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Isaac Asimov: Tyrann

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Isaac Asimov Tyrann

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Ce roman d’Isaac Asimov, inédit en français, appartient au cycle de Trantor. Dans l’Empire galactique décli­nant, les despotes de la planète Tyrann contrôlent de nombreux mondes, dont la Terre. Biron Farrill, le fils d’un de leurs principaux opposants qu’ils ont assassiné, échappe de peu à un attentat et réussit à quitter la Terre. Il y est aidé par son vieux maître, Sander Jonti et, en compagnie de la jolie Artémisia, gagne alors Lingane, une planète où s’organise la résistance contre Tyrann. Là, il découvre que le chef des opposants et l’auteur de l’attentat qui faillit lui coûter la vie sont un seul et même homme : Sander Jonti. Comment parviendra-t-il à dis­tinguer ses amis véritables de ses ennemis ? Lui reste-t-il une chance de sauver sa vie et d’anéantir les maîtres de Tyrann pour venger son père ?

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Jonti attendit patiemment la réponse, qui vint en un murmure à peine audible :

— Personne… Personne à ma connaissance ne pourrait en vouloir à ma vie. Ce que vous m’avez dit sur mon père est donc vrai !

— C’est vrai… Considérez cela comme… une conséquence de la guerre.

— Croyez-vous que cela me console ? Peut-être élèvera-t-on un monument à sa mémoire, un jour ? Un monument dont l’inscription radioactive sera visible à dix années-lumières dans l’espace ? Cela ne lui rendrait pas la vie…

Jonti attendit, mais Biron n’ajouta rien.

— Qu’avez-vous l’intention de faire ? finit-il par lui demander.

— Je rentre chez moi.

— Vous ne comprenez donc toujours pas votre situation ?

— J’ai dit que je rentrais chez moi. Que voulez-vous que je fasse d’autre ? S’il est vivant, je le tirerai de là. Et s’il est mort, je… je…

— Taisez-vous ! Vous parlez comme un enfant. Vous ne pouvez pas aller à Néphélos. Allez-vous finir par le comprendre ? Est-ce que je parle à un écolier ou à un jeune homme intelligent et sensé ?

— Que me conseillez-vous ? marmonna Biron.

— Connaissez-vous le directeur de Rhodia ?

— L’ami des Tyranni ? Oh, je le connais, ou du moins, je sais qui il est. Tout les habitants des Royaumes le savent. Hinrik V, directeur de Rhodia.

— Mais vous ne l’avez jamais rencontré personnellement ?

— Non.

— Vous ne pouvez donc pas savoir qui il est. Eh bien, Hinrik est un imbécile, et je parle littéralement. Mais, quand le ranch de Widemos sera confisqué par les Tyranni – et il le sera, comme mes terres l’ont été –, ils le donneront à Hinrik, car ils savent que là, il sera en de bonnes mains, de leur point de vue. Et c’est donc à Rhodia que vous devez aller.

— Pourquoi ?

— Parce que Hinrik, et c’est là son bon côté, a une certaine influence sur les Tyranni, autant du moins qu’une marionnette servile peut en avoir. Il pourrait vous faire rendre votre domaine.

— Je ne vois pas pourquoi. Il me paraît bien plus probable qu’il me livrera à eux.

— C’est probable, en effet, mais étant prévenu, vous avez une chance de pouvoir l’éviter. Par ailleurs, ne vous y méprenez pas : le titre que vous portez a une grande valeur, mais en lui-même, il ne suffit pas. Il faut avant tout être pratique. Par sentiment patriotique, et par respect pour votre nom, des hommes se rallieront à vous – mais, pour que la conspiration réussisse, et pour les tenir, il vous faudra de l’argent.

Biron réfléchit un moment :

— Il me faut du temps pour prendre ma décision.

— Impossible. Depuis que cette bombe a été placée dans votre chambre, les heures vous sont comptées. Le moment est venu de passer à l’action. Je peux vous donner une lettre d’introduction pour Hinrik de Rhodia.

— C’est un ami à vous ?

— Vos soupçons ne s’endorment pas facilement, hein ? L’Autarque de Lingane m’avait une fois chargé d’une mission auprès de Hinrik. Il est probablement trop gâteux pour se souvenir de moi, mais il n’osera pas le montrer. Cette lettre servira donc d’introduction auprès de lui ; ensuite, ce sera à vous d’improviser. Un vaisseau part pour Rhodia à midi. Je m’occupe du billet. Je pars également, mais par un autre itinéraire. Toutes vos affaires sont réglées, ici ?

