Louis Pauwels - L'homme éternel

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Nous ajouterons, en mémoire du colonel Fawcett et de Verrill, deux informations qui n'ont pas une valeur déterminante, mais qui furent recueillies par nous au cours de ces dernières années. La première nous fut fournie par M. Miguel Cahen, l'un des directeurs de la Société Magnesita S.A. qui, au Brésil, s'intéresse aux minerais industriels et particulièrement aux dérivés du magnésium utilisés en métallurgie. L'un des prospecteurs de cette société trouva, en lisière de la terra prohibida , un cristal singulier que M. Miguel Cahen fit parvenir à Jacques Bergier. Ce cristal se révélait à l'examen être du carbonate de magnésium d'une extraordinaire transparence, avec des propriétés très curieuses dans le spectre infrarouge et polarisant ces radiations. Aucun cristal de ce type n'est décrit en minéralogie. Bergier envoya ce cristal à l'Office national de Recherches aéronautiques français. Les spécialistes de cet office déclarèrent que ce cristal ne pouvait être que d'origine artificielle. Les choses en restèrent là, la Magnesita S.A. ne disposant pas d'autres échantillons.

La deuxième information nous parvint par le truchement d'une journaliste brésilienne, Cecilia Pajak, du journal O Globo . Selon Cecilia Pajak, il fut question, aux environs de 1958, d'extrader un certain nombre de criminels de guerre allemands réfugiés au Brésil. Certains se réfugièrent alors dans la terra prohibida . De coutume, ceux qui franchissent cette zone disparaissent à tout jamais. Il y eut exception dans le cas de ces nazis. Depuis 1964, leurs familles résidant au Brésil reçoivent des lettres postées de l'intérieur. Ces lettres affirment que ces hommes sont prisonniers, mais bien traités. Ils ne sont pas autorisés à dire de qui ils sont prisonniers… Sont-ils les otages de quelque cité secrète des anciens âges, dont parlait avec foi le colonel Fawcett ?

V. À PROPOS DE LA SCIENCE CHINOISE

Des scaphandres de quarante-cinq mille ans. – Bronze d'aluminium et alchimie. – Le Traité des mutations. – Le séismographe de Chang Heng. – Les machines astronomiques du premier siècle. – La tradition mathématique. – Les miroirs magiques. – Le Y-King. – Orgueil de l'Empire céleste.

Le contact intellectuel avec la Chine est malaisé. Même la connaissance de la langue ne permet que difficilement de saisir les arguments et les intentions de l'interlocuteur. À la date où nous écrivons ce livre, les physiciens européens du C.E.R.N. discutent du problème suivant : les récentes découvertes chinoises sur les « statons » constituent-elles un énorme progrès ou s'agit-il simplement de faits connus rédigés en langage culturel chinois ? La même perplexité règne dans les milieux de la physique américaine. Aussi laissons-nous au professeur Tschi Pen Lao de l'université de Pékin, ainsi qu'à l'Agence Chine nouvelle la responsabilité de leurs affirmations. Selon ces sources, on aurait découvert dans les montagnes du Hou-nan, ainsi que dans une île du lac Tongt'ing, des bas-reliefs de granit représentant des êtres non humains, ou plutôt des hommes scaphandres avec des trompes d'éléphant (appareil respiratoire ?). Ces êtres sont représentés, soit debout par terre, soit à la surface d'objets cylindriques flottant dans le ciel. Toujours selon ces sources, les bas-reliefs seraient vieux de quarante-cinq mille ans ! Voilà qui n'est pas opposé à nos thèses. Mais nous voudrions bien savoir comment cette date a été déterminée. Il existe des méthodes : thermoluminescence, paléomagnétisme permettant de déterminer les dates, là où le carbone radio-actif n'atteint pas. Cependant, à notre connaissance, ces méthodes n'ont jamais été appliquées in situ et l'académie des Sciences de Pékin ne répondant pas aux lettres, il est difficile de se prononcer… Souhaitons que l'information soit exacte, et relevons seulement le fait que les mythes chinois font de fréquentes allusions à des visiteurs extra-terrestres.

