. L’Américain lui était devenu plus précieux que sa propre mère, une bien sainte femme, pourtant.

Watson prit sa clef. Il n’y avait aucun message. Il hésita un moment à confier la précieuse enveloppe au coffre, puis se dit qu’il était plus sûr de la garder. D’ailleurs, il avait bien l’intention de téléphoner tout de suite au correspondant de la C.I.A. à Istanbul pour demander des instructions.

L’ascenseur le déposa au huitième. Il eut un coup d’œil pour la photo de Leila, la danseuse du ventre du « Roof » dont la photo était placardée dans l’ascenseur. « Un truc à voir ce soir », pensa-t-il. Ça me détendra. Et puis, dans le Michigan, c’est un sport peu pratiqué.

L’épaisse moquette étouffait le bruit de ses pas. Il arriva devant sa chambre, le 807, mit la clef dans la serrure et entra.

Il n’eut pas le temps d’allumer. Quelque chose de lourd le frappa à la tempe. Il chancela et un second coup l’atteignit à la nuque. Comme une masse, il s’écroula dans la penderie, sans même pouvoir tirer son colt.

Chapitre VI

Watson s’écrasa sur la terrasse du bar, entre deux Suédoises et une famille turque venue prendre le frais. Tout de suite, une large tache rouge s’étala sur le marbre : la tête avait porté la première. La jeune Turque qui servait le café, déguisée en femme de harem, avec ses pantalons bouffants et son petit justaucorps, lâcha sa cafetière sur les genoux d’un vieil Anglais et s’enfuit en hurlant.

Le manager de l’hôtel, un gros Juif de nationalité indéterminée, accourut au milieu d’une escouade de garçons. On jeta une toile sur le corps.

— C’est un accident, un horrible accident, répétait-il tout pâle.

Il y en avait certainement qui n’étaient pas de cet avis-là car, dix minutes après la chute de Watson, trois hommes fendirent la foule, l’air sombre. L’un d’entre eux montra une carte aux deux agents de police turcs qui gardaient le corps. Ceux-ci s’écartèrent respectueusement. C’était le consul des États-Unis. Quant aux deux types qui l’accompagnaient, ils auraient porté sur le dos un écriteau « flic », on ne les aurait pas mieux reconnus.

Effectivement, c’en étaient et des plus coriaces. Ils étaient arrivés le matin même d’Ankara par le vol 115 de la Panam afin de prêter main-forte au type qui se trouvait définitivement étendu sur le marbre. Anciens « marines » tous les deux, ils étaient précieux en cas de coups durs, mais n’avaient rien d’un champion d’échecs.

— Il n’a rien sur lui, dit le consul en se relevant.

Il n’avait pas la conscience tranquille, le consul. C’est lui qui avait envoyé Watson à Izmir parce qu’il n’avait personne d’autre sous la main. Mais un officier de l’U.S. Navy n’était pas de taille à lutter contre des professionnels du renseignement.

— Sa chambre, dit laconiquement un des deux gorilles. Le type de la réception ne leur refusa pas la clef quand il vit leur tête. Ils s’engouffrèrent dans l’ascenseur, sans un mot.

Au moment d’entrer dans la chambre, sans même se parler, ils sortirent chacun un 38 spécial police. L’un s’écarta un peu de la porte, l’arme au poing. L’autre mit la clef dans la serrure et ouvrit d’un coup de pied.

Rien ne se passa. Ils se ruèrent dans la chambre. Tout était en ordre. La fenêtre était ouverte.

En cinq minutes, ils eurent retourné la pièce, vidant les tiroirs, sondant même les matelas. Ils vérifièrent la chasse d’eau, le fond des placards et ôtèrent l’arrière du poste de radio.

— Il n’a rien eu le temps de planquer, dit Chris Jones.

— Ils ont dû lui sauter dessus quand il est arrivé, observa Milton Brabeck.

Au moment où ils sortaient de la chambre, le directeur arrivait, accompagné de deux flics turcs en civil, l’air absent. Le directeur se tordait les mains.

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