Marquis Sade - Marquis de Sade - Juliette ou les Prospérités du vice

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Marquis de Sade: Juliette ou les Prospérités du vice: краткое содержание, описание и аннотация

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" Juliette, ou les Prospérités du vice " est une œuvre du marquis de Sade, écrivain, philosophe, mais aussi membre des révolutionnaires, qui parut en 1801. Ce roman, qualifié de " libertin ", a fait scandale à sa publication parmi les critiques et la population française. Juliette est élevée dans un couvent, mais à l'âge de treize ans, elle est séduite par une femme qui entreprend de lui expliquer que la moralité, la religion et les idées de cette sorte sont dépourvues de sens. Toutes les considérations philosophiques évoquées au cours du récit sont de cet ordre : toutes les idées touchant à Dieu, la morale, les remords, l'amour, sont attaquées.

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Ici, Mme Delbène me demanda où j’en étais sur ces choses-là.

— Je n’ai point encore fait ma première communion, lui dis-je.

— Ah! tant mieux, me répondit-elle en m’embrassant; va, mon ange, je t’éviterai cette idolâtrie; à l’égard de la confession, réponds, lorsqu’on t’en parlera, que tu n’es pas préparée. La mère des novices est mon amie, elle dépend de moi, je te recommanderai à elle, et tu n’en seras point tracassée. Quant à la messe, malgré nous il faut y paraître; mais, tiens, vois-tu cette jolie petite collection de livres? me dit-elle en me montrant une trentaine de volumes reliée en maroquin rouge; je te prêterai ces ouvrages, et leur lecture, pendant l’abominable sacrifice, te consolera de l’obligation d’en être témoin.

— Ô mon amie! dis-je à Mme Delbène, que d’obligations je t’aurai! Mon cœur et mon esprit avaient devancé tes conseils… non sur la morale, tu viens de me dire des choses trop fortes et trop neuves pour qu’elles se fussent déjà présentées à moi; mais je ne t’avais pas attendue pour détester, comme toi, la religion, et ce n’était qu’avec le plus extrême dégoût que j’en remplissais les affreux devoirs. Que de plaisirs tu me fais en me promettant d’étendre mes lumières! Hélas! n’ayant rien entendu dire sur ces objets superstitieux, tous les frais de ma petite impiété ne sont encore dus qu’à la nature.

— Ah! suis ses inspirations, mon ange… voilà celles qui ne te tromperont jamais.

— Sais-tu, poursuivis-je, que tout ce que tu viens de m’apprendre est bien fort, et qu’il est rare d’être instruite à ce point à ton âge. Me permets-tu de le dire, ma bonne, il est difficile que la conscience soit au degré où tu peins la tienne, sans quelques actions très extraordinaires; et comment, pardonne à ma question, comment, dans ton intérieur, as-tu eu l’occasion des délits capables dé t’endurcir à ce point?

— Un jour tu sauras tout cela, me répondit la supérieure en se levant.

— Et pourquoi ces retards?… crains-tu?

— Oui, de te faire horreur.

— Jamais, jamais!

Et la compagnie qui se fit entendre empêcha Delbène de m’éclaircir sur ce que je brûlais de savoir.

— Chut, chut! me dit-elle, pensons au plaisir maintenant… Baise-moi, Juliette; je te promets ma confiance un jour.

Mais nos amies paraissent; il faut que je vous les peigne.

Mme de Volmar venait de prendre le voile, il y avait environ six mois. A peine âgée de vingt ans, grande, mince, élancée, fort blanche, les cheveux châtains, et le plus beau corps possible, Volmar, douée de tant de charmes, était avec raison une des élèves les plus riches de Mme Delbène, et, après elle, la plus libertine de toutes les femmes qui allaient assister à nos orgies.

Sainte-Elme était une novice de dix-sept ans, d’une figure charmante, très animée, de beaux yeux, une gorge moulée, et l’ensemble excessivement voluptueux. Élisabeth et Flavie étaient deux pensionnaires, dont la première avait à peine treize ans, la seconde seize. La figure d’Élisabeth était fine, des traits fort délicats, des formes agréables et déjà prononcées. Pour Flavie, c’était bien la plus céleste figure qu’il fût possible de voir au monde: on n’avait point un plus joli rire, de plus belles dents, de plus beaux cheveux; on ne possédait point une plus belle taille, une peau plus douce et plus fraîche. Ah! mes amis, si j’avais la déesse des fleurs à peindre, je ne choisirais jamais d’autre modèle.

Les premiers compliments ne furent pas longs; toutes, sachant bien la cause de leur réunion, ne tardèrent pas à en venir au fait; mais leurs propos, je l’avoue, m’étonnèrent. On ne saisit pas, au milieu même d’un bordel, tous ceux du libertinage, avec l’aisance et la facilité de ces jeunes personnes; et rien n’était plaisant comme le contraste de leur modestie, de leur retenue dans le monde, et de leur énergique indécence dans ces assemblées luxurieuses.

