Charles Dickens - Oliver Twist (version non abrégée)

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Oliver Twist (version non abrégée): краткое содержание, описание и аннотация

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L'histoire concerne un orphelin, Oliver Twist, soumis à des privations et des vexations dans l'hospice paroissial où il fut laissé suite à la mort de sa mère. Choisi par tirage au sort par ses camarades affamés, il ose demander une portion supplémentaire de gruau et il est alors placé chez un croque-mort, d'où il s'échappe pour prendre la route de Londres ; dès son arrivée, il rencontre l'un des personnages les plus célèbres de Dickens, The Artful Dodger (rusé matois) , chef d'une bande de jeunes pickpockets. Naïvement confiant en son nouveau compagnon, il se laisse entraîner dans l'antre de son maître, le criminel Fagin.
Oliver Twist est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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– Oui, monsieur, tout de suite, répondit Oliver tirant le verrou et faisant tourner la clef dans la serrure.

– Tu es le nouvel apprenti, n’est-ce pas ? dit la voix à travers le trou de la serrure.

– Oui, monsieur, répondit Oliver.

– Quel âge as-tu ?

– Dix ans, monsieur, dit Oliver.

– Alors je vais te secouer, dit la voix ; tu vas voir, méchant bâtard que tu es ! »

Après cette promesse gracieuse, la voix se mit à siffler.

Oliver avait trop souvent éprouvé les effets de semblables promesses pour douter que celui qui parlait, quel qu’il fût, manquât à sa parole. Il tira les verrous d’une main tremblante et ouvrit la porte.

Il regarda un instant dans la rue, à droite, à gauche, pensant que l’inconnu qui lui avait adressé la parole par le trou de la serrure avait fait quelques pas pour se réchauffer ; car il ne voyait personne qu’un gros garçon de l’école de charité, assis sur une borne en face de la maison, occupé à manger une tartine de beurre, qu’il coupait en morceaux de la grandeur de sa bouche, et qu’il avalait avec avidité.

« Pardon, monsieur, dit enfin Oliver, ne voyant aucun autre visiteur ; est-ce vous qui avez frappé ?

– J’ai donné des coups de pied, répondit l’autre.

– Auriez-vous besoin d’un cercueil ?» demanda naïvement Oliver.

Le garçon parut furieux et dit que c’était Oliver qui aurait besoin de s’en procurer un avant peu, s’il se permettait de pareilles plaisanteries avec ses supérieurs.

« Tu ne sais sans doute pas qui je suis, méchant orphelin ? dit-il en descendant de sa borne avec une édifiante gravité.

– Non, monsieur, répondit Oliver.

– Je suis monsieur Noé Claypole, reprit l’autre, et tu es mon subordonné. Allons, ôte les volets, petit gredin. »

En même temps M. Claypole gratifia Oliver d’un coup de pied, et entra dans la boutique d’un air de dignité, qui lui donna beaucoup d’importance, quoiqu’il soit difficile à un garçon, avec une grosse tête, de petits yeux et une physionomie stupide, de paraître majestueux dans n’importe quelle situation ; à plus forte raison quand il joint à ces avantages extérieurs un nez rouge et des tâches de rousseur. Oliver enleva les volets, et, lorsqu’il voulut en porter un dans une petite cour à côté de la maison, où on les mettait pendant le jour, il chancela sous le poids et cassa un carreau ; Noé vint gracieusement à son aide, le consola en l’assurant qu’il le payerait, et daigna lui donner un coup de main. M. Sowerberry descendit bientôt, et presque aussitôt Mme Sowerberry parut ; Oliver paya le carreau, suivant la prédiction de Noé, et suivit celui-ci à la cuisine pour déjeuner.

« Venez près du feu, Noé, dit Charlotte ; j’ai retiré pour vous du déjeuner de monsieur un bon petit morceau de lard. Oliver, ferme la porte derrière M. Noé ; prends les morceaux de pain que j’ai mis sur le couvercle du coffre ; voici ton thé ; va-t’en l’avaler dans un coin et dépêche-toi, car il faut aller garder la boutique, entends-tu ?

– Entends-tu, enfant trouvé ? dit Noé Claypole.

– Quel drôle de corps vous faites, Noé ! dit Charlotte ; ne pouvez-vous laisser cet enfant tranquille ?

– Le laisser tranquille ! dit Noé ; mais il me semble que tout le monde le laisse assez tranquille comme ça. Il n’a ni père ni mère qui se mêle de ses affaires ; tous ses parents le laissent bien faire à sa guise ; hein, Charlotte ? Ah ! ah !

