Stendhal - Souvenirs d'égotisme

De l’amour.

On pense à ces vers de Dante:

Voir: Vie de Henri Brulard , chapitre I er.

Je cite d’après l’édition de 1817. – Où Monselet avait-il donc pris que Beyle avait horreur des points d’exclamations?

Voir sur Lord Byron, Monti, etc., la lettre que Beyle adresse à Madame L. S. Belloc, l’auteur de Lord Byron , ( Correspondance inédite , p. 273 et suiv., vol. I; et dans Racine et Shakespeare (édition Michel Lévy): Lord Byron en Italie , 1816, p. 261-285).

Journal de Stendhal , p. 113.

Mignet: Portraits et notices historiques et littéraires , vol. I, p. 374 et 376.

Vol. XIII.

Dernières études historiques et littéraires , vol. II.

Correspondance inédite , vol. II, p. 149.

Album de Murcie.

Souvenirs inédits de Delécluze , ( Revue Rétrospective , dixième semestre, 1889) – p. 265.

Le Chapitre 35 est entièrement consacré à la Pasta.

Beyle avait entendu Kean à Londres, en 1821.

On dirait que Beyle avait devant lui la médaille frappée en 1829, à l’effigie de la Pasta et sur laquelle on lit: « Sublime nel canto, unica nell’azione. »

Histoire de ma vie , cinquième partie, chapitre III.

Nouveaux Lundis , vol. III, article sur Delécluze.

Le fait m’a été rapporté par M. Emile Chasles, fils de Philarète Chasles.

Arnould Frémy: Souvenirs anecdotiques sur Stendhal ( Revue de Paris , 11 septembre 1855).

Sainte-Beuve, Nouveaux Lundis , III, p. 109.

Sur les Souvenirs de soixante années de Delécluze, voir Nouveaux lundis , vol. 3.

Histoire de ma Vie , 5 epartie, ch. 3.

Vie de Henri Brulard.

En note, sur la première page du manuscrit: «A n’imprimer que dix ans au moins après mon départ, par délicatesse pour les personnes nommées. Cependant les deux tiers sont mortes dès aujourd’hui.»

Anagramme de Rome.

Le professeur de mathématiques de Beyle. Voir Vie de Henri Brulard .

Il était alors consul de France dans les États romains et résidant à Civita-Vecchia. (Note de Beyle.)

Voir ce volume, p. 275.

C’est sans doute la première fois qu’un Français écrivait le nom du grand poète anglais.

Voir Vie de Henri Brulard , ch. XXXII.

En note: «Ici quatre pages de descriptions de Altorf à Gersau, Lucerne, Bâle, Belfort, Langres, Paris; – occupé de moral, la description physique m’ennuie. Il y a deux ans que je n’ai écrit douze pages comme ceci.»

En blanc dans le manuscrit.

Voir sur Volterre les premières pages des Sensations d’Italie de Paul Bourget.

Voir Lamiel , chapitre XV.

Probablement le baron de Mareste. Voir Beyle, Correspondance et Lettres inédites , et Sainte-Beuve, Nouveaux Lundis , vol. III (article sur Etienne Delécluze).

Anagramme de Rome.

D’Argout.

Joseph Lingay, dont il sera question plus loin.

Alberte de Rubempré.

Lolo (Note de R. Colomb). Voir page 287 une lettre de Beyle où il est question de M. Lolot .

Thère ( là ) détail de ces sociétés. (Note de Beyle).

Ici description de la Chambre des Pairs (Note de Beyle). – La description est restée en blanc.

Comtesse Beugnot. Beyle lui dédia son premier ouvrage: Vie de Haydn, de Mozart et de Métastase , (1814).

Voir Journal , p. 129.

A la Tribuna .

Voir Armance .

M. de Tracy fut reçu à l’Académie en 1808 – il remplaçait Cabanis.

Ce général, que je voyais chez madame la comtesse Daru, était un des sabreurs les plus stupides de la garde impériale – c’est beaucoup dire. Il avait l’accent provençal et brûlait surtout de sabrer les Français ennemis de l’homme qui lui donnait la pâture. Ce caractère est devenu ma bête noire, tellement que le soir de la bataille de la Moskowa, voyant à quelques pas les tentes de deux ou trois généraux de la garde, il m’échappa de dire: «Ce sont des insolents de (mot illisible)!» propos qui faillit me perdre. (Note de Beyle).

Où M. Rod a-t-il pris que le comte de Ségur eut d’agréables relations avec Beyle? Voir Stendhal , p. 41.

En blanc dans le manuscrit.

En blanc dans le manuscrit.

M. de Ségur eut beaucoup de succès à la cour de Russie – succès diplomatiques et succès littéraires.

Il s’agit de Frédéric-Guillaume II.

Rome, sans doute.

Antoine-Louis-Claude Destutt, comte de Tracy, naquit en 1754 et mourut en 1836.

Ici un blanc, et en marge, cette simple note: les citrons.

Ici une demi-page blanche. Puis vient ex abrupto le portrait de M. de La Fayette.

En blanc dans le manuscrit.

M mede Tracy.

En blanc dans le manuscrit.

Ici un plan d’une partie de l’appartement du comte de Tracy – nº 38, rue d’Anjou-St-Honoré.

«Les louanges que j’entends chanter, pendant l’élégant dîner du magistrat, M. Taylor, à Bonaparte, dieu de la Liberté , me donnent des accès de jacobinisme et d’ultracisme.» V. Jacquemont, Journal , 3 epartie.

Ici une page en blanc et cette note:

Les lapins de tonneau et les cochons au bois de Boulogne.