— Sauf la remise officielle du diplôme.

— Un bout de parchemin. Cela vous importe tellement ?

— Plus maintenant.

— Avez-vous de l’argent ?

— Suffisamment.

— Bien. Il vaut mieux ne pas en avoir trop, cela risque d’éveiller les soupçons.

Il regarda attentivement le jeune homme, puis s’exclama brutalement :

— Farrill !

Cela arracha Biron à l’état de stupeur dans lequel il était retombé.

— Oui ?

— Retournez avec les autres. Ne dites à personne que vous partez. Ils l’apprendront bien assez tôt.

Sans un mot, Biron fit un signe d’assentiment. Dans un lointain recoin de son esprit, il avait conscience qu’il n’avait pas accompli sa mission et que, là aussi, il s’était montré indigne de la confiance de son père – de son père, qui allait peut-être mourir. Il était torturé par une amertume futile. On aurait dû lui en dire davantage. On aurait moins dû le protéger contre les dangers de cette entreprise. On n’aurait pas dû le laisser dans une telle ignorance.

Et maintenant qu’il avait appris la vérité, ou du moins une partie de la vérité, sur l’étendue du rôle de son père, il comprenait mieux l’importance du document qu’on l’avait chargé de se procurer dans les archives terrestres. Mais il était trop tard. Trop tard pour aller prendre le document. Trop tard pour sauver son père. Trop tard pour vivre, peut-être.

— Soit, Jonti, dit-il. Je ferai ce que vous m’avez dit.

* * *

Arrivé sur le perron du dortoir, Sander Jonti embrassa du regard le campus universitaire. Et son regard n’était certes pas admiratif.

En descendant l’allée pavée de briques qui serpentait sans subtilité dans ce cadre pseudo-champêtre caractéristique des universités depuis l’Antiquité, il pouvait voir, juste devant lui, la lueur de l’unique artère importante de la ville, et, au loin, l’éternelle radiation bleue, invisible le jour, témoin muet des guerres préhistoriques.

Jonti leva les yeux sur le ciel étoilé. Plus de cinquante ans s’étaient écoulés depuis que l’arrivée des Tyranni avait brutalement mis fin à l’existence indépendante d’une douzaine d’Etats prospères et en pleine expansion, là-bas, au delà de la Nébuleuse. Et ce qui les menaçait maintenant, c’était la paix par l’étouffement.

L’orage qui avait brusquement fondu sur eux avait une telle ampleur qu’ils ne s’en étaient toujours pas relevés. De temps en temps, par-ci, par-là, un monde s’agitait spasmodiquement, comme un membre malade. Organiser ces agitations, les transformer en un soulèvement cohérent et puissant, était une tâche difficile, et de longue haleine. En tout cas, cela faisait suffisamment longtemps qu’il s’attardait sur Terre. Il était temps de rentrer.

En ce moment même, sans doute, ses alliés essayaient-ils de rentrer en contact avec lui.

Il pressa légèrement le pas.

* * *

Dès qu’il fût entré dans sa chambre, il capta le rayon. C’était un rayon personnalisé, impossible à intercepter, offrant une sécurité totale. Pour recevoir l’infime flux d’électrons qui avait traversé l’hyperespace, depuis un monde situé à un demi-millier d’années-lumière, il n’y avait pas besoin d’antenne ni de récepteur, de machines ni de métal.

Dans la chambre de Jonti, l’espace lui-même était polarisé et structuré d’une certaine façon. L’on ne pouvait détecter cette polarisation qu’en recevant les émissions et, dans cet espace circonscrit, seul son propre cerveau pouvait agir en tant que récepteur ; ses cellules nerveuses, et elles seules, pouvaient entrer en contact avec les vibrations spécifiques de l’onde porteuse.

Le message lui-même était d’un caractère aussi unique que les caractéristiques de ses ondes cérébrales ; dans cet univers peuplé de quatrillions d’êtres humains, les chances pour que l’onde personnelle d’un homme soit accidentellement captée par un autre étaient de l’ordre de une chance sur un « un » suivi de vingt zéros.

L’esprit de Jonti frémit en percevant l’appel qui l’atteignait à travers l’inconcevable vide de l’hyper-espace.

« … appelons… appelons… appelons… appelons… »

Emettre était loin d’être aussi simple pour l’homme-récepteur que recevoir. Pour envoyer la réponse jusqu’à la Nébuleuse, sur une onde aussi spécifique que celle qu’il recevait, il ne pouvait se passer d’un artifice mécanique. Ce dernier était contenu dans le bouton ornemental qu’il portait sur l’épaule droite.

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