– Farceur que vous êtes ! » dit Charlotte en riant aux éclats.

Noé fit comme elle ; puis ils jetèrent tous deux un coup d’œil dédaigneux sur le pauvre Oliver Twist, qui grelottait assis sur un coffre au fond de la cuisine, et mangeait les restes de pain dur qu’on lui avait spécialement réservés.

Noé était un enfant de charité, mais non du dépôt de mendicité ; il n’était pas enfant trouvé, car il pouvait faire remonter sa généalogie jusqu’à son père et à sa mère, qui demeuraient près de là ; sa mère était blanchisseuse ; son père, ancien soldat, ivrogne et retiré du service avec une jambe de bois et une pension de deux pence et demi par jour. Les garçons de boutique du voisinage avaient eu longtemps l’habitude d’apostropher Noé dans les rues par les surnoms les plus injurieux, et il avait souffert sans mot dire. Mais maintenant que la fortune avait jeté sur son chemin un pauvre orphelin sans nom, que l’être le plus vil pouvait montrer du doigt avec mépris, il se vengeait sur lui avec usure. C’est là un intéressant sujet de réflexion. Nous voyons sous quel beau côté se montre parfois la nature humaine, et avec quelle similitude les mêmes qualités aimables se développent chez le plus noble gentilhomme et chez le plus sale enfant de charité.

Il y avait trois semaines ou un mois qu’Oliver demeurait chez l’entrepreneur de pompes funèbres, et M. et Mme Sowerberry, après avoir fermé la boutique, soupaient dans la petite arrière-boutique, quand M. Sowerberry, après avoir considéré sa femme à plusieurs reprises de l’air le plus respectueux, entama la conversation.

« Ma chère amie… »

Il allait continuer, mais Mme Sowerberry leva les yeux d’une façon si revêche qu’il s’arrêta court.

« Eh bien, quoi ? dit Mme Sowerberry avec humeur.

– Rien, chère amie, rien du tout, dit M. Sowerberry.

– Hein ? niais que vous êtes, dit Mme Sowerberry.

– Du tout, ma chère, dit humblement M. Sowerberry ; je pensais que vous ne vouliez pas m’écouter ; je voulais dire seulement…

– Oh ! gardez pour vous ce que vous aviez à dire, interrompit Mme Sowerberry ; je suis comptée pour rien ; ne me consultez pas, entendez-vous ? Je ne veux pas me mêler de vos secrets. »

À ces mots, elle poussa un éclat de rire affecté qui faisait craindre des suites violentes.

« Mais, ma chère, dit Sowerberry, il me faut votre avis.

– Non, non, que vous importe mon avis ? répliqua la femme d’un air pincé ; demandez conseil à d’autres. »

Et elle réitéra ce rire forcé qui faisait trembler M. Sowerberry. Elle suivait en ceci la politique ordinaire aux femmes, celle qui leur réussit le plus souvent : elle forçait son mari à solliciter comme une faveur la permission de lui dire ce qu’elle était curieuse d’apprendre, et, après une petite querelle qui ne dura pas tout à fait trois quarts d’heure, elle accorda généreusement cette permission.

« C’est seulement au sujet du petit Oliver, dit M. Sowerberry ; il a fort bonne mine, cet enfant.

– Le beau miracle ! il mange assez pour ça, répondit la dame.

– Ses traits ont une expression de tristesse qui lui donne l’air très intéressant, reprit M. Sowerberry. Il ferait un excellent muet 1, ma chère. »

Mme Sowerberry leva la tête en signe d’étonnement ; son mari s’en aperçut et, sans laisser le temps à la bonne dame de placer une observation, il continua :

« Non pas un muet pour accompagner le convoi des grandes personnes, ma chère, mais seulement pour les convois d’enfants ; ce serait une nouveauté d’avoir un muet d’un âge en rapport avec celui du défunt. Soyez sûre que cela ferait un effet superbe. »

Mme Sowerberry, qui montrait un goût exquis dans les questions relatives aux pompes funèbres, fut frappée de la nouveauté de cette idée ; mais comme elle eût compromis sa dignité en approuvant son mari, dans la circonstance actuelle, elle se contenta de lui demander avec beaucoup d’aigreur comment il se faisait que cette idée ne lui fût pas venue à l’esprit depuis longtemps. M. Sowerberry en conclut avec raison que sa proposition était bien accueillie ; il fut décidé sur-le-champ qu’Oliver serait tout d’abord initié aux mystères de la profession, et que, dans ce but, il accompagnerait son maître à la première occasion.

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