Agatha Christie - Le Noël d'Hercule Poirot

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Le Noël d'Hercule Poirot: краткое содержание, описание и аннотация

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Est-ce une très bonne idée de réunir, à l’occasion des fêtes de fin d’année, des enfants qui ont tous de bonnes raisons de vous haïr ? Surtout quand il s’agit de leur annoncer que vous modifiez votre testament ?
Toujours est-il que, le 24 décembre, Simeon Lee, vieillard aussi riche que cynique, est sauvagement assassiné dans sa chambre. Et voici Hercule Poirot s’interrogeant sur Alfred et sa femme, tyrannisés depuis longtemps par leur père et beau-père ; sur Harry, qui ne lui pardonne pas les humiliations que sa mère a subies ; sur Pilar, la petite-fille espagnole, devant qui le vieil homme a peut-être imprudemment étalé ses diamants…
Beaucoup de monde. Et pour finir, un coupable présent dès le début, mais bien difficile à soupçonner…

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« … Qui aurait cru que le vieux avait tant de sang en lui ? Elle a dit cela ? Voilà qui est intéressant… »

VIII

Alfred Lee et sa femme entrèrent dans le petit salon où Poirot, Sugden et le chef constable attendaient debout. Le colonel Johnson s’avança :

« Bonjour, Mr. Lee. Nous ne nous sommes pas souvent rencontrés, mais, comme vous le savez peut-être, je suis le chef constable du comté. Je m’appelle Johnson. Permettez-moi de vous dire que toute cette affaire m’attriste. »

Alfred posa sur lui ses yeux de chien battu et prononça d’une voix enrouée :

« Merci. C’est affreux… terrible… Je… je vous présente ma femme. »

De sa voix calme, Lydia dit au chef constable :

« Cette mort a causé un choc terrible à mon mari… C’est horrible pour nous tous… mais particulièrement pour lui. »

Elle posa sa main sur l’épaule d’Alfred.

« Voulez-vous vous asseoir, Mrs. Lee ? lui dit le colonel Johnson. Permettez-moi de vous présenter M. Hercule Poirot. »

Hercule Poirot s’inclina. Son regard curieux allait de la femme au mari.

La main de Lydia s’appuya doucement sur l’épaule de son époux.

« Assieds-toi, Alfred. »

Celui-ci s’assit et murmura :

« Hercule Poirot. Mais… qui… qui ? »

Il se passa la main sur le front.

Lydia dit à son mari :

« Alfred, le colonel Johnson désire te poser plusieurs questions. »

Le chef constable la regarda d’un œil approbateur, heureux de voir en Mrs. Alfred une femme aussi raisonnable.

« Naturellement, naturellement », dit Alfred.

Johnson pensa : « Ce malheur semble l’avoir bouleversé. Pourvu qu’il se remette un peu ! »

« J’ai ici, dit-il tout haut, une liste des personnes présentes dans la maison au cours de la soirée. Mr. Lee, voulez-vous me dire si cette liste est exacte ? »

Il fit un geste à Sugden qui prit son carnet et relut la liste.

Peu à peu, Alfred reprit son assurance d’homme d’affaires. Redevenu maître de lui-même, il écouta Sugden avec attention et approuva :

« C’est tout à fait exact, fit-il.

— Voudriez-vous me donner quelques renseignements sur vos invités ? Mr. et Mrs. George Lee et Mr. et Mrs. David Lee sont vos parents, n’est-ce pas ?

— Ce sont mes deux frères et leurs femmes.

— Ils ne sont ici que de passage ?

— Oui, ils sont venus pour les fêtes de Noël.

— Mr. Harry Lee est aussi votre frère ?

— Oui.

— Et vos deux autres invités : Miss Estravados et Mr. Farr ?

— Miss Estravados est ma nièce. Mr. Farr est le fils d’un ancien associé de mon père, en Afrique du Sud.

— Ah ! un vieil ami. »

Lydia intervint.

« Non. Nous ne l’avions jamais vu auparavant.

— Et cependant vous l’avez invité à passer chez vous les fêtes de Noël ? »

Alfred hésita, puis consulta sa femme du regard. Elle déclara d’une voix claire :

« Mr. Farr est arrivé ici, hier, sans être attendu. Comme il se trouvait dans le voisinage, il est venu faire une visite à mon beau-père. Apprenant que ce jeune homme était le fils de son vieil ami et associé, mon beau-père voulut absolument le retenir pour les fêtes.

