Brown, Dan - Le symbole perdu

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— Katherine ? appela une voix.

Elle tourna la tête. Une silhouette solitaire se tenait au pied de l’obélisque.

— Robert !

Elle s’élança vers lui et le serra dans ses bras.

— J’ai appris la bonne nouvelle, murmura Langdon. Vous devez être soulagée.

— C’est un miracle, répondit-elle, d’une voix tremblante d’émotion. Les données qu’a sauvées Peter concernaient une découverte scientifique majeure. Ce sont tous les résultats d’expériences prouvant que la pensée humaine est réelle et a un effet mesurable et quantifiable sur le monde qui l’entoure.

Les travaux de Katherine montraient l’effet de la pensée humaine sur divers corps : cristaux de glace, générateurs d’événements aléatoires, mouvements de particules subatomiques. Les résultats étaient irréfutables. Il y avait là de quoi convaincre les plus sceptiques, et changer la vision des hommes sur toute la Terre.

— Tout va être bouleversé, lança-t-elle. Tout !

— C’est aussi ce que pense Peter.

Katherine chercha son frère des yeux.

— Il est parti à l’hôpital. Je le lui ai demandé comme une faveur personnelle.

— Merci, soupira Katherine, soulagée.

— Il voulait que je vous attende ici.

Katherine acquiesça en contemplant le grand obélisque blanc.

— Peter m’a confié qu’il vous emmenait ici. Il voulait vous parler de Laus Deo. Il n’en a pas dit davantage.

Langdon sourit.

— Je ne suis pas sûr d’avoir tout compris. (Il regarda à son tour le sommet du monument.) Votre frère m’a expliqué tant de choses ce soir, que je n’ai pas encore pu tout assimiler.

— Laissez-moi deviner... Les Mystères anciens, la science, et les Saintes Écritures ?

— Bingo.

— Bienvenue à bord ! fit-elle avec un clin d’œil. Peter m’a initiée à tout ça. Cela m’a beaucoup inspirée dans mes recherches.

— Intuitivement, pas mal de points me paraissent sensés. (Langdon secoua la tête.) Mais intellectuellement, je bute contre un mur...

Katherine, en souriant, passa un bras autour de ses épaules.

— Je peux essayer de vous montrer le chemin, Robert.

*

À l’intérieur du Capitole, l’Architecte Warren Bellamy marchait dans un couloir désert.

Un dernier devoir à accomplir...

Quand il arriva dans son bureau, il sortit une très vieille clé d’un tiroir. Elle était en fer, noire, longue et fine, usée par le temps. Il la glissa dans sa poche et se prépara à accueillir ses hôtes.

Robert Langdon et Katherine Solomon étaient en route. À la demande de Peter, Bellamy allait leur montrer la merveille du bâtiment, « un secret, disait le Grand Commandeur, que seul l’Architecte peut dévoiler »...

133.

Guère rassuré, Langdon avançait sur la passerelle qui courait sous le dôme du Capitole. Il jeta un coup d’œil inquiet par-dessus le garde-fou, pour regarder le sol tout en bas. Dix heures plus tôt, c’était là qu’il avait trouvé la main coupée de Peter.

Il vit la petite silhouette de l’Architecte, cinquante mètres en contrebas, quitter la Rotonde. Bellamy avait accompagné Langdon et Katherine jusqu’au balcon, et leur avait expliqué la marche à suivre.

Les instructions de Peter !

Langdon contempla la clé que lui avait laissée Bellamy. Puis il repéra le petit escalier qui menait au-dessus, encore plus haut. Au dire de l’Architecte, ils trouveraient au bout de ce passage une porte de métal... une porte qu’il faudrait ouvrir avec cette clé.

Derrière, avait dit Peter Solomon, se trouvait la merveille en question. Peter ne s’était pas étendu sur le sujet, mais avait insisté pour que cette porte soit ouverte à une heure bien précise.

