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Charles Dickens: Oliver Twist (version non abrégée)

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Charles Dickens Oliver Twist (version non abrégée)

Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin. Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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« Il y a ici un enfant que la paroisse veut mettre en apprentissage ? dit M. Gamfield.

– Oui, mon bon homme, dit le monsieur au gilet blanc avec un sourire bienveillant. Que lui voulez-vous ?

– Si la paroisse veut qu’il apprenne un état bien agréable, comme de ramoner les cheminées par exemple, dit M. Gamfield, j’ai besoin d’un apprenti, et je suis disposé à m’en charger.

– Entrez. » dit le monsieur au gilet blanc.

M. Gamfield alla d’abord donner à son âne un coup sur la tête et une rude secousse à la mâchoire, par manière de précaution, pour qu’il ne lui prît pas fantaisie de s’en aller, puis suivit le monsieur au gilet blanc dans la salle où Oliver Twist avait vu le gentleman pour la première fois.

« C’est un état bien sale, dit M. Limbkins, quand Gamfield eut réitéré sa demande.

– On a vu des enfants qui ont été étouffés dans les cheminées, dit un autre monsieur.

– C’est à cause qu’on mouillait la paille avant de l’allumer pour les faire redescendre, dit Gamfield ; il n’y a que de la fumée, pas de flamme. D’ailleurs, la fumée n’est bonne à rien pour faire descendre un enfant ; elle ne fait que l’endormir, et c’est justement ce qu’il veut ; les enfants sont très entêtés, voyez-vous, très paresseux ; il n’y a rien de si bon qu’une belle flamme pétillante pour les faire descendre quatre à quatre ; ça vaut mieux pour eux, voyez-vous, à cause que, s’ils sont pris dans la cheminée, ils se trémoussent mieux pour se tirer d’affaire, quand ils se sentent rôtir la plante des pieds. »

Cet éclaircissement parut amuser beaucoup le monsieur au gilet blanc, mais un coup d’œil plus grave de M. Limbkins mit fin à sa gaieté. Le conseil se mit à délibérer pendant quelques minutes, mais à voix si basse, qu’on n’entendait que ces mots :

« Diminution de dépenses ; soyons économes ; l’occasion de publier un bon rapport. » Encore n’entendait-on ces expressions que parce qu’elles étaient répétées souvent avec énergie.

Enfin cette conversation à voix basse eut un terme, et les membres du conseil ayant repris leurs sièges et leur attitude majestueuse, M. Limbkins dit :

« Nous avons examiné votre demande, et nous ne pouvons l’accueillir.

– Nous la repoussons complètement, dit le monsieur au gilet blanc.

– Sans hésitation, » ajoutèrent les autres membres.

M. Gamfield se trouvait sous le coup de l’accusation frivole d’avoir déjà fait périr trois ou quatre enfants sous le bâton ; il lui vint à l’esprit que le conseil, par un singulier caprice, faisait peut-être entrer en ligne de compte dans sa décision cette circonstance accessoire. S’il en était ainsi, les administrateurs sortaient évidemment de leur manière de faire habituelle ; pourtant, comme Gamfield ne se souciait nullement de raviver ce souvenir, il se mit à tourner sa casquette dans ses doigts, et s’éloigna lentement de la table :

« Ainsi, messieurs, vous ne voulez pas me le donner ? dit-il en s’arrêtant sur la seuil de la porte.

– Non, répondit M. Limbkins ; ou du moins, comme c’est un métier malpropre, nous sommes d’avis que la récompense offerte devrait être diminuée. »

La physionomie de M. Gamfield devint radieuse ; il se rapprocha bien vite de la table et dit :

« Combien voulez-vous me donner, messieurs ? Voyons, ne soyez pas trop durs pour un pauvre homme ; combien me donneriez-vous ?

– Il me semble, que ce serait bien assez de trois livres dix shillings, dit M. Limbkins.

– C’est encore dix shillings de trop, dit le monsieur au gilet blanc.

– Allons, dit Gamfield, mettons quatre livres, messieurs, mettez quatre livres, et vous en êtes à tout jamais débarrassés ! Est-ce dit ?

– Trois livres dix shillings, répéta M. Limbkins avec fermeté.

– Tenez, messieurs, partageons le différend, dit Gamfield avec insistance ; trois livres quinze shillings.

– Pas une obole de plus, répondit M. Limbkins avec la même fermeté.

– Vous êtes pour moi d’une dureté désolante, dit Gamfield avec hésitation.

