Brown, Dan - Le symbole perdu
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Tout franc-maçon apprenait la signification de cet escalier symbolique qu’il devait gravir, pour lui permettre de « participer aux mystères de la science humaine ». La franc-maçonnerie, comme la noétique et les Mystères anciens, vénérait le potentiel encore inutilisé de l’intellect humain, et de nombreux symboles maçonniques y faisaient référence.
L’esprit est comme cette coiffe d’or sur sa base de pierre. La pierre philosophale ! L’homme a en lui aussi cet escalier : la colonne vertébrale, par laquelle monte et descend l’énergie, reliant l’esprit divin au corps terrestre.
Ce n’était pas une coïncidence si la colonne vertébrale était composée de trente-trois vertèbres exactement. La base de la colonne, appelée le sacrum, signifiait littéralement « l’os sacré ».
Le corps est un temple !
La science, que magnifiaient les maçons, devait montrer à l’homme comment utiliser ce temple pour sa finalité la plus noble.
Malheureusement, expliquer la vérité à cet homme ne sauverait pas Katherine. Solomon regarda de nouveau la grille de symboles et poussa un long soupir.
— Il existe bel et bien un escalier secret sous ce bâtiment. Dès que vous aurez envoyé des secours pour Katherine, je vous y emmènerai.
Le géant tatoué le fixa intensément. Solomon soutint son regard, d’un air de défi.
— Soit vous sauvez ma sœur et je vous révèle ce secret, soit vous nous tuez tous les deux et vous ne saurez jamais où il se trouve.
L’homme baissa lentement le papier et secoua la tête.
— Vous me décevez beaucoup, Peter. Vous avez échoué à l’épreuve. Vous me prenez encore pour un idiot. Vous croyez que j’ignore la véritable nature de ce que je cherche ? Que je n’ai pas conscience de mon propre potentiel ?
À ces mots, l’homme se tourna et ôta sa tunique. Quand le tissu tomba au sol, Solomon découvrit le grand tatouage qui ornait son épine dorsale.
Seigneur...
Un grand escalier en spirale traversait son dos musclé, chaque marche arrimée à une vertèbre. Le souffle coupé, Solomon suivit des yeux l’hélice qui montait jusqu’à la base du crâne.
Puis le géant pencha sa tête en arrière, révélant le cercle de peau nue au sommet de la calotte. Le pourtour de la zone blanchâtre était orné d’un serpent se mordant la queue, se dévorant lui-même.
La Communion !
Lentement, l’homme se retourna vers Solomon. Le grand phœnix bicéphale, sur sa large poitrine, le contemplait de ses yeux morts.
— Je cherche le Mot perdu, déclara le géant. Allez-vous m’aider à le trouver... ou laisser mourir votre sœur ?
*
Il sait comment le trouver, songea Mal’akh. Il sait quelque chose qu’il refuse de me dire...
Peter Solomon avait révélé bien des secrets dans le caisson, bien plus que le vieil homme n’en gardait dans son souvenir. Les allers et retours entre la mort et la vie l’avaient rendu délirant et coopératif. Et curieusement tout ce qu’il avait dit avait trait à la légende du Mot perdu...
Le Mot perdu n’est pas une métaphore : il existe. Écrit dans une langue ancienne, il est gardé secret depuis des temps immémoriaux. Le Mot est capable de donner une puissance incommensurable à celui qui saura en percer le sens. Le Mot est resté caché jusqu’à aujourd’hui, et la Pyramide maçonnique a le pouvoir de l’exhumer.
— Peter..., reprit Mal’akh en fixant son prisonnier. Quand vous avez regardé cette grille de symboles, vous y avez vu un motif et vous avez eu une révélation. Cette grille a un sens caché pour vous. Je veux savoir lequel.
— Je ne vous le dirai que lorsque vous aurez envoyé une ambulance pour Katherine !
— Allons, allons, fit Mal’akh avec un grand sourire, je sais que la mort de votre sœur est en ce moment le cadet de vos soucis.
Sans un mot, il récupéra le sac de Langdon et sortit les objets cérémoniels qu’il avait emportés. Avec un soin méticuleux, il les disposa sur l’autel.
Un carré de soie, d’un blanc immaculé.