— Je comprends, fit le colonel Johnson. En ce qui concerne les domestiques, Mrs. Lee, tous sont dignes de confiance ? »

Lydia hésita avant de répondre. Puis, elle déclara :

« Oui. Tous sont honnêtes et la plupart nous servent depuis des années. Le maître d’hôtel Tressilian était dans la maison alors que mon mari n’était qu’un bambin. Les seuls nouveaux sont Joan, la petite bonne et le valet de chambre personnel de mon beau-père.

— Que pensez-vous de ces deux-là ?

— Joan est une brave petite, un peu sotte. C’est tout le mal qu’on peut dire d’elle. Je ne connais pas beaucoup Horbury. Il n’est ici que depuis un an. Il remplissait très bien son service et mon beau-père s’en montrait satisfait. »

Poirot demanda, d’un ton plein de finesse :

« Et vous, madame, en étiez-vous aussi satisfaite ? »

Lydia haussa légèrement les épaules.

« Je n’avais pas affaire à cet homme.

— Pardon, madame, en votre qualité de maîtresse de maison, vous avez la surveillance des domestiques.

— Oui, bien sûr. Mais Horbury, serviteur personnel de mon beau-père, n’était pas sous ma surveillance.

— Je comprends.

— Arrivons maintenant aux événements de la nuit, dit le colonel Johnson. Je vous demande là un effort pénible, Mr. Lee, mais voulez-vous me faire le récit de ce qui s’est passé. »

Alfred lui répondit d’une voix basse :

« Bien sûr. »

Vivement, le colonel posa les questions :

« Quand avez-vous vu votre père pour la dernière fois ? »

Un spasme douloureux contracta les traits d’Alfred, qui répondit d’une voix brisée :

« Après le thé, je demeurai près de lui un court moment. Enfin, je lui souhaitai une bonne nuit et le quittai… Il pouvait être… six heures moins le quart. »

Poirot remarqua :

« Vous lui avez dit bonne nuit. Vous ne pensiez donc pas le revoir de la soirée ?

— Non. Le soir, mon père mangeait très légèrement et on lui montait son souper de bonne heure ou bien il demeurait assis dans son fauteuil. Mais il ne voulait pas être dérangé, à moins qu’il ne nous fît appeler.

— Cela arrivait-il souvent ?

— De temps à autre, lorsqu’il se sentait d’humeur à bavarder.

— Mais ce n’était pas une habitude ?

— Non.

— Continuez, je vous en prie, Mr. Lee. »

Alfred reprit son récit :

« Nous dînâmes à huit heures. À la fin du repas, ma femme et les autres dames gagnèrent le salon. »

Alfred ouvrit de grands yeux effarés et sa voix s’altéra :

« Nous étions assis là… à la table… quand soudain, au-dessus de nous, se produisit un bruit effrayant. Tables et chaises renversées, porcelaines brisées ; puis… Oh ! mon Dieu ! (Il frissonna.) Je l’entends encore… mon père… poussa un long cri affreux… celui d’un homme souffrant horriblement… »

De ses mains tremblantes, Alfred se couvrit le visage. Lydia lui toucha le bras d’un geste affectueux.

« Et alors ? » demanda le colonel Johnson.

Alfred Lee prononça d’une voix étouffée :

« Nous demeurâmes un moment atterrés. Puis nous nous levâmes et d’un bond nous courûmes à la porte pour gagner l’escalier et la chambre de mon père. La porte était fermée à clef. Impossible d’entrer. Enfin, on défonça la porte et alors nous vîmes… »

Sa voix se brisa.

Johnson intervint :

« Inutile d’entrer dans ces détails, Mr. Lee. Revenons plutôt au moment où vous étiez dans la salle à manger. Qui s’y trouvait avec vous quand vous entendîtes le cri ?

— Qui ?… Mais nous y étions tous… Non, attendez. Mon frère était avec moi… mon frère Harry.

— Personne autre ?

— Non.

— Où se trouvaient les autres messieurs ? »

Alfred soupira et fit un effort pour répondre :

« Laissez-moi me souvenir pour être bien précis. Il me semble que c’est loin… qu’il y a des années… Ah ! oui. J’y suis. George était au téléphone. Alors nous commençâmes à discuter affaires de famille, et Stéphen s’excusa, disant que nous avions besoin d’être seuls pour ce genre d’entretien. Il nous quitta, avec beaucoup de tact et de gentillesse.

— Et votre frère David ? »

Alfred réfléchit :

« David ? Était-il avec nous ? Non, mais je ne puis dire au juste à quel moment il a quitté la salle à manger. »

Aimable, Poirot intervint :

« Ainsi, vous vouliez discuter d’affaires de famille ?

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