— Delbène, dit Mme de Volmar en entrant, je te défie de me faire décharger aujourd’hui; je suis épuisée, ma chère; j’ai passé la nuit avec Fontenille… J’adore cette petite friponne; de ma vie je ne fus mieux branlée… je n’ai jamais versé tant de foutre, avec tant d’abondance… avec tant de délices! Oh, ma bonne, nous avons fait des choses!

— Incroyables, n’est-ce pas? dit Delbène. Eh bien, je veux que nous en fassions ce soir de mille fois plus extraordinaires.

— Oh, foutre! dépêchons-nous donc, dit Sainte-Elme; je bande, moi: je ne suis pas comme Volmar, j’ai couché seule.

Et se troussant:

— Tiens, vois mon con… vois comme il a besoin de secours!

— Un moment, dit la supérieure; ceci est une cérémonie de réception. J’admets Juliette dans notre société: il faut qu’elle remplisse les formalités d’usage.

— Qui? Juliette? dit étourdiment Flavie qui ne m’avait point encore aperçue; ah! je connais à peine cette jolie fille… Tu te branles donc, mon cœur? continua-t-elle en venant me baiser sur la bouche… Tu es donc libertine… tu es donc tribade comme nous?

Et la friponne, sans plus de préliminaires, me prit le con et la gorge à la fois.

— Laisse-la donc, dit Volmar, qui, me troussant par derrière, examinait mes fesses; laisse-la donc, il faut qu’elle soit reçue avant que nous ne nous en servions.

— Tiens, Delbène, dit Élisabeth, regarde donc Volmar qui baise le cul de Juliette: elle la prend pour un petit garçon; la garce veut l’enculer!

(Et remarquez que c’était la plus jeune qui parlait ainsi.)

— Ne sais-tu pas, dit Sainte-Elme, que Volmar est un homme? Elle a un clitoris de trois pouces, et, destinée à outrager la nature, quel que soit le sexe qu’elle adopte, il faut que la putain soit tout à tour tribade ou bougre; elle n’y connaît pas de milieu.

Puis, s’approchant elle-même et m’examinant de tous côtés, attendu que Flavie montrait mon devant et Volmar mon derrière:

— Il est certain, poursuivit-elle, que la petite coquine est bien faite, et je jure qu’avant la fin du jour je saurai le goût de son foutre.

— Un moment donc, un moment, mesdemoiselles! dit Delbène en cherchant à rétablir l’ordre.

— Eh, sacredieu! presse-toi, dit Sainte-Elme, je bande! Qu’attends-tu donc pour commencer? Faut-il que nous fassions nos prières avant que de nous branler le con? A bas les robes, mes amies!…

Et, dans l’instant, vous eussiez vu six jeunes filles, plus belles que le jour, s’admirer… se caresser nues, et former entre elles les groupes les plus agréables et les plus variés.

— Oh! pour à présent, reprit Delbène avec autorité, vous ne pouvez me refuser un peu d’ordre:… Écoutez-moi: Juliette va s’étendre sur ce lit, et vous irez, chacune à votre tour, goûter le plaisir qui vous conviendra le mieux avec elle; moi, bien en face de l’opération, je vous prendrai toutes à mesure que vous la quitterez, et les luxures commencées avec Juliette s’achèveront sur moi; mais je ne me presserai point, mon foutre n’éjaculera que quand je vous aurai toutes les cinq sur le corps.

L’extrême vénération que l’on avait pour les ordres de la supérieure fit mettre à leur exécution la ponctualité la plus entière. Toutes ces créatures étant fort libertines, peut-être ne serez-vous pas fâchés d’entendre ce que chacune exigea de moi.

Comme elles arrivaient par rang d’âge, Élisabeth passa la première. La jolie friponne m’examina partout, et, après m’avoir couverte de baisers, elle s’entrelaça dans mes cuisses, se frotta sur moi, et nous nous pâmâmes toutes deux. Flavie vint après; elle y mit plus de recherches. Après mille délicieux préliminaires, nous nous couchâmes en sens inverse l’une et l’autre, et, de nos langues frétillantes, nous fîmes jaillir des torrents de foutre. Sainte-Elme approche, elle s’étend sur le lit, me fait asseoir sur son visage, et, pendant que son nez branle le trou de mon cul, sa langue s’enfonce dans mon con. Courbée sur elle par mon attitude, je puis la gamahucher de même: je le fais; mes doigts chatouillent son cul, et cinq éjaculations de suite me prouvent que le besoin qu’elle annonçait n’était pas illusoire. Je le lui rendis complètement; jamais encore je n’avais été plus voluptueusement sucée. Volmar ne veut que mes fesses, elle les dévore de baisers, et, préparant la voie étroite avec sa langue de rose, la libertine se colle sur moi, m’enfonce son clitoris dans le cul, se secoue longtemps, retourne ma tête, baise ardemment ma bouche, suce ma langue et me branle en m’enculant. La gueuse ne s’en tient pas là: m’armant d’un godemiché qu’elle-même fixe le long de mes reins, elle se présente à mes coups, et, les dirigeant au derrière, la coquine est sodomisée; je la branlais, elle pensa mourir de plaisir.

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