Un encensoir d’argent. De la myrrhe d’Egypte.
Un flacon empli du sang de Peter, mélangé à de la cendre.
Une plume noire de corbeau. Son stylet sacré.
Et le couteau sacrificiel, forgé dans le fer d’une météorite tombée dans le désert de Canaan.
— Vous pensez que j’ai peur de mourir ? s’écria Peter Solomon. Si Katherine meurt, plus rien ne me retient ici ! Vous avez tué toute ma famille ! Vous m’avez tout pris !
— Pas tout, répliqua Mal’akh. Pas encore.
Plongeant sa main dans la sacoche, il en sortit son ordinateur portable. Il l’alluma et releva la tête vers son captif.
— Je crains que vous n’ayez pas encore mesuré le véritable enjeu de ce soir.
117.
Langdon eut l’impression qu’une main invisible lui arrachait l’estomac lorsque le Faucon noir décolla, vira à quatre-vingt-dix degrés, et partit en trombe vers le temple maçonnique. Jamais il n’aurait cru qu’un hélicoptère pouvait aller à une telle allure. Katherine et Bellamy, durement éprouvés, étaient restés dans la maison avec un agent en attendant le retour de l’équipe d’intervention.
Au moment du départ, Katherine avait embrassé Langdon sur la joue avec tendresse.
— Soyez prudent, Robert, lui avait-elle murmuré à l’oreille.
À présent, Langdon était au bord de la syncope. Heureusement, le pilote, ayant pris sa vitesse de croisière, diminua les gaz.
Sato, assise à côté de lui, donnait ses ordres :
— Allez à Dupont Circle ! On atterrira là-bas !
— Dupont Circle ? s’exclama Langdon. C’est à cinq cents mètres de la Maison du Temple ! Pourquoi ne pas atterrir sur le parking ?
— Il faut arriver discrètement. Si le ravisseur nous entend, il...
— On n’a pas le temps ! Ce dingue va tuer Peter ! Le bruit de l’hélicoptère peut l’effrayer et le faire fuir...
Inoue Sato le fusilla du regard.
— Comme je vous l’ai dit, la vie de Peter Solomon n’est pas ma priorité. Je croyais avoir été claire sur ce point.
Langdon n’était pas d’humeur à entendre un nouveau laïus sur la sécurité nationale.
— Et moi, je suis le seul ici à pouvoir vous guider dans ce bâtiment et donc je...
— Baissez d’un ton, professeur ! Vous êtes un membre de mon équipe désormais, et j’attends de mes hommes une obéissance totale. Il est peut-être temps que je vous explique la gravité réelle de la situation.
Elle passa le bras sous son siège pour récupérer la mallette en titane. Elle l’ouvrit et alluma l’ordinateur qui se trouvait à l’intérieur. Le logo de la CIA s’afficha.
— Vous vous souvenez de cette perruque que l’on a trouvée tout à l’heure ?
— Oui.
— Il y avait une caméra à fibre optique cachée dans les cheveux.
— Une caméra ? Pour quoi faire ?
— Vous allez comprendre..., fit-elle en ouvrant un fichier.
PATIENTEZ SVP...
DÉCRYPTAGE EN COURS...
Une fenêtre vidéo s’ouvrit. Sato posa la mallette sur les genoux de Langdon, pour qu’il soit aux premières loges.
Une scène étrange apparut à l’écran.
Langdon sursauta.
On voyait un homme avec un bandeau sur les yeux. Une image sinistre. On eût dit un condamné qu’on menait au gibet – une corde autour du cou, la jambe gauche de son pantalon était relevée, ainsi que la manche droite de sa chemise, dont les pans étaient ouverts, laissant apparaître son torse nu.
Langdon écarquilla les yeux. Il avait lu suffisamment de livres sur les rituels maçonniques pour reconnaître celui-ci du premier coup d’œil.
La cérémonie d’initiation...
L’homme était très grand et musclé. Il avait la peau cuivrée et des cheveux blonds... La perruque ! Langdon reconnut immédiatement les traits de l’individu dont les tatouages étaient dissimulés par un épais fond de teint ! L’homme se tenait devant un grand miroir et filmait son reflet dans la glace.
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