Jim Butcher - Dans l'oeil du cyclone
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- Название:Dans l'oeil du cyclone
- Автор:
- Издательство:Brangelonne
- Жанр:
- Год:2007
- Город:Paris
- ISBN:978-2-35294-037-1
- Рейтинг книги:3 / 5. Голосов: 1
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Dehors l’orage continuait, son fracas assourdi par les murs épais de la cave.
Susan, toujours collée à moi, était au bord des larmes.
— Pourquoi ne pas nous achever ? Il attend quoi ?
— Il ne peut pas, répondis-je. Il lui est impossible de nous atteindre ou d’entrer dans l’anneau. Tant qu’on ne rompt pas le cercle, on est en sécurité.
— Mon Dieu ! Et ça va durer combien de temps ?
— Jusqu’à l’aube. Quand le soleil se lèvera, il devra partir.
— Mais le soleil ne pénètre pas dans ce sous-sol !
— Ça ne marche pas comme ça… Il est relié à son invocateur par une espèce de chaîne énergétique. Dès que le soleil se lève, la chaîne est rompue et il disparaît comme une bulle de savon sèche.
— C’est quand, l’aube ?
— Dans une dizaine d’heures.
— Oh ! soupira Susan en posant la tête contre mon torse nu.
Le Crapaud de l’Enfer tournait autour du cercle en cherchant une faille. Il n’en trouverait aucune. Je fermai les yeux en essayant de réfléchir.
— Heu, Harry ? commença Bob.
— Pas maintenant !
— Mais, Harry…
— Bon sang, Bob ! J’essaie de me concentrer ! Si tu veux m’aider, explique-moi pourquoi la potion d’évasion n’a pas marché !
— Harry ! râla le crâne. C’est de ça que je veux te parler !
— Il fait chaud ici ou c’est moi ? demanda Susan d’une voix étrangement rauque.
Je fus pris d’un soupçon atroce, je regardai Susan, et un poids me tomba sur les épaules. Impossible. Non. Ce n’était pas vrai !
— On va mourir, n’est-ce pas, Harry ? Tu n’as jamais pensé à faire l’amour juste avant la fin ?
Elle m’embrassa la poitrine.
C’était bon. Vraiment très agréable. Je tentai d’oublier ce dos nu offert à ma main.
— J’y ai souvent pensé, moi…
— Bob ! meuglai-je.
— J’ai essayé de te prévenir ! Elle a pris la mauvaise potion et l’a avalée d’un trait ! Cela dit, tu ne peux pas nier son efficacité.
Le crâne se tourna vers moi et ses orbites s’illuminèrent davantage.
Susan léchait mon torse, se frottant à moi d’une manière totalement obscène et assez plaisante.
— Bob ! Je te jure que je vais t’enfermer dans un coffre-fort pendant les deux cents prochaines années !
— Ce n’est pas ma faute !
Les yeux proéminents du démon suivaient le spectacle. Il déblaya un coin de la pièce et s’assit sur ses énormes fesses. Il nous fixait, comme un chat qui attend qu’une souris sorte de son trou.
La journaliste me jeta un regard libidineux et chercha à m’allonger sur le sol.
Hors du cercle de protection.
Bob continuait de clamer son innocence.
Qui a dit que je ne sais pas distraire les dames ?
Chapitre 14
Susan s’accrocha à mon cou et attira ma tête vers elle pour m’embrasser. Comme tous les baisers, c’était plutôt, heu, intéressant. Très passionné, sincère, sans une trace de réflexion ou d’hésitation. En tout cas, pas de sa part. Quand je remontai à la surface pour prendre de l’air, après une minute, j’avais les lèvres en feu, et elle me regardait avec un regard lubrique.
— Prends-moi, Harry ! J’ai besoin de toi !
— Heu, Susan, je ne sais pas si c’est vraiment le moment.
Elle était sous l’emprise de la potion à présent. Pas étonnant qu’elle se soit reprise aussi vite, avant de remonter pour tirer sur le démon. La décoction avait dû la désinhiber au point de faire disparaître sa peur.
— Ta bouche dit non, minauda-t-elle en faisant voyager ses doigts vers mon intimité. Mais ça , ça dit oui !
