Samson, Apolog. , L. II, c. 5.
Idem, ibid. , L. II, c. 3.
De Tocqueville.
Voyez les vers que cite Ibn-Adhârî, t. II, p. 114, ceux qui se trouvent chez Ibn-Haiyân, fol. 64 v., et ceux que j’ai publiés dans mes Notices sur quelques manuscrits arabes , p. 258, 259. Il est remarquable que les Arabes n’appliquent jamais aux chrétiens cette épithète infamante.
On nous permettra de donner ce nom tant aux renégats proprement dits, qu’à leurs descendants.
Voyez le Cartâs , p. 23, l. 1.
Anciennement Secunda. Voyez Maccarî, t. I, p. 899, dernière ligne.
Voyez Akhbâr madjmoua , fol. 99 v. – 100 v., Ibn-Adhârî, t. II, p. 68-70.
Voyez Ibn-al-Khatib, man. P., fol. 213 v. – 214 v., Ibn-al-Coutîa, fol. 15 r.
Ibn-al-Coutîa, fol. 17 v.
Abd-al-wâhid, p. 12; Ibn-al-Coutîa, etc.
Akhbâr madjmoua , fol. 99 r.
Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 18 v.
Voyez Ibn-Khallicân, t. I, p. 615, éd. de Slane, et cf. Weil, t. II, p. 42, 43.
Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 18 r., Maccarî, t. II, p. 154.
Yahyâ, de la tribu berbère de Maçmouda, était client de la tribu arabe des Beni-’l-Laith.
Voir Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 19-21, éd. Wüstenfeld.
Maccarî, t. I, p. 491, nº 12.
Voyez Akhbâr madjmoua , fol. 102 v.
Voyez ibid. , fol. 101 r. et v., Ibn-Adhârî, t. II, p. 80.
Abd-al-wâhid, p. 13
La date, d’après Ibn-Adhârî, est 189 de l’Hégire. Nowairî donne par erreur 187.
Chez Ibn-al-Contîa on lit Brnt , sans voyelles, et dans l’ Akhbâr-madjmoua, Bznt ; mais chez Ibn-al-Abbâr on trouve Yaznt . En ajoutant toutes les voyelles, c’est Yazinto, Jacinto en espagnol. On sait que les Arabes, de même que les Romains, aimaient à donner à leurs esclaves le nom de quelque pierre précieuse (cf. Fraehn, Ibn-Foszlan’s Berichte über die Russen älterer Zeit , p. XXXIX).
Ibn-al-Coutîa, fol. 21 r.; cf. Nowairî, p. 450, et voyez aussi les articles sur Yahyâ, dans Ibn-Khallicân et dans Maccarî.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 74; Nowairî, p. 452.
Voyez Isidore de Béja, c. 49, 62, 69, 77.
Urbs regia , Isidore, c. 49; médîna al-molouc , Cazwînî, t. II, p. 366.
Ibn-al-Coutîa, fol. 19 r.
Voyez Annal. Berlin. , ad ann. 809 et 810.
Ibn-Adhârî.
Nowairî, Ibn-al-Coutîa.
Ibn-al-Coutîa, fol. 19 r. – 20 v.; Nowairî, p. 450 – 452; Ibn-Khaldoun, fol. 6 v., 7 r.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 72. La date que donne ce dernier auteur est erronée. – Dans l’année 611, un roi de Perse avait employé, pour punir les Témîmites, un stratagème de même genre. Voyez Caussin, t. II, p. 576 – 578.
Voyez sur ces muets , Akhbâr madjmoua , fol. 103 r. (cf. 94 r.); Ibn-Adhârî, t. II, p. 81; Nowairî, p. 456; Ibn-Khaldoun, fol. 7 r.
Voyez la note B, à la fin de ce volume.
Nowairî, p. 453, 454.
Ibn-al-Abbâr, p. 40; Akhbâr madjmoua , fol. 103 v.
Ibn-al-Coutîa, fol. 23 r. et v.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 78; Nowairî, p. 454.
Quatremère, Mémoires sur l’Egypte , t. I; Ibn-Khaldoun, t. III, fol. 44 r. et v.; t. IV, fol. 6 v.; Ibn-al-Abbâr, p. 40.
Cartás , p. 21-23, 25, 70, 71; Becrî, dans les Notices et Extraits , t. XII, p. 574577.
Khochanî, p. 250.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 79.
Nowairî, p. 454.
Abd-al-wâhid, p. 14; cf. Ibn-al-Coutîa, fol. 22 r.
Ibn-al-Coutîa, fol. 22 r. -23 r. Dans une tradition rapportée par Maccarî (t. I, p. 900), le caractère de Tâlout se présente sous un jour plus favorable; mais j’ai cru devoir reproduire le récit beaucoup plus circonstancié d’Ibn-al-Coutîa.
Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 23 r., Ibn-Adhârî, t. II, p. 82.
Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 41, Akhbâr madjmoua , fol. 104 v., Ibn-al-Coutîa, fol. 23 v., 24 r.
Apud Ibn-Adhârî, t. II, p. 73, 74. Dans le premier vers il faut lire raäbto (au lieu de raäito ) et râkï’â (au lieu de râkiman ); ces deux leçons, les seules véritables, se trouvent dans Maccarî, t. I, p. 220.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 93; Maccarî, t. I, p. 223; Euloge, Memor. Sanct. , L. II, c. 1.
Voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 94.
Maccarî, t. I, p. 223.
Voyez Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 20 éd. Wüstenfeld.
Voyez Khochanî, p. 257.
Voyez Khochanî, p. 265-6.
Cf. Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 20.
Voyez Khochanî, p. 265-6.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 83.
Voyez la biographie de Ziryâb dans Maccarî, t. II, p. 83 et suiv.