Les documents et les objets que l'on possède effectivement pour établir et prouver l'idée d'une science et d'une technique en Chine datent en fait des trois premiers siècles de l'ère chrétienne. Entre moins quarante mille et plus trois cents il y a une distance dans le temps considérable, la plus longue que nous ayons jusqu'à présent signalée dans ce livre.

C'est dans les tombes datant du IIe siècle après J.-C. que l'on a trouvé des objets en bronze d'aluminium. C'est bien entendu impossible, mais cela est. On ne peut obtenir du bronze d'aluminium sans électrolyse. Seulement, les alchimistes chinois l'ont fait. Comment ont-ils procédé ? C'est ce qu'on voudrait savoir. Il est intéressant, en tout cas, d'apporter quelques précisions sur l'alchimie chinoise. Nous utiliserons l'histoire du monde ancien de l'Unesco (troisième partie, édition anglaise). L'alchimie chinoise, dont les racines plongent dans les millénaires inconnus, aurait eu pour but de transmuer l'adepte en lui faisant acquérir une immortalité corporelle et la sagesse, mais la fabrication de l'or à partir d'un procédé de transmutation traditionnel était une étape vers l'obtention de produits susceptibles d'assurer à l'adepte la transgression de la condition humaine. Comme le précise bien l'ouvrage de l'Unesco, l'or alchimique n'était pas destiné à être vendu.

Le premier texte alchimique connu est le Ts'an-t'ung-Ch'i. Comme tous les maîtres secrets l'auteur écrit sous un pseudonyme. Le texte explique en quatre-vingt-dix paragraphes la fabrication à partir de l'or de la pilule d'immortalité par un traitement thermique complexe dans un récipient en forme d'œuf hermétiquement fermé. Comme dans le célèbre Traité des mutations l'exposé utilise le langage binaire des ordinateurs modernes. Les termes de Yang et de Yin : la double opposition qui est à la base de la doctrine du taoïsme, s'y trouve déjà.

Un certain nombre de traités d'alchimie ont été retrouvés, tous des trois premiers siècles de notre époque, mais faisant référence à des faits beaucoup plus anciens. Pour les auteurs, les alchimistes qui ont réussi le Grand Œuvre vivraient encore dans « une île des immortels ». D'autres textes alchimiques auraient été découverts depuis la révolution culturelle, Mao Tsé-toung s'intéressant à l'alchimie. Venons-en à ce qui peut être prouvé.

Il existe deux sources indiscutables concernant la Chine et sa science. L'une est l'ouvrage du Dr Alexander Kovda, directeur de la section des sciences exactes et naturelles de l'Unesco. L'autre est la monumentale histoire de la science en Chine de l'historien anglais Joseph Needham, publiée par l'université de Cambridge.

Une première certitude surprenante s'en dégage : les Chinois possédaient une science précise et fortement développée de la séismologie. Ceci est absolument unique dans l'histoire des anciennes civilisations. Ce sont les Chinois qui ont établi la liste exhaustive des tremblements de terre. Elle commence en 780 avant J.-C. et se poursuit jusqu'à 1644 après J.-C. Les dieux venus du ciel auraient exigé que cette liste soit réalisée, disent les chroniques. Ainsi les dieux s'intéressaient-ils d'une singulière façon à la structure du globe terrestre. Mais il y a plus extraordinaire. Chang Heng, né en 78, mort en 139, inventa le séismographe. Son appareil comprenait un pendule pouvant se déplacer dans huit directions et actionnant des mécanismes. À l'extérieur de l'appareil, il y avait huit têtes de dragons, chacune tenant une boule de bronze. Sous chaque tête, un crapaud, la bouche ouverte, recevait la boule. On avait ainsi des indications permettant ensuite, avec la règle et le compas, de trouver l'épicentre d'un tremblement de terre. Aucun doute ne peut être soulevé au sujet de l'existence de cet appareil. Mais on n'a peut-être pas suffisamment réfléchi à son interprétation possible. Il s'agit d'une application, dans le cadre des mœurs et des arts chinois de l'époque, de principes scientifiques avancés et supposant une connaissance de la structure de la Terre, des mathématiques et même de la propagation des ondes, dont on ignore l'origine. Toute trace de ce genre de recherche disparaît après la dynastie des Han. Pourquoi ?

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