Je me hissai sur la pointe des pieds, tentant de repousser ses mains tout en gardant mon équilibre.
— Ce truc ne raconte que des conneries !
Elle ne m’écoutait plus. La potion avait chargé sa libido comme l’esprit d’un kamikaze qui monte dans son avion.
— Bob ! Aide-moi !
— Je suis coincé dans ce crâne, Harry. Si tu ne me laisses pas sortir, je ne peux pas faire grand-chose…
Susan se débrouilla pour mordiller une de mes oreilles et enrouler une de ses jambes autour des miennes. Puis elle commença à gémir en cherchant de nouveau à m’allonger. Je perdis l’équilibre. Quatre-vingt-dix centimètres de diamètre, c’est peu pour faire de la gymnastique, du catch ou… n’importe quoi d’autre, sans que rien ne dépasse. Le démon n’attendait que ça.
— L’autre potion est toujours là ? demandai-je.
— Bien sûr ! Je la vois d’ici, elle est par terre. Je pourrais même te la lancer.
— Parfait, dis-je, soudain excité – enfin, encore plus excité.
J’allais peut-être m’en sortir vivant.
— Je vais te libérer pendant cinq minutes. Envoie-moi la potion.
— Non, patron, lâcha froidement le crâne.
— Comment ça, non ?
— Je veux vingt-quatre heures ou rien.
— Sacrebleu ! Je suis responsable de tes actes si tu te barres ! Tu le sais !
— Je ne porte pas de culotte, murmura Susan.
Elle tenta ensuite un balayage digne des meilleures judokas. Je chancelai, mais parvins à retrouver mon équilibre de justesse. Les yeux du monstre s’étrécirent, et il se leva, prêt à nous sauter dessus.
— Bob ! T’es qu’un fumier !
— Essaie de vivre dans une cage en os pendant quelques siècles, Harry ! Je suis sûr que tu apprécierais une nuit de détente de temps en temps.
— D’accord ! criai-je, mon cœur ratant un battement alors que je titubai de nouveau. Marché conclu ! Envoie-moi la potion et tu auras tes vingt-quatre heures !
— La rate pas, surtout !
Un flot de lumière orangée jaillit des orbites du crâne pour former un nuage scintillant qui auréola la potion avant de la propulser vers moi. Je l’attrapai de ma main libre, manquai de la lâcher, mais affermis ma prise. La décoction ayant été enchantée par mes soins, elle s’accordait donc parfaitement avec l’énergie du cercle.
Le nuage – la forme spirituelle de Bob – dansa une petite gigue, puis fila par l’escalier.
— Qu’est-ce que c’est ? demanda Susan, les yeux vitreux.
— Encore à boire. On partage. Je dois pouvoir me concentrer assez pour deux et nous tirer de là.
— Harry, roucoula la journaliste, je n’ai pas soif, j’ai faim !
J’eus un éclair de génie.
— On avale ça et après on va au lit ! Soufflai-je.
Susan me regarda l’air confus, avant d’afficher un sourire carnassier.
— À la tienne, Harry !
Ses mains ponctuèrent ses mots d’un commentaire des plus obscènes, et je sursautai, manquant de lâcher la bouteille. Récoltant un peu plus de shampoing dans les yeux, je décidai de les fermer.
Je m’enfilai la moitié de la potion en essayant d’ignorer le goût amer du cola, puis passai la fiole à Susan. Elle but le reste, puis se lécha les lèvres.
Mon ventre commença à bouillonner : un sentiment de flottement et de légèreté qui remonta, traversa mes poumons, puis passa dans mes bras. Il descendit aussi dans mes jambes.
J’eus des spasmes.
Puis j’explosai.
Je devins un nuage composé de milliards de morceaux d’Harry, chacun doué de sa propre conscience. La pièce n’était plus un simple sous-sol, mais une constellation d’énergies dotées de formes et de fonctions précises. Même le démon n’était plus qu’un flot de particules lent et dense. Je dépassai cet agrégat pour traverser le plancher, puis jaillir à l’extérieur de l’appartement, où la tempête dénuée d’organisation faisait toujours rage.
Au bout de cinq secondes, l’effet de la potion disparut. Je sentis tous mes petits moi se précipiter l’un vers l’autre et se percuter à une vitesse inimaginable.
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