Voyez mes Recherches , t. I, p. 126 et suiv.
Chez Ahmed ibn-abî-Yacoub, qui écrivait vers l’année 890, Mérida (sur le Guadiana) est une ville frontière. Voyez de Goeje, Specimen liter. exhibens descriptionem al-Magribi , p. 16, l. 1-3 du texte arabe.
Voir Mon. Sil., c. 42 à la fin, et Chron. Conimbr. II .
Chron. Albeld. , c. 64. L’expression: castra de Nepza , dont se sert ce chroniqueur, signifie les châteaux de la tribu berbère de Nefza, laquelle habitait entre Truxillo et le Guadiana; voyez Ibn-Haiyân, fol. 99 r., et 101 v.
Ibn-Haiyân, fol. 99 r.
Voyez Ibn-Haiyân, fol. 83 r., et comparez la description de Zamora que donne Masoudî (dans mes Recherches , t. I, p. 181).
Ibn-Haiyân, fol. 98 v. -102 v.; Sampiro, c. 14.
Charte chez Sota, Escr. 1; autre charte (de l’année 993) dans l’ Esp. sagr. , t. XIX, p. 383.
Charte chez Berganza, t. I, p. 197, col. 2, l. 6.
Mon. Sil., c. 44, 45; Ibn-Khaldoun, fol. 14 v. J’ai suivi ce dernier auteur pour ce qui concerne la date.
Arîb, t. II, p. 176; Ibn-Khaldoun, fol. 14 v.
Voyez Arîb, t. II, p. 186, l. 3 et 4.
Arîb, t. II, p. 177, 178; Sampiro, c. 17; Mon. Sil., c. 46, 47.
Nécour était une ville du Rîf marocain, à cinq lieues de la mer.
Voyez mes Recherches , t. II, p. 285, 293, 294.
Voyez ce que j’ai dit sur le texte et le sens de ces vers, dans les Annales de Gœttingue, année 1858, p. 1091, 1092, en rendant compte de l’Ibn-Khaldoun de M. de Slane.
Arîb, t. I, p. 177, 178; Becrî, p. 94-97 éd. de Slane; Ibn-Adhârî, t. I, p. 178-183; Ibn-Khaldoun, Hist. des Berbers , t. I, p. 282-285 du texte.
Mon. Sil., c. 47.
Arîb, t. II, p. 179.
Le texte d’Arîb montre que telle est la véritable leçon, mais on ignore la situation de cet endroit.
Arîb, t. II, p. 179-181; Sampiro, c. 18.
Entre Estella et Pampelune, ou, plus précisément encore, entre Muez et Salinas de Oro.
Arîb, t. II, p. 183-189; Ibn-Khaldoun, fol. 13 v., 14 v.; Sampiro, c. 18; Raguel, Vita vel passio Sancti Pelagii (collection de Schot, t. IV, p. 348).
C’est dans cette année que l’expédition d’Ordoño doit avoir eu lieu, car Sampiro dit qu’en retournant à Zamora, le roi trouva sa femme morte, et d’un autre côté il est certain que la reine mourut dans l’été de 921; voyez Esp. sagr. , t. XXXVII, p. 269.
Sampiro, c. 18.
Sampiro, c. 19.
Sancho cite ce texte dans un privilége donné après la prise de Viguera. Esp. sagr. , t. XXXIII, p. 466.
Ce bruit n’était vrai qu’en partie; quelques nobles, mais en petit nombre, réussirent à se sauver. – Comparez Arîb, t. II, p. 195, avec Ibn-Haiyân, fol. 15 r.
Arîb, t. II, p. 196-201; Ibn-Khaldoun, fol. 13 v.
En 311 de l’Hégire (Arîb, t. II, p. 195), et par conséquent avant le 9 avril 924.
Voir mes Recherches , t. I, p. 154-163.
Ibn-Khordâdbeh, man. d’Oxford, p. 90.
Arîb, t. II, p. 211, 212; Ibn-Adhârî, t. II, p. 162.
Voyez Esp. sagr. , t, XXXIV, p. 241.
Comparez Arîb, t. II, p. 220.
Voyez mes Recherches , t. I, p. 164-166.
Sampiro, c. 22.
Arîb, t. II, p. 222.
Sampiro, c. 22.
Voyez mes Recherches , t. I, p. 166-170.
Ibn-Khaldoun, fol. 15 r.
Voyez les citations dans mes Recherches , t. I, p. 232, 233.
En 915 ou dans l’année suivante. Arîb, t. II, p. 175.
Ibn-Khaldoun, fol. 13 r.; Akhbâr madjmoua , fol. 114 r. et v.; Masoudî, dans mes Recherches , t. I, p. 182.
Ibn-Khaldoun, dans mes Recherches , t. I, Appendice, nº XI, et man., fol. 15 r., l. 15 et 16.
Vita Johannis Gorziensis , c. 136.
Ibn-al-Abbâr, p. 124, l. 8 et 9.
Maccarî, t. I, p. 92.
Voyez Ibn-Haucal, man. de Leyde, p. 39. Les chroniqueurs de Cordoue donnent à Otton I erle titre de roi des Slaves ; voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 234, Maccarî, t. I, p. 235.
Ibn-Haucal, p. 39.
Liudprand, Antapodosis , L. VI, c. 6.
Ibn-Haucal, p. 39; Maccarî, t. I, p. 92. Comparez Reinaud, Invasions des Sarrasins en France , p. 233 et suiv.
Maccarî, t. II, p. 57.
Maccarî, t. I, p. 372, 373.
Dans la suite, du moins, il n’est plus question de lui.
Le calife fit tout ce qu’il pouvait pour le faire relâcher, mais Mohammed ne recouvra la liberté qu’au bout de deux ans.
Voyez mes Recherches , t. I, p. 171-186.
Dans Sampiro (c. 19) il faut lire placitum au lieu de palatium , comme porte l’édition de Florez. La bonne leçon se trouve dans le man. de Leyde (fonds Vossius, nº 91). Lucas de Tuy (p. 92) emploie ici le mot juneta (aujourd’hui junta en espagnol), qui est à peu près l’équivalent de placitum . Cf. Esp. sagr. , t. XIX, p. 383 med.
Voyez Sampiro, c. 19.
Egregius comes. Voyez Berganza, t. I, p. 215.
Sampiro, c. 23.
Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 140.
Ibn-Adhârî, t. II, p. 226.
Plusieurs chroniqueurs ont donné des renseignements tout à fait faux sur le premier séjour d’Abou-Yézîd à Cairawân. J’ai suivi Ibn-Sadoun ( apud Ibn-Adhârî, t. I, p. 224-226), auteur presque contemporain et dont le récit circonstancié porte un cachet de vraisemblance que les autres n’ont pas.
Cf. Kairaouânî, Histoire de l’Afrique , p. 104, trad. Pellissier et Rémusat.
Voyez sur Abou-Yézîd, Ibn-Adhârî, Ibn-Khaldoun, Kairaouânî Aboulfeda etc.
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