Ils ne devaient pas la déverrouiller avant. Pourquoi ? se demanda Langdon en consultant de nouveau sa montre.

Il rangea la clé dans sa poche. De l’autre côté de la passerelle circulaire, Katherine se promenait avec nonchalance, ne souffrant manifestement d’aucun vertige. Elle admirait L’Apothéose de Washington de Brumidi, juste au-dessus de sa tête. De ce poste d’observation privilégié, les personnages de la fresque, qui décorait le dôme de cinq cents mètres carrés, s’offraient au regard jusque dans leurs plus infimes détails.

Langdon se retourna vers la paroi et murmura tout doucement :

— Katherine, c’est votre conscience qui vous parle... Pourquoi avez-vous lâchement abandonné votre ami Robert ?

Apparemment Katherine connaissait les propriétés acoustiques de la coupole, car elle lui répondit, dans un même murmure :

— Parce que Robert est une poule mouillée. Vous devriez venir vous promener avec moi. Nous avons tout le temps.

Elle avait raison. A contrecœur, Langdon avança vers Katherine, en rasant le mur.

— Ce plafond est étonnant ! s’extasiait-elle, en renversant la tête pour admirer l’œuvre. Des dieux de la mythologie au milieu de savants et de leurs inventions. Et cette image est au centre de notre Capitole.

Langdon leva les yeux vers les silhouettes monumentales de Franklin, Fulton et Morse. Un arc-en-ciel partait de ce groupe pour rejoindre George Washington, posté sur un nuage montant au ciel.

La grande promesse... l’homme devenant Dieu.

— C’est comme si l’essence des Mystères trônait au-dessus de la Rotonde, s’émerveilla Katherine.

Peu de fresques au monde, en effet, mêlaient science et mythologie. Cette image était un message des Mystères, et elle n’était pas ici par hasard. Les pères fondateurs considéraient l’Amérique comme une terre vierge, un terreau fertile où les graines de la sagesse ancienne pouvaient être semées. Aujourd’hui, cette image poignante – le père de la nation montant au ciel – veillait en silence sur les représentants du peuple, les chefs de partis et les présidents... Un rappel, un message pour le futur, l’annonce d’un temps où l’homme atteindra sa maturité spirituelle.

— Robert, souffla Katherine en continuant d’observer le groupe de savants rassemblés autour de Minerve. Cela a quelque chose de prophétique. Aujourd’hui, les dernières inventions technologiques servent à étudier les Mystères. La noétique est peut-être une science toute jeune, mais en même temps, son objet est le plus vieux qui soit : étudier l’esprit humain. Nous avons découvert que les Anciens comprenaient mieux l’homme que nous.

— C’est normal. L’esprit humain était la seule machine qu’ils avaient à leur disposition. Les premiers philosophes n’ont eu de cesse que de l’examiner.

— Exactement ! Les textes anciens ne parlent que de la puissance de l’esprit. Les Védas décrivent les flux de l’énergie mentale. La Pistis Sophia détaille la conscience universelle. Le Zohar explore la nature de l’esprit. Les écrits chamaniques décrivent, mille ans avant Einstein, l’« influence à distance » quand ils expliquent leur médecine par ondes mentales. Tout est là ! Et je ne parle pas de la Bible !

— Vous avez donc le même virus que votre frère ? Peter a voulu me convaincre, tout à l’heure, que la Bible est lardée d’informations scientifiques cryptées !

— C’est le cas. Et si vous ne croyez pas Peter, reportez-vous donc aux écrits ésotériques de Newton sur la Bible. Quand on commence à décoder les paraboles des Saintes Écritures, on s’aperçoit que c’est un traité complet sur l’esprit humain.

— À l’évidence, il est grand temps que je relise ce livre...

— Quand la Bible nous dit « construisez votre temple », reprit Katherine, n’appréciant guère le scepticisme de Langdon, un temple qu’il s’agit d’édifier « sans outils et sans bruit », de quel temple s’agit-il, selon vous ?

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