– Bah ! bah ! sottise ! dit le monsieur au gilet blanc ; ce serait encore une bonne affaire que de le prendre pour rien ; prenez-le, niais que vous êtes ; c’est un enfant comme il vous en faut, il a souvent besoin de correction ; cela lui fera du bien ; et son entretien ne sera guère coûteux, car depuis sa naissance il n’a jamais eu d’indigestion. Ah ! ah ! ah ! »

M. Gamfield jeta un coup d’œil sournois sur les membres du conseil, et, voyant le sourire sur toutes les figures, il se laissa aller à rire aussi lui-même.

L’affaire fut conclue, et M. Bumble reçut l’ordre de mener le jour même Oliver Twist devant le magistrat qui devait signer et approuver le contrat d’apprentissage.

En conséquence de cette détermination, le petit Oliver fut, à sa grande surprise, tiré de sa prison, et on lui fit mettre une chemise blanche. À peine avait-il terminé cette toilette inaccoutumée que M. Bumble lui apporta un bol de gruau, et, comme aux jours de fête, deux onces un quart de pain.

À cette vue, Oliver se mit à pleurer à chaudes larmes, pensant avec assez de vraisemblance que, si on l’engraissait de la sorte, c’est que le conseil avait l’arrière-pensée décidée de le tuer dans quelque vue d’utilité humanitaire.

« N’allez pas vous rendre les yeux rouges, Oliver, mais mangez bien et soyez content, dit M. Bumble d’un air magistral ; vous allez entrer en apprentissage, Oliver.

– En apprentissage, monsieur ! dit l’enfant tout tremblant.

– Oui, Oliver, dit M. Bumble ; les hommes bienfaisants et généreux qui vous tiennent lieu de père, Oliver, puisque vous n’en avez pas, vont vous mettre en apprentissage, vous lancer dans la vie, faire de vous un homme, bien qu’il en coûte à la paroisse trois livres dix shillings. Trois livres dix shillings, Oliver ! soixante-dix shillings ! Cent quarante pièces de six pence ! Et tout cela pour un misérable orphelin, qui n’est aimé de personne ! »

M. Bumble s’arrêta pour reprendre haleine, après avoir prononcé cette allocution d’un ton doctoral ; les larmes inondaient le visage du pauvre enfant et il sanglotait amèrement.

« Allons, dit M. Bumble avec moins d’emphase, car son amour-propre était flatté de l’impression que causait son éloquence ; allons, Oliver, essuyez vos yeux avec les manches de votre veste, et ne pleurez pas dans votre gruau ; c’est agir comme un sot, Oliver. » Sans aucun doute, car il y avait déjà assez d’eau dans le gruau sans cela.

En se rendant chez le magistrat, M. Bumble apprit à Oliver que tout ce qu’il avait à faire, c’était de paraître bien content, et, quand on lui demanderait s’il voulait entrer en apprentissage, de dire qu’il ne demandait pas mieux. Oliver promit d’obtempérer à ces deux injonctions, d’autant plus que M. Bumble lui donna doucement à entendre que, s’il y manquait, on ne pouvait répondre de ce qui lui en adviendrait. Arrivé au bureau du magistrat, il fut enfermé seul dans un petit cabinet, où M. Bumble lui ordonna de l’attendre.

L’enfant y resta une demi-heure, palpitant de crainte, et au bout de ce temps M. Bumble entr’ouvrit la porte, montra sa tête sans tricorne et dit à haute voix :

« Oliver, mon ami, venez trouver le magistrat. » En même temps, lançant à l’enfant un regard menaçant, il ajouta tout bas : « Attention à ce que je t’ai dit, petit vaurien. »

En entendant ces deux manières de parler un peu contradictoires, Oliver regarda ingénument M. Bumble avec de grands yeux ; mais celui-ci prévint toute observation de la part de l’enfant, en l’introduisant tout de suite dans une pièce voisine, dont la porte était ouverte. C’était une grande salle avec une grande fenêtre. Derrière un bureau élevé, siégeaient deux vieux messieurs à tête poudrée, dont l’un lisait un journal, tandis que l’autre, à l’aide d’une paire de lunettes d’écaille, parcourait un petit parchemin étalé devant lui. Devant le bureau, M. Limbkins était debout d’un côté, et de l’autre M. Gamfield, avec sa figure noire de suie, tandis que deux ou trois gros gaillards à bottes à revers paradaient dans la salle.

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